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ALF

Né en 1974, ex-étudiant en économie et en informatique.
Passioné d’économie politique mes auteurs préférés sont :
Hernando de Soto,
Friedrich Hayek,
Ludwig von Mises,
Frédérique Bastiat,
Alexis de Tocqueville,
Benjamin Constant
etc...

Tableau de bord

  • Premier article le 05/06/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • Patrick Madrolle 10 juin 2007 11:03

    Cinecittà sort justement de 20 ans de traversée du désert depuis qu’elle est privatisée en 1997, les tournages de superproduction américaines notamment y recommencent depuis, comme à son âge d’or de l’après guerre. Il y a beaucoup de chaînes de télé locales en Italie, ce que nous n’avons pas en France et j’ai cru comprendre que « l’impertinence » des journalistes tranche avec la servilité de leurs collègues français, toutes législatures confondues. Evidement si vous n’autorisez qu’une chaîne privée elle va viser la clientèle la plus large, si vous n’interdisez pas la concurrence vous en aurez des dizaines, des centaines et je ne parle même pas des web-télés qui pointent leur nez. La diversité garantie la présence de la qualité.

    Ceux dont le cœur brûle pour un sport ne regarderont pas Hamlet pour vos beaux yeux. Pas plus que vous ne vous convertiriez à l’économie de marché parce qu’une chaîne gouvernementale obligatoire en rabâcherait les avantage 24h/24 (ce qui est en soit une contradiction).

    Subventionner des chaînes ou des artistes, c’est en étouffer d’autres, la culture 2 vitesse c’est chez vous, la mienne à 60 millions de vitesses.



  • Patrick Madrolle 9 juin 2007 09:24

    http://web.amnesty.org/report2006/ven-summary-fra

    AMNESTY INTERNATIONALE

    Des exécutions illégales de suspects de droit commun par des policiers ont été signalés. La plupart de ces homicides n’ont pas fait l’objet d’une enquête et les auteurs présumés sont restés impunis. Le manqué d’indépendance du pouvoir judiciaire demeurait un motif de préoccupation. Cette année encore, la persistance des disparités économiques et sociales a limité l’accès aux droits économiques et sociaux des Vénézuéliens d’ascendance africaine et des populations autochtones.

    Contexte

    La radicalisation de la vie politique continuait d’être un facteur de déstabilisation du pays. Des inquiétudes ont de nouveau été exprimées concernant le harcèlement dont étaient victimes les détracteurs du gouvernement, y compris par le biais du système judiciaire. Des affrontements entre opposants et sympathisants du président Chávez ont eu lieu avant les élections municipales d’août. Ces dernières ont été remportées par le Movimiento V República (MVR, Mouvement Ve République), le parti de Hugo Chávez.

    Accusant l’organe chargé de l’organisation des élections de parti pris, les formations d’opposition ont refusé de participer aux élections législatives de décembre, qui se sont soldées par un raz-de-marée en faveur du MVR. Les observateurs internationaux ont jugé le déroulement du scrutin globalement satisfaisant.

    Sur fond d’accusations persistantes de la part de responsables américains contre le gouvernement du président Chávez, qui menacerait selon eux la stabilité de la région, les relations entre le Vénézuéla et les États-Unis sont demeurées tendues. Hugo Chávez a poursuivi le renforcement de sa coopération avec d’autres pays latino-américains, notamment en resserrant les liens dans les domaines énergétique et commercial.

    Brutalités policières

    Cette année encore, des informations ont fait état d’atteintes aux droits humains imputables à des policiers. Des exécutions illégales de suspects de droit commun ont notamment été signalées. La plupart de ces cas n’ont pas donné lieu à une enquête et les auteurs présumés n’ont pas été traduits en justice. Selon les statistiques publiées en juillet par les services du ministère public, plus de 6 100 personnes ont été tuées par la police dans 5 500 affaires distinctes entre le début de l’année 2000 et la mi-2005. Près de 6 000 policiers étaient impliqués dans ces atteintes aux droits humains, mais 517 seulement ont été inculpés et moins de 250 ont été mis en état d’arrestation.

