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blaz

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  • blaz 2 octobre 2007 12:25

    la carte oura, cest la carte orange de l’ile de france appliquée à la banlieue. On pourra noter au passage que Nantes esaie de faire de même sur la région (pour accompagner ce changement, la communauté urbaine du grand nantes s’étend jusqu’à saint nazaire).

    Quant à la conurbation parisienne, comme le souligne le précédent commentaire, il est évident que l’empilement d’une trentaine de communes (paris et la petite couronne en considérant l’A86 comme le nouveau périf’) de quatre départements, et d’une région tiraillée entre une énorme agllomération et des campagnes semés de petits villages très loin des préocupations de la ville) n’est pas pour simplifier le tout. Le découpage administratif de l’ile de france ne correspond pus à rien sinon à une volonté datant de presque un siècle de casser la « banlieue rouge » et de diluer l’effet de masse politique de l’agglomération dans des corsets administratifs segmentants. (au début du sicèle le département de la seine, recouvrait à peu près le 75,92,93,94 ce qui semble quand même le plus cohérent).

    Comme le souligne l’article, l’intégration des transports ne peut se faire que si la coordination voire l’intégration politique des différentes entités (région, départements , ville, sncf, stif, ratp, optile et veolia pour l’idf) est d’abord réalisés. Cest dans cette optique que le grand paris prend tout son sens. Par ailleurs, concernant le maire actuel, cest le premier des maires de paris à animer pour de vrai al communauté urbaine et à signer des partenariats avec les villes de la petite couronne, mais cest un travail de longue haleine, comme le recouvrement du périphérique (refusé par chirac et tibéri à l’époque), afin de recoudre les villes entre elles.



  • blaz 7 août 2007 16:18

    effectivement l’article est un peu court. j’ai vécu quelques mois à rio, bien que ce soit uen ville violente - on ne sedéplace qu’en taxi la nuit, mêmem pour 500m, pas de balade sur la plage au clair de lune, toujours faire attention à ses poches-, on ne s’y sent pas oppressé comme dans certains quartiers réputés dangereux en france par exemple. La violence dnas cette ville, est du évidemment aux criantes inégalités, comme dit plus haut, à copa, ipanema ou leblon (les trois quartiers les plus riches de rio, ceux avec les plages en face), les quartiers pauvres sont rarement à plus de 500m, et la discrimination en fonction de la couleur de peau ou du statut social des parents, restent très présentes (oui oui, regardez bien les pubs brésiliennes, cest très rare de voir des noirs, comme en france). Mais là ou je voulais en venir, en parlant de violence, cest l’état de corruption généralisé dans la police. Déjà il ya trois sortes de polices : municipale, celle de l’état et la police fédérale. La police (surtout le corps fédéral) se balade très souvent en armure (comme nos CRS un jour de CPE) avec fusil d’assaut ... et chargé les fusils d’assaut ! même en voiture, les fusils sont posés sur les bords des fenêtres, exactemetn comme un gang ferait pour maintenir « l’ordre » sur son territoire. Trois corps de sécurité qui ne se coordonnent pas forcément voire parfois se concurrencent. La police locale est notoirement corrompue, certains touristes ont même été menacés par la police d’une infraction imaginaire,et la seule manière de s’en sortir était évidemment de payer...

    Donc autant vous dire, que si les favelas sont souvent la source de violence, la police locale est une partie importante du problème. mais réformer les habitudes des administrations locales est un travailde longue haleine, dans un pays fédéral comme le brésil, l’état central n’impose pas savolonté aussi facilement qu’il le voudrait.


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