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Formule4

La liberté n’est pas un simple mot. La liberté est difficile, elle est couteuse.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/06/2007
  • Modérateur depuis le 03/03/2008
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Derniers commentaires



  • Formule4 11 février 2008 10:27

    On comprend que le président, percevant le danger, ait réagi aussitôt judiciairement en niant l’existence de ce SMS et en poursuivant le magazine pour faux et usages de faux.

    Apparement, quoi de plus normal que Nicolas III intente des procès à la presse, où à un organisme privé, pour utilisation de son image dans une pub ou atteinte à ses SMS privés ?

    Pourtant, dans la même idée que son jugement de divorce (qui a donc statué que le divorce était de consentement mutuel ?), on peut se demander si un juge peut rendre un jugement en faveur, ou en défaveur, de Nicolas Sarkozy actuel Président de la République et chef du pouvoir exécutif.

    Pour être polémique, je pense que les adeptes de la "LOI" et de la tolérance ZERO trouveront normale cette atteinte caractérisée à la séparation des pouvoirs judiciaires et exécutifs, une séparation indispensable pour assurer les fondements d’une République non bananière.

    La vie dite privée du Chef de l’Etat est elle donc aussi privée qu’il puisse imposer à un juge de statuer pour ou contre lui ? Et le jugement n’est-il pas tout simplement anti constitutionnel ?

    Comment ne pas comprendre qu’un juge accordant ceci (un divorce) ou cela (des dommages et intérets) au Chef de l’Exécutif ne soit pas un acte politique ?

    Par jeu, poussons plus loin le discours juridique : si le jugement de divorce n’est pas légal, alors Nicolas Sarkozy est-il bigame, encourt-il les peines de l’article 433-20 du Code Pénal ? La réponse reste NON puisqu’un juge ne peut rendre de décision concernant le chef de l’exécutif.

    Reste la Haute Cour, seule compétente pour juger le Président de la République.

     



  • Formule4 31 janvier 2008 21:38

    Comme dirait (en gros) Raymond Devos, qui est parti, depuis, faire rire l’Eternel, le comique se transforme en vulgarité lorsque l’artiste ne travaille pas assez ses textes. Anne a bien le droit de faire de l’approximatif comique, tout comme Bigard, qui était gras et drôle, et qui est devenu gras, surement à cause de ses fréquentations. C’est le public qui tranchera.

    La liberté que l’on peut accorder au comique et à la satyre ne tient pas en une réponse aussi simple qu’il paraît à première vue. Rappelons-nous à ceux sujet deux événements "comiques" pas si anciens :

    L’affaire des carricatures du prophète

    L’affaire des personnages interprétés par Dieudonné

    On s’aperçoit que, selon ses propres sensibilités, on est amené à accorder plus de libertés à un comique qui carricature ce que l’on n’apprécie guère. Inversement, on s’offusque plus ("comment peux-t-on accepter d’aller aussi loi ? Trop c’est trop") de la carricature des valeurs qui nous tiennent à coeur.

    Peut-on dire, en définitive, qu’une carricature ne doit pas chercher à nuire ou à briser les idées où les personnages visés ? Qu’elle doive se concentrer sur un fait, un trait de caractère, qui peut être dissocié de la personne elle-même (comme la marionnette de Johnny des guignols qui a sa vie propre différente de celle du chanteur) ? Et qu’au moment où l’auteur emploie son talent à détruire des idées qui ne sont pas les siennes, ou des personnages qu’il n’apprécie pas, il sort de son rôle de comique ?



  • Formule4 31 janvier 2008 21:12

    Je considérais le rapport Attali comme une espèce de Brainstorming où des idées neuves seraient à creuser parmi un fatras d’impossibilités diverses. Evidemment, il serait bannanier (au sens républicain) d’appliquer un "rapport d’experts" sans en passer par les commisions parlementaires, les partenaires sociaux et le vote assemblée + sénat.

    J’attribuais donc à ce document la valeur d’un fil de travail qui aurait pu, peut être, ouvrir les yeux sur certains archaïsmes de nos habitudes à modifier sur un long terme pour ne pas perturber les fragiles équilibres de la société et de son économie. Après tout, avoir des idées n’est pas encore interdit.