    La Commission de politique intérieure de l’Assemblée nationale, le médiateur et les services du ministère public ont reçu des informations faisant état d’homicides perpétrés par la police dans les États de Guárico, d’Aragua, de Falcón et de Carabobo. L’Assemblée nationale a affiché sa détermination à conduire des enquêtes sur ces allégations. Dans un rapport publié en juillet, des organisations vénézuéliennes de défense des droits humains ont tiré la sonnette d’alarme à propos de la situation dans six États (Anzoategui, District capitale, Falcón, Miranda, Portuguesa et Yaracuy) où les homicides, les « disparitions » probables et les enlèvements constituaient une pratique bien établie.

    Des victimes d’atteintes aux droits humains et leurs proches auraient été menacés par la police et auraient fait l’objet de manœuvres d’intimidation.

    · En janvier, Rigoberto Barrios, seize ans, est mort à l’hôpital après avoir été atteint de huit balles tirées par la police à Guanayen (État d’Aragua). Il était le troisième membre de sa famille à être tué par des policiers depuis que les Barrios ont dénoncé la mort, en décembre 2003, de Narciso Barrios à la suite d’un différend avec des policiers de l’État d’Aragua. Au mois de juin, Oscar Barrios est sorti indemne d’une tentative d’assassinat. En août, Juan Barrios a été menacé par deux agents en uniforme. À la demande de la Cour interaméricaine des droits de l’homme, une protection policière avait été accordée à la famille Barrios en mai. Fin 2005, cependant, aucun des policiers soupçonnés d’implication dans les menaces et les homicides n’avait été poursuivi. · À Valle de la Pascua (État de Guárico), Carmen Alicia Mota de Hernández et ses proches auraient fait l’objet de nombreuses manœuvres d’intimidation imputables à des policiers après avoir porté plainte pour le meurtre du chef de famille, Arturo Hernández, tué en avril 2004.

    Absence d’indépendance du pouvoir judiciaire

    La crédibilité de l’appareil judiciaire et du parquet a été affaiblie par leur incapacité à garantir aux victimes des mécanismes de réparation efficaces et impartiaux. Selon les informations reçues, 98 p. cent des violations des droits humains restaient impunies. Seule une faible proportion des juges et des procureurs travailleraient à plein temps.

    Défenseurs des droits humains

    Cette année encore, des défenseurs des droits humains ont été en butte à des manœuvres de harcèlement et d’intimidation.

    Des inquiétudes ont été exprimées concernant la sécurité de membres du Comité de Familiares de las Víctimas de los Sucesos de Febrero-Marzo 1989 (COFAVIC, Comité des parents des victimes des événements de février-mars 1989) à la suite du retrait, en mars, de la protection policière dont ils bénéficiaient. Cette organisation de défense des droits humains avait dénoncé publiquement l’inaction des autorités, qui n’avaient toujours pas traduit en justice les auteurs présumés des violations des droits humains commises en 1989 lors des affrontements entre l’opposition, la police et les militaires. En novembre 2002, la Cour interaméricaine des droits de l’homme avait ordonné au Vénézuéla de protéger les membres du COFAVIC à la suite des menaces et actes d’intimidation dont ces derniers avaient été victimes.

    Liberté d’expression

    Des procédures administratives ou fiscales auraient été utilisées pour limiter la liberté d’expression. Le Bureau du rapporteur spécial pour la liberté d’expression de la Commission interaméricaine des droits de l’homme a exprimé sa préoccupation à propos d’une décision du service national de l’administration des impôts et des douanes concernant le quotidien régional El Impulso. Pour avoir critique les restrictions imposées à la liberté d’expression au Vénézuéla, celui-ci s’est vu imposer une amende et une suspension de vingt-quatre heures.

    Droits économiques, sociaux et culturels

    En août, le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale [ONU] s’est déclaré préoccupé par la persistance des disparités sociales et économiques qui compromettent l’exercice des droits économiques et sociaux et touchent notamment les populations autochtones et les Vénézuéliens d’ascendance africaine. Il a noté que les terres et les ressources autochtones étaient toujours menacées par des intérêts privés. Le Comité a aussi exprimé ses inquiétudes concernant le travail des enfants ainsi que la prostitution et l’esclavage auxquels ils sont soumis dans des centres de prospection illégale d’or dans le haut Orénoque et les bassins du Casiquiare et du Guainia-Río Negro.



