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Brath-z

Brath-z

Citoyen de la République française.

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  • Premier article le 04/12/2009
  • Modérateur depuis le 12/02/2010
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Derniers commentaires



  • Brath-z Brath-z 2 juillet 2012 12:45

    Et bien le Pr. Leo Le Sage émet un diagnostic plutôt original, puisqu’il confère à une spécificité comportemental d’une extrême variété et qui mobilise la pensée humaine depuis 25 siècles un caractère pathologique. J’attends donc que vous étayez votre appréciation sur des éléments concrets, bref, que vous établissiez à l’appui de vos dires un réel diagnostic pathologique. En l’absence d’une telle procédure menée avec rigueur, je prendrai vos affirmations pour ce qu’elles me semblent être : des sottises.



  • Brath-z Brath-z 2 juillet 2012 12:41

    schweizer.ch > Le mariage des couples de même sexe avait été une revendication longuement discutée... pendant la Révolution française, en 1792. On se situait alors bien avant l’épidémie de SIDA.

    Alain C. > Non, « Autoriser le mariage pour tous les couples », ce n’est pas « simplement une question élémentaire d’égalité républicaine ». L’accès au mariage est un droit individuel. Individuel. Or, quelle que soit son orientation sexuelle, tout individu en France a la possibilité d’accéder au mariage à partir du moment où il s’agit d’un majeur. Un homme homosexuel peut se marier... avec une femme. Une femme homosexuelle peut se marier... avec un homme. Il n’y a aucune discrimination ni aucune atteinte à l’égalité. Autoriser le mariage entre les couples de même sexe, c’est réformer le mariage, lui donner une destination qu’il n’avait pas au départ. C’est un choix politique, et comme tout choix, il s’assume et il est contestable. Mais c’est bel et bien un choix, aucunement une mesure d’ordre technique qui consisterait à « mettre fin à une discrimination » (qui n’existe pas) ou à « rétablir l’égalité » (qui n’est pas empêchée). Se dissimuler derrière la technique pour ne pas assumer ses choix et les responsabilités qui vont avec est un travers trop courant aujourd’hui, et sur cette question, c’est devenu très fréquent.

    louphi > Mon article est tout ce qu’il y a de plus régulier et légal, il s’agit d’une appréciation personnelle, avec tout ce que cela suppose : il est subjectif, contestable, etc. Qu’il existe des groupes militants, certains avec des méthodes acerbes et recourant à l’intimidation ou à l’argument d’autorité, qui tentent d’imposer une hégémonie lexicale, c’est un fait, mais c’est loin d’être une spécificité à ce domaine, et on retrouve ce phénomène dans tous les compartiments de la société et dans toutes les dimensions du débat public.



  • Brath-z Brath-z 19 juin 2012 16:05

    Déjà, notons que pendant la campagne, la perspective d’une victoire de SYRIZA a poussé la ND à promouvoir la renégociation du mémorandum et à obtenir une restructuration partielle de la dette repoussant les échéances, avec la bénédiction d’Angela Merkel. Mais en effet, je pense que c’est là de la politique court-termiste qui ne résoudra aucun problème de fond, et la politique d’austérité se retrouvera rapidement confrontée à une impasse politique.
    En revanche, j’ai quelques doutes quant à la perte de majorité parlementaire. En effet, ND comme PASOK sont réduits à portion congrue sur leurs noyaux durs respectifs. Avec une majorité nette de plus de 10 sièges, peut-être une trentaine si la DIMAR se joint à eux, il faudrait qu’ils subissent de nouveau des scissions comparables à ce qu’avaient été pour le PASOK le KOISY (8 députés) et le PARMAP (2 députés) et/ou pour la ND la DISY (4 députés) et l’ANEL (11 députés). Je doute que de telles scissions se produisent. Je doute aussi que se produise le même phénomène qui avait eu lieu avec l’assemblée de 2009, quand 8 députés PASOK étaient allés former le groupe DIMAR avec 2 députés SYRIZA, qu’un député ND avait rejoint le groupe LAOS et que 18 députés des deux partis avaient siégé parmi les non inscrits.

    Je pense que la crise ne sera pas institutionnelle mais sociale, d’où l’importance de l’implication étroite de SYRIZA dans les mouvements sociaux qui vont venir.



  • Brath-z Brath-z 19 juin 2012 12:34

    Sinon, je ne pense pas que le PASOK maintiendra sa position de refus d’une majorité excluant SYRIZA. La « méthode » habituelle pour ce genre de positionnement est d’appeler à la formation d’un gouvernement d’union nationale dans un certain délai, puis une fois ce délai écoulé, de se contenter de la majorité réduite à laquelle on est parvenu.



  • Brath-z Brath-z 19 juin 2012 12:23

    La DIMAR a quitté SYRIZA en 2010 suite à l’intransigeance de SYRIZA envers le PASOK dans les élections locales. Elle avait participé aux élections en 2010 aux côtés parfois du PASOK parfois d’autres partis (souvent écologistes), aussi les élections de mai dernier étaient-elles les premières où elle participait de manière totalement autonome. Maintenant que le scrutin a largement confirmé la domination de SYRIZA sur la gauche, si SYRIZA était arrivée en tête, la DIMAR aurait pu servir de trait d’union entre SYRIZA et le PASOK. Puisque la ND a remporté le scrutin, il est fort possible que la DIMAR se place à mi-chemin entre majorité ND-PASOK et opposition SYRIZA, voire participe à la majorité.
    Cela tient au caractère très légitimiste du système parlementaire grec : quand aucune « majorité naturelle » ne se dégage d’un scrutin, on recherche l’accord le plus large possible, ce pourquoi ND comme PASOK réclament un « gouvernement d’union nationale ». Cela explique pourquoi en 1989 quand le score de la coalition entre KKE et l’ancêtre de SYRIZA (plus de 13% à l’époque) empêcha de dégager une majorité du seul PASOK ni de la seule ND, il y eu d’abord une majorité ND-KKE puis l’extension de cette majorité au PASOK, dans le cadre d’une « majorité œcuménique »... qui réunissait 100% du parlement (mais qui ne dura que six mois). Cela explique également pourquoi, lorsque ni ND ni PASOK, du fait de leurs scissions respectives, ne pouvaient plus réunir de majorité et durent s’associer après la chute du gouvernement Papandreou, ils cherchèrent à tous prix à associer d’autres partis à la majorité. Le KKE et SYRIZA avaient refusé, de même que les scissions du PASOK (PARMAP et KOISY) et de la ND (ANEL et DISY), mais le LAOS avait accepté.

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