    A lire votre article, il semble que ce rapport, fait de banalités et d’enfoncement de portes ouvertes, ressemble plus à un certain rapport "à la Xavière Tibéri" qu’à un véritable document de travail.

    Finalement, Attali n’aurait-il pas fait simplement un "ménage", comme le font certains présentateurs télé, pour arrondir ses fins de mois et préserver son pouvoir d’achat ? Et comment, dans ce cas, lui en vouloir ?



  • Formule4 28 janvier 2008 16:46

    Je partage une grande partie de votre point de vue. Violence médiatique à l’école = pénalisation = irresponsabilisation et asservissement des citoyens.

    Vous n’avez pas mis en avant que l’on (JP Pernaud) confond, à dessein, plusieurs formes de violences telles que celle des enfants livrés plus ou moins à eux memes dans une cours de récré, une violence peut etre moderne qui gangrènerait les classes (alors qu’avant c’estois mieux), et la violence extérieure aux établissement, le tout emballé pesé pour simplifier jusqu’à la carricature une jeunesse qu’il serait de bon ton de punir et sanctionner.

    Cela dit, si en effet les profs sont les plus formés pour gérer les classes, il ne faut pas non plus éviter les critiques pertinentes qui ne cherchent pas à incriminer mais plutôt à affiner les réglages. Par exemple, le savoir est-il trop académique (oui), la pédagogie est la parente pauvre de l’eseignement des profs (oui), les programmes sont (volontairement) ininteressants ou au contraire vidés de toute substance pour ne pas "effrayer" l’élève (cas de la physqiue et des maths jusqu’en 1ere par exemple), voire hors de tout contexte moderne (pour l’histoire qui est manifestement apprise à l’envers, du plus ancien vers le plus récent).

    Quant aux parents d’élèves, alors la...



  • Formule4 28 janvier 2008 16:03

    Ainsi donc, il "suffirait" d’appliquer le règlement, les lois, les punitions et tout le tintouin pour revenir à des écoles calmes sans violence.

     

    "Formule4, je ne vois pas trop votre logique. Il suffit donc de ne pas appliquer le règlement et les lois pour revenir à "des écoles calmes et sans violence" ? Vous pourriez développer un peu ? Vous découvrirez qu’un enfant a besoin de règlement, de lois, de sanctions pour se respecter lui-même et se construire une identité d’homme libre. "

    Cher Renaud, votre discours simplifie une fois de plus à outrance la psychologie (et vous faites une erreur volontaire dans la logique de négation). Je fais juste remarquer que s’abriter derrière un règlement qu’il faudrait respecter pour une école sans violence est un pur miroir aux alouettes, de même que les peines plancher, l’enfermement à vie de personnes sans jugement (si si, c’est contraire à la constitution mais apparement on s’en bat l’oeil), et autres billevesées qui font croire que la technologie et la sanction sont l’avenir de la société. Peut être l’avenir d’une société de consommation de masse où nous serions tous des moutons à pousser notre caddie dans des allées stéréotypées.

    Si vous pensez vraiment que le respect doive etre imposé à coups de baguettes, qu’un "minimum" de règles seront ainsi respectées par la crainte ou la magie du St Esprit, je respecte votre opinion mais ce n’est guère la mienne. Non pas que j’aie plus raison que vous mais les faits sont tétus. La brutalité et la violence de l’ordre engendre le désordre.

    Les réponses à la violence scolaire, comme à la violence tout court des "djeuns", ne réside pas dans des textes et du papiers. Il faut avoir le courage d’en chercher les causes. Ce n’est pas excuser la violence que d’en chercher les causes comme ce n’est pas abandonner le malade que de chercher la cause de sa maladie plutôt que d’en traiter uniquement les symptomes.

    Dois je rappeler encore que des enfants à qui l’on dit "NON" ne font pas automatiquement de sages citoyens qui votent comme ci ou comme ca. Et que réciproquement, des enfants élevés dans un consensus, sans opposition physique majeure, ne tournent pas forcément délinquants. La psychologie(pas celle de Madame Figaro) est plus complexe, et heureusement.

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