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Didier B

Didier B

Né l’année de l’assassinat de John F. Kennedy (sans que cela ait un quelconque rapport), Didier est passionné et intrigué par Internet et ses médias, ainsi que par la rapidité avec laquelle l’information se propage grâce à ces moyens techniques.
Didier aime lire, en particulier la SF et le fantastique, ainsi que l’histoire et la politique. En revanche, Didier à un énorme problème avec la littérature française, quelque soit son époque, même si c’est la seule qu’il arrive à comprendre parfaitement du fait de la langue utilisée.
Didier parle et lit l’anglais, mais sans arriver au niveau de son français.
Il a beaucoup voyagé, notamment aux Etats-Unis et en Australie, et il dispose en ce moment de temps, tout à la recherche d’un emploi qu’il est.
Et, bien qu’il parle parfois de lui à la troisième personne du singulier, Didier n’est pas Alain Delon.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/01/2008
  • Modérateur depuis le 06/02/2008
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Derniers commentaires



  • Didier B Didier B 4 février 2008 11:19

     Tout le monde se souvient (du moins, je l’espère) des explications alambiquées des instituts de sondage, après l’élection présidentielle de 2002, pour justifier de leurs erreurs. Ils ne s’étaient pas trompés, c’était les électeurs qui leurs avaient donné de fausses informations ! 

    Parce qu’une « erreur » comme celle là pouvait potentiellement coûter des millions. Un sondage, quel qu’il soit, est devenu un élément d’information comme les autres, bien qu’il ne soit basé sur aucun fait. 

    De plus, il a remplacé la traditionnel prédiction de Madame Irma, voyante de son état, qui pouvait dans la même phrase nous annoncer la fin du monde et le nom du prochain président de la république, et le public adore les prédictions.

    Répété assez souvent, un sondage passe du statut de prédiction incertaine à celui de vérité incontestable.

    La cause en est sûrement la volonté de synthétiser l’information pour en limiter le coût.

    Plutôt que de faire une longue et coûteuse enquête sur « la réception des premières reformes du gouvernement par les français », on publie un sondage qui dit : « X% des français approuvent les réformes »…

    Chaque medium analyse et interprète ces résultats en fonction des lignes éditoriales et orientations politiques, et transforme les réponses de 300 personnes en une réalité nationale.

    Le système se nourrit de lui-même. Pour une chaîne de télévision ou un journal, ne pas publier de sondage ou ne pas en tenir compte, c’est ne plus faire d’information, et donc perdre de la crédibilité et des lecteurs/auditeurs.

    Les politiques ne sont pas dupes, mais ils sont eux aussi emportés par la vague.

    Ensuite, le « public » trouve sûrement plus facile qu’on pense à sa place, ça lui fait gagner du temps pour se divertir. Parce que, il faut être honnête, la politique, c’est chiant, et ça, c’est la faute des « hommes » politiques, pas celle des médias.

    Il y en a des choses à dire… je vais m’arrêter là, faut que j’aille lire le dernier sondage sur la coté de popularité de ma concierge.



  • Didier B Didier B 4 février 2008 09:54

    Wouah, très bel et bon article, félicitations !

    Maintenant, "Les emmerdements sont pour plus tard."...  Oui, surement ! Mais pour qui seront-ils ? Là est toute la question !

     



  • Didier B Didier B 1er février 2008 14:00

    L’article 67 de la Constitution dit que le Président de la République "... ne peut, durant son mandat et devant aucune juridiction ou autorité administrative française, être requis à témoigner non plus que faire l’objet d’une action, d’un acte d’information, d’instruction ou de poursuite".

    Euh... de tête, comme ça, je crois qu’un divorce par consentement mutuel n’est une procédure contre personne.

    Par conséquent, le président pouvait divorcer. En revanche, n’y aurait-il pas eu d’accord en Cecilia et lui, ils auraient été obligés d’attendre la fin du mandat de Nicolas pour divorcer.

    D’ailleurs cette info est reprise par Le Monde du 30/01



  • Didier B Didier B 1er février 2008 10:40

    Peut être est-ce un signe des temps ?

    L’idée "d’autorité" n’est plus à la mode depuis un certain mois de mai. Il est de bon ton de se révolter, de dire non, de s’affirmer, de faire entendre sa différence. Pourquoi pas, mais encore faudrait-il fixer des limites aux apprentis révoltés !

    Cela se voit dans les écoles, dans les familles (qui sont obligées de faire appel à "Super Nanny" pour élever leurs enfants) ou dans la rue.

    Mon père, 74 ans, me dit parfois que, quand il rentrait de l’école avec une punition, sa mère lui en rajoutait une automatiquement, partant du principe que l’institeur n’avait pas puni pour rien.

    J’ignore si c’était la bonne méthode, mais mon père est devenu un homme bien.

    Peut être pourrions nous (en tant que société) reconnaitre aux enseignants le rôle d’autorité qu’ils avaient encore il y a une trentaine d’années ? Et cesser d’imaginer l’enfant ou l’adolescent comme uniquement une petite chose fragile ?

    A Florence, Savonarole s’est servi de ces mêmes "jeunes" pour faire régner l’autorité, et ces gentils petits êtres n’étaient pas si gentils que ça.



  • Didier B Didier B 31 janvier 2008 23:18

    @ l’auteur

    S’il y a une scene de I comme Icare dont je me souviens, c’est bien celle des électrochocs.

    Mais j’ignorais totalement qu’elle était basée sur des travaux universitaires réels. Et maintenant que je le sais, j’ai peur.

    C’est encore un article qui me fait regretter de ne pas avoir été un peu plus attentif à l’école. Merci d’avoir rempli le puit de mon ignorance.

     

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