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Disjecta

Disjecta

Ancien champion communal de natation (voir photo), puis vainqueur d'un cross départemental, abandonne une prometteuse carrière dans l'athlétisme. Suit une période d'introspection alimentée par le Mythe de Sysiphe de Camus (sans avoir jamais su où placer le "y") et les Cahiers de Cioran qui lui font abandonner le catéchisme. Fait longtemps croire à son entourage qu'il finira prof en suivant des études de Lettres. Bâcle une thèse, refait quelques apparitions dans des compétitions régionales de natation, peaufine son entraînement intellectuel afin de tenter son grand oeuvre : une suite et fin au Château de Kafka, dont il reconnaît surtout espérer le pugilat universitaire qui s'en suivra.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/02/2010
  • Modérateur depuis le 15/04/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Disjecta Disjecta 5 mars 2021 12:26

    @alinea
    Ah ah ! Oui, j’ai un peu mauvais esprit. L’idée profonde de l’article m’est venue en songeant au principe de la mafia, qui n’accorde sa « protection » (c’est-à-dire qu’elle ne fera pas exploser ta boutique) que contre un petit dividende. Du moins, tu conserves ta boutique et tu peux travailler. Le problème des laboratoires pharmaceutiques est bien pire puisqu’ils font exploser ta boutique et ils te demandent en plus de se faire payer pour ça.



  • Disjecta Disjecta 18 novembre 2020 14:26

    Bonjour Pierre Chazal,

    Hélas, trois fois hélas. Qu’est-ce que Robespierre vient faire dans votre liste initiale, à côté entre autres (excusez du peu) de Goering ? La légende noire de Robespierre date de Thermidor. Elle a été prolongée à partir des années 1980 par l’historien Furet et sa bande de fanatiques anti-communistes. Qui ne faisait pas de l’histoire mais de l’idéologie. La Terreur de 1793-1794 attribuée à la révolution est elle-même un concept complètement bidon. Lisez d’urgence Jean-Clément Martin, la Terreur : Vérités et légendes. Il y a eu environ 2500 guillotinés à Paris entre 1789 à 1794. Comparez ce chiffre au massacre de la Commune par Thiers en 1871 (dont tant de rues, d’avenues et de boulevards portent le nom) qui a fait entre 20 mille et 30 mille morts (voire 50 mille) à Paris en une semaine. Je répète : en une semaine. Et la prochaine fois, remplacez le nom de l’Incorruptible par celui de Thiers, vous serez déjà un peu plus crédible historiquement parlant.

    Bien à vous,

    Disjecta



  • Disjecta Disjecta 20 juillet 2020 14:49

    @alinea
    Ah non, alinea ! J’arrive un peu tard, mais interdit de craquer ! C’est pas le moment et on va avoir besoin de vous !
    Bon, on va pas se mentir, en ce moment c’est chaud. Jusqu’à présent, on avait quand même le sentiment de pouvoir se tenir à l’écart (au sens stricto sensu d’écart physique) de tous ces déments élus par nos concitoyens les plus moutonniers. Impression relative, les ouvriers, ça fait trente ans qu’ils encaissent. Et qu’ils encaissent dans leur corps, comme l’a plusieurs fois rappelé Édouard Louis, notamment à propos de son père.
    Le tournant, c’est 2016 (ou 2015 ?), Hollande/Valls et les manifs qui commencent à être systématiquement gazées : ce fut particulièrement symbolique lorsque, avec le défilé du 1er mai, nous ne sommes pas arrivés jusqu’à Nation. La casse des corps ne se fera plus seulement à l’ombre des usines mais en plein jour, dans la rue. Les manifs gilets jaunes ont révélé le pli fasciste pris (« fascistes » : je ne vois pas comment appeler autrement ces ordures, dont beaucoup d’ex-socialos : Macron, Castaner, Béloubet, Lallemand, etc.).
    En tant que petit-bourgeois (donc n’ayant pas subi trente ans de laminage en usine), constater que son propre corps peut être utilisé pour terroriser par un pouvoir supposé au moins faire mine d’être démocratique, ça a été un petit choc. La crise du Covid, l’occasion que certains fous furieux y ont trouvé pour défendre le Redemsevir (contre rémunérations), empêcher la prescription de l’hydroxychloroquine et faire plusieurs milliers de morts, ont été également un (petit) choc. Le temps de se rappeler qu’avec la bourgeoisie, le pire est toujours sûr.
    On est dans un moment de bascule, Alinea, c’est certain. Les petits bourgeois votent verts parce que ça commence à leur chauffer aux fesses (le corps est touché en somme), notamment dans leurs propriétés secondaires où tout est grillé quand ils arrivent l’été. Il y a encore un réflexe de syndrome de Stockholm par rapport à Macron et la crise désastreuse du Covid ; le réveil est très lent car le petit bourgeois n’a pas l’habitude de se remettre en cause. Mais, inévitablement, puisque leurs corps sont touchés, il y en a forcément qui basculent (vers la lucidité et ce que j’appellerais l’axe idéal Chouard/Friot/Lordon). Bon, on aimerait que ça panique un peu plus, vu ce qu’il vient de se passer avec le Covid, la preuve que cela fait au moins trente ans qu’ils élisent des fous ; mais ça avance.
    Bref, courage Alinea !
    (Quand j’ai un petit coup de mou, je vais voir du côté de la biographie de Fidel Castro, et la montagne qu’il s’agissait d’affronter lorsqu’ils débarquèrent à Cuba avec le Granma, le 2 décembre 1956.)



  • Disjecta Disjecta 31 juillet 2019 12:29

    @alinea
    Merci Alinea pour ton partage. Bon, je vais pas te mentir, ce n’est pas trop mon horizon musical... Ceci dit, c’est un peu l’idée de cet article (pause estivale dans le « combat »), partager ce que l’on aime dans la musique.
    Porte-toi bien !



  • Disjecta Disjecta 31 juillet 2019 11:03

    @jojoone2
    Bonjour,
    Il est vrai que j’ai une préférence pour les groupes qui travaillent davantage avec les instruments que le synthétique. Ce qui fait que je porte au pinacle l’album « jazzy » de Mark Eitzel 60 watts silver lining et que j’ai beaucoup plus de mal avec le reste de sa discographie (pourquoi le type n’a pas poursuivi dans cette veine ??).
    Bon, j’ai un faible aussi pour les voix : vous évoquiez Richard Hawley, il y a aussi Stuart Staples, Bill Callahan, Will Oldham.
    Pour Graffiti6, Colours, effectivement on est hors-concours là : voix de boys band, musique synthétique, rythme balourd, paroles d’adolescents, on ne parle pas de la même musique il me semble, jojoone.
    Cordialement

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