  • Patrick Madrolle 9 juin 2007 09:22

    http://www.rsf.org/article.php3?id_article=22323

    REPORTERS SANS FRONTIERES sans frontières appelle à la mobilisation internationale après la fermeture de RCTV

    « La fermeture de Radio Caracas Television (RCTV), fondée en 1953, est une grave atteinte à la liberté d’expression. Elle est un mauvais coup porté à la démocratie et au pluralisme. En s’en prenant à RCTV, Hugo Chávez a réduit au silence la télévision la plus populaire du pays et la seule chaîne nationale encore critique à son égard. Cette fermeture est faite en violation de toutes les règles de droit, le matériel de diffusion de RCTV ayant été saisi au profit de la nouvelle chaîne publique. Les motifs invoqués - et notamment le soutien que RCTV avait apporté, avec d’autres médias, à la tentative de coup d’Etat du 11 avril 2002 - sont des prétextes : les autres chaînes de télévision privées qui avaient eu la même attitude à l’époque n’ont pas connu le même sort ayant, depuis, adopté une position complaisante vis-à-vis du régime » a déclaré Reporters sans frontières.

    Aujourd’hui, Hugo Chávez contrôle directement ou indirectement la quasi-totalité des médias audiovisuels. La fermeture de RCTV n’est pas, comme veut le faire croire le chef de l’Etat, une simple mesure administrative mais une décision politique visant à renforcer son hégémonie sur les moyens d’information.

    Cette nouvelle atteinte au pluralisme vient s’ajouter à la longue liste des violations de la liberté de la presse au Venezuela : agressions de plusieurs centaines de journalistes au cours de ces dernières années, loi sur la « responsabilité sociale des médias » audiovisuels entravant la programmation de ces derniers, réforme du code pénal aggravant les sanctions pour les délits de presse, publication d’une liste de journalistes « vendus aux intérêts américains », menaces verbales du président Hugo Chávez envers des journalistes étrangers...

    “L’organisation appelle la communauté internationale à se mobiliser pour dénoncer ce coup de force et défendre ce qui reste de médias indépendants au Venezuela," a ajouté Reporters sans frontières.

    La plus ancienne chaîne de télévision du Venezuela, RCTV, a officiellement cessé d’émettre le 27 mai 2007, conséquence de la décision du président Hugo Chávez de ne pas renouveler sa licence.

    Huit jours après la réélection du président Hugo Chávez, une menace de non-renouvellement de licence pesait déjà sur RCTV : le 11 décembre 2006, le ministre de la Communication et de l’Information, William Lara, avait annoncé que l’avenir de la chaîne serait soumis à une consultation populaire. Puis la décision de Hugo Chávez de mettre fin à la licence de RCTV a été annoncée le 28 décembre 2006. C’est enfin le 18 mai 2007 que tout débat sur le sujet a été exclu, lorsque le Tribunal suprême de justice du Venezuela, saisi le 9 février 2007 par RCTV, a déclaré « irrecevable » le recours de la chaîne.



  • Patrick Madrolle 9 juin 2007 03:34

    Pour ça encore faudrait-il un mode de scrutin qui y aide et là ça n’est pas gagné.

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=25369

    "Les électeurs d’un candidat investi peuvent ainsi le sanctionner sans pour autant pénaliser le parti le plus proche de leurs valeurs.

    Il donne sa chance à chaque candidat d’un parti, quelle que soit la difficulté de la circonscription, et évite les transactions et rivalités sur ce point à l’intérieur des partis et entre eux. "



  • Patrick Madrolle 9 juin 2007 03:24

    6 chaînes, mais ça vas pas ! on est plus à l’ORTF de papa avec une demi chaîne de télé par jour et les programme de l’Élysée qui fait les programmes. Regardez votre abonnement ADSL, au minimum 100 chaînes, régionales, nationales, mondiales. Y’en a pour tous les goûts comme dans la presse écrite comme à la radio comme pour la littérature. Si TF1 n’est pas à votre goût, vous n’avez qu’à tourner le bouton (merci qui) smiley.

     smileyArrêtez votre char avec le public ce serait le gardien de l’élite intellectuelle et le privé fossoyeur de l’intelligence.

    Tous les grands classiques de la littérature sont en vente pour quelques euros (malgré le prix unique de J.lang pour remplir les poches de ses copains éditeurs smiley), la vérité c’est qu’en matière de culture en particulier, ceux qui s’y intéressent vraiment sont une minorité, et que les pauvres subventionnent les loisirs des classes moyennes cultivées (profs, cadres, professions libérales, etc...) smiley.

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