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Comme l’observa également Tara Michaël : « sous le prétexte de
faire descendre la conscience sur le plan matériel, ils [les
dirigeants de l’ashram]
avaient acheté la plupart des maisons de Pondichéry, pour les louer
à prix fort aux visiteurs et aux touristes étrangers, au grand dam
des habitants locaux ». Après
la mort de Mirra Alfassa en 1973, le conflit entre l’ashram de
Pondichéry et Auroville éclata au grand jour, entraînant la
séparation complète de l’un et de l’autre, et il semble durer
encore jusqu’à aujourd’hui ; le premier, malgré diverses
dérives, abus et quelques scandales, a toujours au moins un certain
souci de transmettre les œuvres de Shrî Aurobindo – il est vrai
que c’est maintenant sa seule raison d’être et la seule façon
de préserver sa survie –, tandis que, dans la seconde, le culte
exclusif de la « Mère » a définitivement éclipsé celui-ci !
Ce pseudo-temple, qui existe toujours, et dont Tara Michaël rappelle
qu’il « rompait avec toutes les prescriptions des Âgama par
sa forme géométrique de grosse boule ronde, un temple sans rites,
sans culte, sans statue ni représentation divine, sans musique, sans
fleurs, sans religion », présente l’aspect extérieur le plus
grotesque qu’on puisse concevoir. Il est couvert de larges facettes
de métal plaquées d’or qui le font ressembler à l’énorme
balle de golf d’un improbable trophée. Si l’on se souvient du
rôle des facultés médiumniques de Mirra Alfassa dans sa vie, on ne
sera pas surpris d’apprendre qu’à l’intérieur de l’édifice,
en son centre, a été placée à sa demande une imposante... boule
de cristal ! La boucle psychique de l’absurde étant ainsi bouclée."
L’ashram
se mit alors à ressembler de plus en plus à toutes les autres
organisations néo-spiritualistes du même type. En dehors des
traductions d’Aurobindo, ses publications ne continrent plus que
des textes généralement sans intérêt, et les comptes rendus
interminables des activités de ses membres...
À
partir de 1961, Mirra Alfassa commença également à donner d’autres
entretiens avec l’un de ses « disciples », Bernard Enginger dit «
Satprem » (1923-2007), ce qui devait devenir l’une de ses
occupations principales jusqu’à sa mort. Le résultat en fut le
fameux et indigeste « Agenda » publié par Satprem : 6 000 pages en
13 volumes, où elle discourait interminablement pour exposer des
vues aussi indigentes dans le contenu que dans la forme sur le «
mental des cellules » ou l’avènement de l’homme «
supramentalisé » et immortel… Tandis qu’elle
dévidait sans fin le filandreux bavardage de ses élucubrations, de
ses souvenirs et de ses rêveries, certains Hindous peu scrupuleux,
mais plus pragmatiques s’étaient accaparés la gestion matérielle
de l’ashram pour
le transformer en une véritable entreprise commerciale. Comme
l’observa également Tara Michaël : « sous le prétexte de faire
descendre la conscience sur le plan matériel, ils [les dirigeants de
l’ashram]
avaient acheté la plupart des maisons de Pondichéry, pour les louer
à prix fort aux visiteurs et aux touristes étrangers, au grand dam
des habitants locaux ».
On n’a pas voulu entendre les remarques des géographes, on a voulu faire des ensembles compatibles économiquement avec les régions comme celles de l’Allemagne, mais les régions allemandes ont une ancienneté, une histoire, une cohésion, différentes, une tradition d’autonomie.
La question des transports : le même trajet vous coute 3 euros en bus parce que géré le département, 15 euros en train parce que géré par la région, si une ligne de train passe d’une région à l’autre, il peut ne pas y avoir de concertation.
Comme pour les routes d’ailleurs, à partir du moment ou des voies de communication traversent des régions ou départements différents, pourquoi leur donner un statut local.
Ex parmi d’autres le siège de l’ancienne région Auvergne a été construit puis est devenu inutile peu de temps après son inauguration, il y a donc du gaspillage, les conseillers habitant le Cantal ou d’autres départements doivent se déplacer plus loin, avec des trajets parfois complexes, frais de déplacements, de résidence, temps passé.
Pour l’appellation « Auvergne Rhône Alpes », j’ai entendu un étranger dire qu’il avait été en vacances en Auvergne, à Chamonix.
Je crois plutôt aux intra terrestres, vieilles civilisations disparues, comme ils sont plus développés que nous intellectuellement, ils n’ont aucune difficulté à cacher leurs lieux de vie ou à semer des fausses pistes, celles des extra terrestres par exemple.