J’ai beaucoup aimé ce bouquin, mais je reste suspicieux quant au titre d’historienne attribuée à l’auteure.
Je m’explique : rien qu’aux environs de la page 35, elle parle de la Convention nationale (1792-1795), alors qu’elle se réfère à des événements se déroulant en... 1790.
Et donc la crédibilité du reste en prend un coup !
Agréable à lire donc, mais en restant sur ses gardes !