Et hop !

@moderatus : «  émasculer, mettre le sexe coupé dans la bouche, ébouillanter, éventrer des femmes enceintes mettre des chats dans son ventre et fermer, éclater la tête d’enfants et de bébés contre un mur, violer votre femme devant vous et la décapiter  »

Vous avez de l’imagination, il s’agit d’actes de barbaries, c’est une incrimination du Code pénal en plus du meurtre, du viol, etc.

@Lynwec : «  Je n’ai sous les yeux aucun titre de la presse (allemande ou de collaboration) mais il y a de fortes chances que les actions destructrices de la résistance française (ou d’ailleurs) aient été présentées par les nazis comme de la barbarie, etc... »

« Acte de barbarie », n’était pas une incrimination à l’époque, cela désigne actuellement des actes de cruauté graves.

Pour les Allemands, les résistants qui tuaient un soldat ou posaient une bombe commettaient des actes terroristes, si ils étaient capturés ils étaient condamnés sous cette incrimination. Par contre, un soldat qui est capturé après avoir mitraillé des soldats et posés des bombes contre des objectifs militaires est prisonnier de guerre, il doit être bien traité et ne peut être puni.

Ce qui assure l’immunité des populations civiles, c’est d’une part de ne pas participer aux hostilités, d’autre part que les armées qui s’en prennent aux civils peuvent être punies pour crime de guerre.

@Hervé Hum

« Acte de terrorisme » et « crime de guerre » sont des incriminations définies l’une dans le Code Pénal, l’autre dans différents traités internationaux comme les accords de Genève.
Ce n’est ni à vous ni à moi d’en faire les définitions : des militaires qui mitraillent ou bombardent des cibles civiles commettent un crime de guerre, même si c’est dans le but de terroriser la population, de faire régner la terreur.

Des activistes civils qui mitraillent des militaires ou posent une bombe dans une caserne commettent un acte terroriste, ils sont passibles de la Cour d’assise.
Les guerres sont faites par un État à un autre État pour obteni un but de guerre, elle n’est pas faite à la population.

Les soldats du Hamas et les soldats de Tsaal peuvent commettre des crimes de guerre, pas des actes de terrorisme. D’autre part, le gouvernement israélien peut être poursuivi pour crime contre l’humanité, en plus des crimes de guerre.

@Lynwec : « simplement vous refusez de nommer terrorisme les bombardements sur des populations essentiellement civiles, un peu comme on n’a jamais osé nommer terrorisme les bombardements atomiques de 1945...qui en étaient pourtant... »

Les bombardements sur civils par une armée régulière ne sont pas des actes de terrorisme, mais des de « crimes de guerre » qui relèvent des cours martiales et des tribunaux militaires internationaux.

Même chose pour les combattants du Hamas qui sont des soldats de la Palestine si ce sont bien eux qui ont massacrés les civils et pas les tirs et les bombardements l’armée israélienne comme cela semble être le cas d’après de nombreux témoignages de civils israéliens .

Les « actes de terrorisme » c’est quand des civils utilisent des armes de guerre ou des explosifs, que ce soit contre des civils ou des objectid militaires, ils sont passibles de la justice pénale du pays, et ne justifient pas une riposte militaire mais une enquête de police.

@moderatus : «  un peu moins de 1%, mais 60% des actes et agressions racistes !
c’est normal ? »

Il ne s’agit pas d’actes mais de signalements, c’est comme les cas Covid.

Toute agression réelle ou supposée contre un juif, y compris par un autre juif, est comptabilisée comme une agression raciste.
On compte les 250 agressions antisémites par étoiles de David peines en bleu au pochoir sur un mur.