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Erwin Act

Erwin Act

Licencié de la Haute Ecole de la Ville de Liège en Vidéographie, Gradué en Infographie aux Cours Communaux des Arts Déco et Industriels, Agrégé de l’enseignement (Haute école Institut Jonfosse, Liège, Belgique).
Fût Consultant Informatique pour les Institutions Européennes.
Réalisateur-scénariste de plusieurs Courts-métrages
"Les amis d’herbert" 26 min - Prix special au Festival International du Film (Liege 1996)
Co-Scénariste "En descendant le Gange" 2002 long métrage
Films de soutien à Denis Robert (www.dailymotion.com/erwinact)
vite ! > http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=20456

Tableau de bord

  • Premier article le 02/03/2007
  • Modérateur depuis le 19/06/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique








Derniers commentaires



  • Erwin Act Erwin Act 12 mars 2007 09:18

    Bonjour,

    je ne pense pas une seconde que vous soyez naïf ou c.., vous le prenez plutôt bien, bien qu’apparement le commentaire s’adresse a une autre ip que la votre. Soit.

    Nos opinions sont de mêmes natures. Nous devons êtres certainement chacun persuadé de ce que nous défendons. Toutefois, vous avez relevé des points importants que vous énoncés. Une chambre de compensation échange entre banques. Ceci est loin d’être un détail. Cet engagement figurait dans les statuts de l’opérateur...Cependant, un retrouve des opérations qui concernent des entreprises qui n’ont aucune activités banquaire, ainsi que de comptes de particuliers, semble-t-il.

    Je vous entend bien sur le point de désaccord qui voudrait que l’enquête de l’auteur repose sur le dol ou le vol. Comment dire... Disons que depuis toujours, le journalisme d’investigation est fait de cela. Denis Robert n’a rien volé. Ce sont deux anciens employés de la firme ainsi qu’un consultant de la société d’audit Arthur andersen (vous vous souvenez, l’audit Enron ?) qui ont communiqué les informations au journaliste. Il faut, pour mieux comprendre leurs gestes, nous remémorez le contexte de l’époque. Nous étions tout juste après « L’appel de genève », rassemblement de grands juges internationaux qui s’alarmaient de leur manque de moyens pour luter contre la criminalité financière internationale. Cette participation de Denis Robert à cet important évènement le rendu crédible auprès de nombreux intervenants et acteurs de la finance de course.

    Ces personnes ont communiqué les informations de la banque à Denis Robert, qui deslors à été inculpé de « Recel de vol ». Je me permet d’insister sur « recel » car, à l’inverse du vol, « le recel de documents », fait partie du métier de journaliste. J’espère à présent avoir resitué mieux le position de Denis Robert sur ce qu’il ressent lorsqu’on l’inculpe pour ce motif. Le syndicat national du journalisme, Reporters sans frontieres se sont d’ailleur inquiétés de cette inculpation...

    Je voudrais juste souligner un point qui me paraît important. Pensez-vous qu’un trentenaire, anonyme, qui a un pied dans la finance prenne un matin la décision de communiquer ce type d’informations juste pour se faire rire ? qu’un journaliste prenne le risque, au delà de sa sécurité personnelle, de divulger pareilles informations ? Bien entendu, je vous sent curieux et attentif a cette affaire, et vous trouverez, je n’en doutes pas, de quoi remettre en cause.

    Je vous l’ai déjà dit. Des personnes, à la source des révélations n’ont jamais été poursuivie en diffamation. Le documentaire de Denis Robert et Pascal Lorent « L’affaire Clearstram racontée à un ouvrier de Daewoo » (bac films)n’a jamais été attaqué. Regardez donc ce film, la banque n’a rien trouvé à dire.

    Enfin, un autre auteur, Gergorin, dans son « Rapacités » à pris le relai. Disons, pour faire vite, que nous avons à présent le point de vue du numéro deux D’EADS, et de son témoignage percu en tant que client et utilisateur. Réjouissons-nous de cela. Ca fera enfin des vacances pour Denis Robert.

    Mais pardonnez moi, il faut que j’y aille, j’entend des bruits de bottes dans la cours...je dois vous laissez à vos incertitudes que je conçois, croyez moi, mais elles resteront, au risque de vous décevoir, très en dessous de ce qui est à mon sens, acceptable.

    bàv

    Liens utiles ...

    http://www.lettresdesoutien.blogspot.com/ http://lesoutien.blogspot.com/2007/01/notre-service-epay-vous-permet-de.html

    www



  • Erwin Act Erwin Act 10 mars 2007 10:01

    (oups, vous voyez, j’ai créé un doublon)

    C’est là l’intérêt que l’on trouve à lire et voir (ou revoir) les enquêtes de Denis Robert et Pascal Lorent. Du reste, « La domination du monde » (bientôt disponible au format ’poche’) sera accessible au plus grand nombre. Si on n’aime pas le style Robert, on peut lire un autre auteur, avec le « Rapacités » de Gergorin. Si aucun des auteurs ne fait votre affaire, il reste le résultat de la commission d’enquête parlementaire française. On y discerne mieux les difficultés des juges financier lors de leurs demandes de commissions rogatoires.

