Au delà du drame de tant de victimes, ce crash a quelque chose de terriblement frustrant et rageant.
Bien sûr il y a la panne des sondes de vitesse , la formation, les joysticks des 2 cotés qui se télescopent, les alarmes multiples, l’invraisemblance d’un décrochage sur un tel appareil, le commandant qui ne prend pas immédiatement l’affaire en main personnellement, etc...
Mais enfin, citant l’article "pousser sur le manche très fort pour diminuer l’incidence de l’avion
décroché et réduire les gaz… Ensuite seulement : ressource souple et
plein".
Cette action qui parait tellement évidente à un pilote amateur aurait sauvé l’avion et ses passagers. D’ailleurs cette action n’aurait même pas dû être nécessaire car si rien n’avait été changé de l’assiette de l’avion après la réaction de stress suivant la perte d’information vitesse, il aurait continué son vol sans problème. C’est le crash d’un avion qui vole ! Vraiment rageant !
Ahhhhhhhhh ! Israël ! Ils ont prévenu au moment où ils frappaient, ils ont frappé à l’ouest alors qu’il disaient au nord et se sont planqués derrière l’avion d’un pays avec lequel ils ont depuis 2015 un accord pour éviter les agressions mutuelles !
Et pour commencer, ils bombardent un pays tiers à leur bon plaisir !
Si il n’y a plus rien à démontrer de ce qu’est l’état juif, on ne s’étonnera jamais assez des fourberies à répétitions qu’ils sont capables d’inventer. De vrais créatifs !
La liberté d’expression est suffisamment muselée pour qu’on l’ait pas à subir les diatribes dégoulinantes de bien-pensance d’étudiants dian dian sur l’opportunité de couper la parole à une figure de la culture française.
Extrêêêême drouââââte, mon Q ! Petit joueur du boboisme aux arguments pavloviens et qualificatifs nauséabonds.
Il y a toujours chez les policiers américains « la tentation du flingue », cette jouissive libération et sentiment de pouvoir que procure le fait de tirer sur quelqu’un.
Ils s’entraînent en sous-sol à tirer sur des cibles humaines dessinées et rêvent de pouvoir le faire « en vrai » pour affirmer leur autorité. Dans la rue, leur frustration trouve souvent un prétexte futile pour justifier le passage à l’acte. Et là pas question de ne faire que blesser la menace, il faut tirer au thorax ou à la tête pour la neutraliser définitivement, fut-ce un enfant ou une vieille.
Ce sont des crétins américains, peu éduqués, élevés dans le culte des armes, de la loi qu’ils pensent représenter et ayant peu à craindre des enquêtes de leur administration. Alors pourquoi se priver ?