Ben Ouar y Villón

Sophie,

Votre situation montre que, homme ou femme, le souci autour d’un enfant touche à ce qu’il y a de plus profond en nous, et les blessures sont faciles à infliger lorqu’il s’agit de notre enfant, car il s’agit au fond de notre amour.

Le commentaire de Salomon est plein de bon sens. En effet, comment un Juge, unique, sans témoin, sans responsabilité personnelle, peut-il prendre des décisions aussi lourdes de conséquences, décisions capables même de détruire psychologiquement une personne, pour finir par lui demander de passer un test chez un expert psychiâtre ? C’est absurde.

J’ai rédigé une lettre ouverte aux JAF et aux experts-psy que je n’ai pas hésité à envoyer tous azimuts. Car lorsqu’on perd un enfant, même temporairement, que reste-t-il à part le langage ?

Vous la trouverez sous ce lien : http://experts-mj.blogspot.com/

Je vous souhaite un courage qui fera de vous quelqu’un d’exceptionnel.

Il est écrit dans l’article : « qui met en scène un gros chien, de catégorie A ou non, »

...de catégorie A OU NON.

Personne n’ignore les plaies que produisent les labradors et les bergers allemands !

Lisez et relisez avant de faire un commentaire inutile, c’est fatigant.

Comme chacun sait Besancenot n’est qu’un facteur ! le marketing politicien a envahi jusque la LCR...

Olivier Besancenot a été assistant parlementaire à Stasbourg avant que la LCR lui trouve un poste de facteur pour faire peuple, lui, le fils d’universitaires parisiens.

Que veulent réellement ces gens ?

« de l’extrême gauche à l’extrême droite en passant par les partis parlementaires, les militants, sympathisants et électeurs ne pourront que constater que le sort de notre pays ne vaut pas la peine de trouver même un petit accord. »

Etes-vous Vous-même avec ou contre notre pays ?

M. Georges SARRE, ancien Ministre, Maire du XI° arrondissement de Paris

Le 7 juin 2006 ref GS/JYC/CHC/06-126

Monsieur,

Comme vous je suis choqué et indigné par les faits récents qui ont prouvé l’application imparfaite de la loi du 2 janvier 1999, dont j’ai été l’inspirateur et le rapporteur. Cette loi a bien été conçue pour résponsabiliser et dissuader. Elle vise l’éradication des chiens classés en première catégorie, et encadre sévèrement la détention de ceux classés en seconde catégorie. Elle engage bien sûr la responsabilité pénale des maîtres dont les chiens causent dommage à autrui.

Le vrai problème tient à l’application de cette loi, qui reste une bonne loi. La mobilisation des forces de police est nécessaire, sans quoi il y a du relâchement dans l’application, ce qui explique les drames récents. Or, c’est ce qui se produit actuellement : les forces de police (et de gendarmerie, compétentes en provence dans la plupart des endroits), ne sont pas suffisamment mobilisés à ce sujet. Pourtant seule la multiplication des contrôles, suivis par une verbalisation des contrevenants, voire une confiscation de l’animal et son euthanasie, comme prévu par la loi, peut permettre une application réelle et sérieuse.

Il faut donc que les ministres de l’Intérieur et de la Justice, chacun pour ce qui les concerne, tirent les conclusions des faits très graves qui viennent de se produire, et donnent les instructions qui s’imposent pour que de pareils drames ne se reproduisent plus.

Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’assurance de mes sincères salutations. Georges SARRE.

Monsieur, Vous réagissez à l’article en parlant « d’euthanasie ». Or, il n’en est pas question ici.

Vous avez soit mal lu l’aticle, soit réagi à certains propos qui ne sont pas les miens.

Cependant, 3 millions d’animaux sont tués chaque jour en France pour la consommation de viande. Ne comptez pas sur moi pour m’attrister du sort d’une centaine de chiens. De plus, vous semblez avoir plus de commisération pour les chiens que pour les personnes qui se sont fait mordre.

« On n’éradique pas la race humaine malgré toutes les énormes monstruosités déjà commises », dites-vous. Etes-vous sûr de la pertinence de votre argument qui met sur le même plan les sociétés humaines et quelques races de chiens déténus en ville par « confort » ? Et mieux, que signifie cette confusion ?

UNE TAXE égale au carré du poids du chien avec plancher à 150 Euros par an serait une mesure dissuassive de posséder de gros chiens inutiles, et somme toute, MALHEUREUX en appartement.