Je ne suis pas informaticien, mais je m’intéresse au libre et à Linux depuis déjà longtemps.
Autant on peut louer les efforts en termes de qualités d’interfaces et de convivialité des systèmes Linux, autant de mon point de vue on assiste aujourd’hui à une « dispersion des énergies » qui me semble lourde de conséquences.
Pour qui suit un peu l’actualité des distributions, via Distrowatch, Linux Tracker ou autres, on en finit plus de découvrir de « nouvelles » distributions, le plus souvent, simple reconditionnement plus ou moins personnalisé de distros existantes, et bien souvent basées sur des versions instables ou éphémères.
Fondamentalement, à quoi ça sert ?
A défaut de savoir très précisément de quoi je parle, je sais au moins d’où je parle : final user, entre la chaise et le clavier, je ne peux m’empêcher de penser que toute cette énergie serait plus utile dans un travail collaboratif donnant davantage de moyens au logiciel libre.
Reste que je ne veux pas juger de cette « dérive » sans essayer d’en saisir les mécanismes.
Bonjour.
Sur la politique extérieure US depuis les années 50, et en particulier sur le rôle de la presse, je vous invite à lire l’excellent " La Fabrication du Consentement " de Noam Chomsky et Edward Herman.
Quelquefois un peu aride et factuel, mais extrémement documenté.