    J’ai eu un sursaut de joie en lisant votre commentaire. J’ai bien failli croire que nous vivions dans un monde parfait, ou les moyens humains, techniques et judiciaires étaient donné aux organismes de contrôles publiques, qu’ils soient européens ou luxembourgeois. Ce manque de moyens fut la raison d’être de l’appel de Genève il y a dix ans. Des juges internationaux se mobilisaient à l’initiative de Denis Robert pour dénoncer le manque de moyens des juges dans les domaines de la criminalité financière. J’ai failli croire aussi, que les états avaient un pouvoir de contrôle sur la finance luxembourgeoise et que les enquêtes parlmentaires n’allaient plus êtres stoppées au seul argument que le luxembourg est un état souverain. Cet état immensement peuplé (60 000 luxembourgeois de souche, si je ne m’abuse) qui décide, de son lourd poids, de la manière dont il va traiter des affaires qui concerne aussi l’europe - justement -. J’ai failli croire, enfin, que la séparation des pouvoirs devenait réalité dans un pays, rapellons-le, où le ministre du trésor est aussi celui de la justice. Si tout est parfait, je m’en réjouis. On va enfin voir les salaires, le niveau de vie européen, la diminution de la dette publique croître au même rythme que celui des bénéfices des banques et de leurs clients. Plus que quelques mois a attendre dans ce cas.

    Je comprends vos questionnements mais je ne peux me résoudre à ignorer ne ceux de juges qui peinent, dans le secteur financier, à faire leur boulot, pour ne parler que d’eux.

    Lisez un des ouvrages de Denis Robert, et on en reparle. (c’est dit sans provocations)



  • Erwin Act Erwin Act 10 mars 2007 01:06

    Hello Lulu. Je comprends ce que tu veux dire. Tu as raison. Le fait qu’une entreprise se donne des moyens colossaux pour se défendre ne donne pas raison à un journaliste. Mais soyons objectif ; Des employés de la firme ont reconnu devant la justice avoir effectués des opérations de dissimulations au sein de la banque. Ces employés n’ont jamais été poursuivi pour diffamation, alors qu’ils sont à la source même du début des enquêtes. A présent Gergorin, qui n’est pas en posture de faire des déclarations pour amuser la galerie, publie un bouquin dans lequel il décrit et d’après de nouvelles sources, des faits similaires que ceux rapportés par les enquetes de Denis Robert. Sans oublier une commission d’enquete parlementaire - et ce n’est pas rien dans une démocratie - qui est très loin de conclure à un consensuel ’tout est ok’, bien au contraire. Les listings, les témoignages mêmes de certains responsables du systeme bancaire qui pavanent en déclarant publiquement que « bientôt ils ne trouveront plus de lieux clos, à la maniere des procès à huis clos, pour parler de leurs petites affaires », et d’ajouter que « c’est peut-être le prix à payer dans ce type de démocratie » démontrent à la limite de la nausée, le respect qu’ils ont des systèmes démocratiques.

    Je me suis bien entendu déjà posé la question inverse, il est d’ailleur nécessaire de se poser la question de la véracité des questionements de Denis Robert. Et si... effectivement...Et si... Mais puisqu’il n’y a rien de « croustilleux », nous sommes tous d’accord. Laissons la possibilité à un organe de contrôle international, sorte contrôleur financier international, extension de l’OLAF ou apparenté, de contrôler qu’effectivement tout va bien. Les chambres de compensations sont nécessaires. La dessus, à nouveau, nous sommes d’accord. Le principe du hors piste est risqué. Il faudrait peut être commencer à réfléchir comment et pourquoi la légalité permets des manipulations qui profitent toujours aux mêmes. Il y a des trous dans la législation, un manque de moyens évidents, une volonté politique quasi inexistante de vouloir s’appropprier le sujet. En restant juste sur les points de fonctionnements légaux, sans nous arrêter aux aspects plus difficiles d’acces dont font état Denis Robert et à présent Gergorin, nous devons nous inquiéter de la légalité de certaines opérations. Les lois sont faites par le temps, par l’éxpérience qu’on les entreprises et les individus entre eux et des conflits qui en découlent. Sur ce point, on peut au moins admettre que les dernières enquêtes soulèvent un certains nombres de questions sur la possibilité de continuer à maintenir un systeme semblable, sans autre contrôle que la bonne foi des opérateurs. Parce que sur leurs déclarations, nous pouvons aussi nous poser la question...« Et si... »

    Merci pout ton commentaire, il est important de ne pas toujours être d’accord. Ca permet de débattre.



  • Erwin Act Erwin Act 9 mars 2007 14:39

    Je me permet d’intervenir

    Le comité de soutien à Denis Robert à franchement besoin de fond. La capacité financière, les assaults à répétitions et l’arcenal judiciaire de l’autre camps survole largement les moyens auxquels un journaliste indépendant peut faire face.

    D’ailleur, qui pourrait faire face ?

    L’idée, pour le comité de soutien, est d’avoir un soutien financier à la hauteur du sujet de conversation. Chacun en fonction de ses moyens, de sa détermination, de son sentiment de devoir agir ou pas. Que ce soit 10 Euros, ou plus, ou moins...

    ****

    Juste pour modérer un peu les propos, il est important de comprendre que le débat n’est pas une bagare gauche-droite-centre. Il est plus globalisant que cela. Il va au-delà de la politique. Nous parlons d’une affaire qui emporte avec elle toute les tendances politiques. Quelles soient de gauche ou de droite. Personne n’a intérêt à tolérer un système semblable. Les pertes sont et seront désastreuses, qu’il s’agisse d’une gestion de gauche ou d’une gestion de droite. La galaxie dont nous parlons se fout de la politique. Elle l’a créé. Elle l’a domine.


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