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Blé

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  • Blé 31 décembre 2008 08:13

    Il faut de la croissance mais qui a produit cette croissance jusqu’à présent en France ? Les actionnaires où ceux et celles qui travaillent dans les entreprises, dans les services publics ?

    L’A G C S, vous connaissez ? L’O M C vous connaissez ? L’Europe continue à mettre les peuples au pas du néo-libéralisme et de l’économie de marché. Les projets de l’aristocratie mondiale de l’économie ne vont pas dans le sens d’une amélioration de bien être général mais justement le contraire. Le modèle social qui se généralise en Europe est le modèle social chinois. Les paysans ont de plus en plus de mal pour vivre de leurs productions, les salariés sont virés par charettes des industries, les services publics sont en voie de disparition pour laisser la place à la privatisation.

    Dans le même temps, Sarko propose que la sécurité (des villes et des biens) soit privatisée, la gendarmerie mis au même rang que la police, transforme chaque citoyen en délincant ou terroriste potentiel.

    La guerre des classes a été gagnée par les riches, vous croyez tout de même pas un instant que ces derniers vont permettre à qui que ce soit de toucher de près ou de loin leurs intérêts.




  • Blé 30 décembre 2008 15:13

    La qualité de vie ne progresse pas ! Qu’entendez-vous par qualité de vie ?
    L’exemple que vous donnez est de l’ordre de l’avoir. La vie était -elle de meilleure qualité parce que cette famille modeste avait deux habitations ?

    La multiplication des divorces a certainement plus fait pour la qualité de vie de quelques millions de femmes que la machine à laver où la maison de campagne.

    Maintenant pour améliorer la qualité de vie des femmes ce serait de leur faire une place à tous les étages du pouvoir, nous en sommes loin.

    Dans notre malheur nous avons encore la chance que les gestionnaires, que l’économie de marché ne puisse évaluer économiquement la qualité de vie que procure l’entretien et la culture d’un jardin, l’appaisement d’ une promenade dans la nature ou une flanerie en ville, la rencontre de l’autre au sein d’un club, d’une association ou mouvement politique, lire, discuter, s’amuser avec les enfants et petits enfants, plein de choses à faire dans la vie loin des écrans (télé, internet, portable) ou de la voiture et qui ne coûtent rien ou si peu.

    La qualité de vie se trouve aussi dans tout ce que l’on peut faire soi même comme nos parents le faisaient.
    Aujourd’hui, pour apprendre ce que nous apprenions spontanément et naturellement en grandissant, il faut payer car beaucoup de savoir et savoir faire ont disparu au sein des familles.

    J’ai connu l’époque où entre salariés nous nous mettions d’accord pour lire un livre et tous les quinze jours, nous nous rencontrions chez l’un ou chez l’autre pour discuter du livre. Nous étions de simples salariés avec un niveau scolaire modeste mais nous aimions discuter d’autre chose que du métro, boulot dodo.
    Le livre de poche avait révolutionné la pratique de la lecture pour les moins scolarisés.




  • Blé 30 décembre 2008 13:30

    Personnellement je lutte depuis ma plus tendre jeunesse contre le capitalisme qui porte en son sein la déshumanisation, la violence, l’aliénation humaine.

    Quand les animaux de compagnie sont devenus un filon pour se faire des bénéfices, n’oubliez pas que l’urbanisation massive y a contribué, toute la machine à produire et à vendre s’est mis en marche.

    Tout ce qui peut-être "marchandiser" est effectivement marchandiser, la bouffe de nos compagnons comme la tarte Tatin ou n’importe plat cuisinée pour les humains.

    Sur un autre sujet mais tout autant scandaleux : Que faire pour que les droits de pollution ne soient pas quottées en bourse ?



  • Blé 30 décembre 2008 07:57

    Mon minou mange ce que je lui donne et ce qu’il me vole. Entre autre chose, il mange de la soupe, le gras de jambon, des pâtes et quand il le peut, il me vole des poireaux cuits, des asperges que je mets à égoutter, des carottes du pot au feu, bref mon minou mange de tout (sauf ce qui est vinaigré).

    Il y a donc belle lurette que je paye une taxe car on paye une taxe sur la bouffe. Ceci ne m’empêche nullement de mettre quelques conserves dans le panier pour les restos du coeur. Ce que je regrette, c’est que 20 ans plus tard, ces restos soient aussi nécessaires à tant de gens dans un pays aussi riche que la France.

    Une petite taxe sur les remonte-pentes des stations d’hiver, une petite taxe sur les entrées des patinoires et piscines, une petite taxe sur les entéres des circuits de formule 1, une petite taxe sur la vente des diamants et autres produits précieux, sur les beaux bateaux de luxe,sur le Dakar qui a lieu en Amérique latine.
    Vous avez raison, si on veut on peut trouver de l’argent et nourrir les affamés mais le manque de volonté politique au niveau mondiale fait plus pour entretenir la faim que pour la supprimer. Vous comme moi nos forces ne sont pas suffisantes à notre niveau pour faire face à ce féau mondial.



  • Blé 30 décembre 2008 07:22

    D’où et par qui est exprimé cette notion de "mérite" ?

    C’est un terme très religieux, durant des siècle l’église catho apprenait aux pauvres que le paradis se méritait. Il y a déjà quelques siècle un certain Martin Luther s’est faché tout rouge contre un pape qui vendait des indulgences à ceux qui en avaient les moyens. Les autres, les pauvres eux ne méritaient pas "ses indulgences" selon les critères du mérite de l’époque.

    Sarko se place très haut pour distribuer "ses indulgences". Monsieur ou madame XXXX mérite quelque chose mais les critères de ce mérite fluctue avec l’humeur du monarque.

    Un jour Rama Yade est une petite merveille aux droits de l’homme mais le lendemain pour sarko elle ne vaut plus rien car elle a osé dire "non" à son seigneur.

    Effectivement, parler de mérite évite de longues discussions philosophiques sur la justice, le partage, l’égalité, le bien commun, la reconnaissance de l’Autre, etc...

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