Jean Paul Brunet, une référence ? Un historien serait donc sérieux dès lors qu’il accrédite les thèses auxquelles on croit, pathétique !
Contrairement à ce que l’auteur veut nous faire croire, il ne s’agit nullement d’une quelconque repentance mais plutôt une reconnaissance »lucide" du massacre du 17 octobre 1961 qui, rappelons-le, s’est soldé au bas mot par la mort d’une centaine de personnes sans compter le millier
de blessés, les innombrables expulsés et les 11500 manifestants arrêtés ou parqués au palais des sports de la porte de Versailles à Paris et dans
d’autres lieux.
Cet évènement tragique a été même condamné par ceux réprimaient ce jour-là, un policier-témoin raconte cette horrible
répression :
« En 2005, avec l’attentat touchant l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri le 14 février, et où la Syrie est impliquée », quelle est votre source ? Le très controversé Mehlis, protégé du néo-con John Bolton ? Mais, il n’est plus à la tête du tribunal spécial des NU pour le Liban et ce machin, à la solde de l’axe americano-sioniste, a d’ailleurs abandonné la piste syrienne. Cette piste a été mise en avant par les néo-cons et l’entité criminelle dans le seul but de créer le chaos total au pays du cèdre. Ces partisans du « Grand moyen-orient » c’’est à dire la partition des pays arabes en une multitude d’entités ethniques ou religieuses, selon le plan Yinon « une stratégie pour Israël », n’ont pas du tout apprécié que Rafic Hariri s’oppose à leur projet. Mustafa Al-Nasser, le propre conseiller de Hariri, a pointé du doigt Tel-aviv et l’allemand Jürgen Caïn Külbel, auteur d’une contre-enquête sur l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, dit détenir des documents et des preuves sur « l’implication d’israêl, de services américains et européens dans le plan qui visait à liquider Hariri ». Selon cet expert, un avion de type Awacs survolait le lieu au moment du crime, des agents du mossad s’y trouvaient également.