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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 25 février 2013 15:17

    Ne t’approche surtout pas de moi pour régler ça dans le sens dit positif. 

    Quant à l’autre sens, il est interdit d’en parler.
     
    Ne traitons de la grande question qu’en stricte solitude.
    On ne peut trouver de décence à procéder autrement.

    Mais on me remettrait le compteur à 42 balais, je n’aurais en tête que de rencontrer d’abord et hors business, des paratonnerres.

    Pour moi, il est désormais trop tard mais à 42 ans, libéré des contingences comme je le suis, je trouverais intéressant de découvrir l’espace qui existe entre les mots.

    Entre le mot petit et le mot grand, il y a le mot moyen. 
    Mais la réalité c’est qu’entre ces trois mots il y a une infinité de réalités intermédiaires 

    Comme nos pensées sont, ici, surtout en clavardant, obligatoirement optionnées par mots tranchés, sans intermédiaires, nous ne disons jamais de nos pensés que ce qu’elles ont de points saillissants (qu’on peut mettre en relief, sur un des mots à disposition)
     
    Cette obligation de ne dire que des chiffres entiers voire que des dizaines alors que nous aurions besoin de dire les décimales, nous conduit forcément à ne voir de nos pensées que des communs.

    Notre communication par mots n’est pas subtile, elle est l’aliénation même.

    Découvrir notre pensée non dialectique, non passée par la grille à frites des mots, me semblerait très intéressant si j’avais ton âge.
    Quand on renvoie une balle de tennis on pense hors-mots et c’est infiniment plus efficace que si l’on passait d’abord notre pensée par les mots

    Il serait intéressant d’explorer les espaces qu’offre la visite silencieuse évoquée hier



  • easy easy 25 février 2013 13:20

    Bonjour Loup,

    Je suis enchanté de votre visite

    Vous le savez, il est des questions dans lesquelles le réfléchisseur va creuser, creuser, creuser et...découvrir que plus il creuse, plus il s’enlise

    Ça fait un moment que j’évite ces pièges. J’examine une question et dès que je sens des sables mouvants, je stoppe pour passer à autre chose

    La TVA, je l’ai pratiquée en tant que consommateur et chef d’entreprise classique. J’ai vu qu’en la creusant, je ne trouvais que du solide et je suis allé au bout, jusqu’à imaginer deux copines de pouvoir d’achat différent faisant leurs courses ensemble et jouant éthiquement des étiquettes de couleur.

    Mais si j’ai bien examiné la question de nos relations inter-contribuables ainsi TVAtisés, je n’ai pas du tout examiné pourquoi nous n’y étions pas

    J’ai seulement introduit lapidairement le fait que pour l’instant, cette taxe comme toute taxe, nous ne la chérissons pas

    Il serait téméraire et inconséquent de passer TVAtistes avant d’avoir examiné pourquoi nous ne le sommes pas déjà

    Quiconque voudra évoquer de nouveau le TVAtisme (je n’ai plus le temps de m’occuper de ces questions trop contingentes, pas assez généralistes) pourra s’appuyer sur ce que j’ai montré d’intéressant de la bestiole mais devra examiner les raisons pour lesquelles nous ne l’avons pas déjà adoptée.

    Les raisons n’ont pas émergé des commentaires de ce papier mais peut-être y avait-il une actualité qui cristallisait les pensées des AVoxiens, je ne m’en souviens plus



    Le résumé de mon TVAtisme serait :

    Tous nos échanges commerciaux devraient devenir éthiques

    Une marchandise devient éthiquée lorsque son étiquette TTC comporte une part de taxe proportionnelle à l’éthique qui lui manque HT 

    L’éthique de chaque marchandise devrait donc être jugée au regard de ce qu’elle apporte à tous.
     
    (Dito pour les héritages)



  • easy easy 25 février 2013 11:07
    ***Tu comprends toujours rien ?***

    Non mais je ne suis pas une bonne référence pour comprendre ton souci immédiat. 

    Mes yeux, l’un en Asie l’autre ici, ne me permettent pas de considérer des éphémères d’autant que je n’en ai plus le temps.


  • easy easy 25 février 2013 10:43

    Shawford,

    Je ne comprends pas de quoi tu parles

    Il m’arrive très souvent de dire comment je vois l’Homme en général mais là je n’exposais que le comportement des confucéens en me concentrant sur eux, en ne pensant qu’à eux, en disant ce qu’ils diraient.



  • easy easy 24 février 2013 21:18

    Allez, tant que j’y suis de digresser, avec votre permission Loup Rebel, je vais vous dire un mot sur la visite silencieuse


    Au Vietnam, un jeune va rendre visite à sa mère, à un oncle.

    Il arrive, salue d’une inclinaison mains jointes, ne serre pas la main. Le parent étant aîné ne s’incline pas et dit « Salut neveu »
    Le neveu commence par demander s’il s’est passé quelque chose de rare. L’aîné lui répond « Que de l’ordinaire » et lui propose à boire, lui sert à boire et poursuit ses activités. Le neveu boit son verre, se lève, erre, trouve un truc à faire, une salade à laver, un meuble à essuyer, il passe le balai. Puis, il demande la permission de partir, ils se saluent et la visite est terminée. Ça a duré une heure ou deux.
    Et ils ne se sont rien dit de plus que ce que j’ai mentionné.

    En l’occurrence deux copines peuvent être assises sur un banc, pendant une heure, sans dire un mot.


    Il n’y a pas d’inquisition des âmes.

    Le confucianisme c’est l’agnosticisme
     « Dieu, par définition est inaccessible. Fou celui qui cherche à le connaître. Occupons-nous plutôt de gérer l’Etat afin que notre vie ici soit harmonieuse » 

    La conséquence c’est qu’il n’est pas non plus question de prétendre connaître une personne.

    Même le valet est inaccessible (on s’attend à ce qu’il soit capable de pondre une pensée remarquable).

    Fou celui qui prétendrait comprendre la pensée intime d’autrui.

    On conbsidère connaître suffisamment les gens à partir de ce qu’ils produisent de paroles spontanées et de paroles très travaillées (telles les pensées, devises, maximes...)
    On n’a pas à les fouiller
    Quand on raconte quelqu’un, on raconte donc ses paroles encadrées. 
    On ne spécule ni ne brode sur ce qu’il n’a pas dit de lui-même.

    Du coup, chacun est avare de paroles et soigne ce qu’il dit

    Du coup, c’est se salir que de rapporter des paroles banales ou vulgaires, que de rapporter des bruits de couloir.

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