les intermédiaires, c’est-à-dire - un manutentionnaire au Smic est un parasite qui s’engraisse et se fait des « c... en or », - un caissier de supermarché est un parasite qui s’engraisse et se fait des « c... en or », - un vendeur de magasin payé des clopinettes est un parasite qui s’engraisse et se fait des « c... en or », - un chauffeur routier est un parasite qui s’engraisse et se fait des « c... en or », etc... etc...
J’ai un pote chauffeur routier, j’aimerais bien que vous le rencontriez pour lui répéter en face que c’est un parasite qui s’engraisse et se fait des « c... en or »...
Il est vrai que je me suis plusieurs fois posé la question de l’humanité
de nos « dirigeants » ! Parce qu’à vrai dire je ne comprends pas le
comportement et l’attitude de nos élites. Je ne peux comprendre ce
mépris et cette haine pour le vivant (y compris la race humaine) ! Je
perçois d’ailleurs quelque chose de profondément inhumain dedans. Ces
élites sont parasitaires, pas besoin d’avoir un doctorat pour le
comprendre.
Tous les êtres humains sont parasités ; parasités à un niveau différent (supérieur ?) de notre perception spatio-temporelle, par quelque chose d’inconnu, parasités à des degrés variables suivant les individus ; cette « intelligence » inconnue semble être à l’origine de notre « évolution », de nos croyances, et nous manipule insidieusement ; elle tire vraisemblablement profit de cette situation et nous soutirant quelque chose (nos fortes émotions négatives, haine, souffrance, peur, angoisse, ... seraient sa nourriture). Voir notamment le concept du « Loosh » de Robert Monroe (http://newsoftomorrow.org/abductions/visions/robert-monroe-far-journeys-le-loosh-ou-la-recolte-de-lenergie-emotionnelle-des-humains).
Comme être vivant doué de conscience, nous avons compris que nous sommes un des locataires de la planète mais nous ne savons pas quel loyer nous payons...
L’avenir ? La « machine » s’est emballée avec la révolution industrielle et l’utilisation massive du pétrole ; est-ce « voulu » ou non, difficile de le savoir... En toute bonne logique, il y aurait dû y avoir un troisième conflit mondial généralisé à la fin du vingtième siècle, mais il a été évité à plusieurs reprises in-extremis.
Notre situation actuelle ressemble à un élastique que l’on tiraille dans tous les sens ; combien de temps l’élastique va-t-il tenir ?