Où est la compassion, l’intelligence de coeur, le respect de la vie de ces gens, la plupart avinés, qui se dorent au soleil sur les gradins, et qui jouissent du supplice et de la mort d’un animal splendide ? Ces gens qui tolèrent la cruauté sublimée,qui se délectent de ces bêtes assassinées et qui font perdurer par leur « passion »ce spectacle odieux. Comment les considérer autrement que sur fond de rancune et de dégoût ?