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  • Premier article le 06/02/2008
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  • BA 9 octobre 2013 23:28
    Le procès des mystérieuses enveloppes de l’UIMM.

    Quand les dirigeants de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), l’une des plus anciennes et influentes fédérations patronales, distribuent des enveloppes d’argent liquide, de la main à la main, à des syndicats, à des associations, des organismes liés à la vie universitaire, des intellectuels, des représentants des médias ou des pouvoirs publics, ils appellent cela de la « régulation sociale ». 

    Le code pénal lui donne un autre nom, « abus de confiance » et « travail dissimulé ».

    Ces deux versions sont au cœur du procès qui s’ouvre, lundi 7 octobre, devant le tribunal correctionnel de Paris pour trois semaines. Onze prévenus, dont l’ancien vice-président de l’UIMM, Denis Gautier-Sauvagnac, vont devoir s’expliquer sur la destination de 15,6 millions d’euros retirés en liquide des caisses de l’organisation entre 2000 et 2007.

    Le délégué général adjoint de l’UIMM, Dominique de Calan, ne s’est guère montré plus précis, consentant seulement à indiquer que les enveloppes de « régulation sociale » alimentaient « les associations, les partenaires sociaux, les intellectuels, les médias et les pouvoirs publics » ou encore « des organismes liés à la vie universitaire. »

    Lui aussi justifiait la discrétion qui prévalait dans la remise de ces fonds. « Dans ce climat général de lutte des classes, observait-il, les réformistes auraient été mis au ban de la société et de leur mouvance si l’on avait su que le patronat aidait ces organismes. Cela évitait en plus le risque d’être accusé de contrepartie. »


    Les réformistes étaient achetés par le patronat.

    Le patronat a dépensé 15,6 millions d’euros pour acheter les réformistes.

    Ben oui.

    Et ça explique beaucoup de choses.


  • BA 9 octobre 2013 14:20
    Mercredi 9 octobre 2013 :

    SONDAGE EXCLUSIF. 

    Le FN à 24% aux Européennes, en tête pour la première fois.

    Selon un sondage Ifop pour « le Nouvel Observateur », le FN arrive en tête des intentions de vote pour les élections européennes de 2014. Bientôt le premier parti de France ?



  • BA 9 octobre 2013 14:19
    Mercredi 9 octobre 2013 :

    SONDAGE EXCLUSIF. 

    Le FN à 24% aux Européennes, en tête pour la première fois.

    Selon un sondage Ifop pour « le Nouvel Observateur », le FN arrive en tête des intentions de vote pour les élections européennes de 2014. Bientôt le premier parti de France ?



  • BA 5 octobre 2013 20:25

    C’est l’anniversaire de la tragédie grecque.

     

    Le 4 octobre 2009, les élections législatives donnent une victoire au Parti Socialiste en Grèce.

     

    Le 6 octobre 2009, Georgios Papandréou devient Premier ministre.

     

    Onze jours après son arrivée au pouvoir, il annonce, dans un souci de transparence, que l’état réel des finances grecques avait été caché par le précédent gouvernement. Il fait rétablir les véritables données économiques, dont un déficit équivalent à 12,5 % du PIB pour la seule année 2009. La Commission européenne confirmera cette falsification des données quelques semaines plus tard.

     

    En octobre 2009, toute la planète constate que la Grèce est en faillite. Mais les dirigeants européens ne veulent pas que la Grèce quitte l’Union Européenne, ni qu’elle retourne à sa monnaie nationale, la drachme.

     

    Les dirigeants européens décident de tout faire, et même de faire n’importe quoi, pour garder la Grèce dans l’Union Européenne. Alors que la Grèce est déjà surendettée, les dirigeants européens ...

     

    ... décident de lui prêter de l’argent, et donc ils la surendettent encore plus !

     

    D’octobre 2009 à octobre 2013, cette politique suicidaire a aggravé la catastrophe, partout en Europe.

     

    Les autres Etats européens n’avaient pas l’argent nécessaire aux soi-disant « plans de sauvetage » de la Grèce : ils ont dû emprunter des dizaines de milliards d’euros sur les marchés internationaux, pour pouvoir ensuite prêter cet argent à la Grèce et pour pouvoir créer des soi-disant fonds de « stabilité » (FESF, MES).

     

    Résultat : les soi-disant fonds de « stabilité » ne stabilisent rien du tout. Les Etats européens sont de plus en plus surendettés. Leur dette publique s’est emballée. Leur dette publique est devenue hors de contrôle.

     

    Quant à la Grèce, sa dette publique atteindra 176 % du PIB à la fin 2013.

     

    C’est comme un tourbillon qui nous entraîne tous vers le fond de l’océan : la Grèce, puis les Etats européens périphériques, les uns après les autres, sont en train de faire naufrage, et ils entraînent tous les autres Etats européens vers le fond de l’océan.

     

    L’Union Européenne, c’est un suicide collectif.

     

    http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-22072013-AP/FR/2-22072013-AP-FR.PDF

     



  • BA 5 octobre 2013 12:34

    C’est l’anniversaire de la tragédie grecque.

     

    Le 4 octobre 2009, les élections législatives donnent une victoire au Parti Socialiste en Grèce.

     

    Le 6 octobre 2009, Georgios Papandréou devient Premier ministre.

     

    Onze jours après son arrivée au pouvoir, il annonce, dans un souci de transparence, que l’état réel des finances grecques avait été caché par le précédent gouvernement. Il fait rétablir les véritables données économiques, dont un déficit équivalent à 12,5 % du PIB pour la seule année 2009. La Commission européenne confirmera cette falsification des données quelques semaines plus tard.

     

    En octobre 2009, toute la planète constate que la Grèce est en faillite. Mais les dirigeants européens ne veulent pas que la Grèce quitte l’Union Européenne, ni qu’elle retourne à sa monnaie nationale, la drachme.

     

    Les dirigeants européens décident de tout faire, et même de faire n’importe quoi, pour garder la Grèce dans l’Union Européenne. Alors que la Grèce est déjà surendettée, les dirigeants européens ...

     

    ... décident de lui prêter de l’argent, et donc ils la surendettent encore plus !

     

    D’octobre 2009 à octobre 2013, cette politique suicidaire a aggravé la catastrophe, partout en Europe.

     

    Les autres Etats européens n’avaient pas l’argent nécessaire aux soi-disant « plans de sauvetage » de la Grèce : ils ont dû emprunter des dizaines de milliards d’euros sur les marchés internationaux, pour pouvoir ensuite prêter cet argent à la Grèce et pour pouvoir créer des soi-disant fonds de « stabilité » (FESF, MES).

     

    Résultat : les soi-disant fonds de « stabilité » ne stabilisent rien du tout. Les Etats européens sont de plus en plus surendettés. Leur dette publique s’est emballée. Leur dette publique est devenue hors de contrôle.

     

    Quant à la Grèce, sa dette publique atteindra 176 % du PIB à la fin 2013.

     

    C’est comme un tourbillon qui nous entraîne tous vers le fond de l’océan : la Grèce, puis les Etats européens périphériques, les uns après les autres, sont en train de faire naufrage, et ils entraînent tous les autres Etats européens vers le fond de l’océan.

     

    L’Union Européenne, c’est un suicide collectif.

     

    http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-22072013-AP/FR/2-22072013-AP-FR.PDF

     

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