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Frankie

Frankie

Deux décennies passées dans le cinéma, devenue auteur/scénariste, elle est aussi blogueuse sur 20 minutes. Les "tribunations" de Frankie ou comment une parisienne à sa fenêtre sillonne les routes parallèles de l’info : de Velikovsky à "Looking for Richard", des prisonniers politiques tibétains aux "Skull and Bones", de "Blade Runner" à Carl Sagan, de Eisenhower aux divinités d’Asie, de Scorsese à Amin Maalouf, de Jésus aux "Rubaiyat" d’Omar Khayyam, de faits de société en coups de coeur, Frankie ne considère rien comme acquis mais plutôt comme des vérités temporaires. Son credo : "Open your mind"
Retrouvez-là sur http://lestribunationsdefrankie.blog.20minutes.fr et sur http://www.lestribunationsdefrankie.com
 

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  • Premier article le 01/06/2007
  • Modérateur depuis le 04/07/2007
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Derniers commentaires





  • Frankie Frankie 13 novembre 2007 14:46

    Tous le monde a un avis sur la Corse mais certains, pour ne pas dire une grande majorité, parlent sans savoir réellement de quoi ils parlent, ne faisant que répéter ce qu’ils entendent au JT depuis des années, source de malentendus et d’amalgames en raison d’une méconnaissance de la « politique » sur place et des « échanges incertains et ambigus » avec le continent et l’Etat. Fou aussi le nombre de gens qui, chaque année, va se bronzer en Corse et profiter de « l’île » mais qui sitôt rentrer à Paris, n’a de cesse de trouver aux corses tous les défauts de la terre, sans compter les « petits noms sympathiques » dont on les affuble. On se pâme à la vision de certains endroits encore vierges de toute construction à l’instar de la Cote d’azur, mais personne ne se demande comment les Corses ont pu préserver une partie de l’ile, en dépit des magouilles, des pratiques mafieuses et autres petits arrangements entre « amis ». Cette île (et ses habitants) mérite mieux que tout ce que l’on entend et ce qu’on lit à son sujet. Plus sérieusement : il serait judicieux de replacer la mort du Préfet Erignac dans son contexte et se remémorer la politique d’alors avec une seule question à la clé : A qui profitait le « crime » et pourquoi ? La Corse n’est pas la Sicile : les gens se soutiennent mais les Corses ont une aversion pour les crimes de sang et autres crimes « crapuleux » n’en déplaisent à certains. L’article est intéressant : pour ma part, je le trouve un peu trop « politiquement correct » ; pardon à l’auteur, et un peu trop continental « Pourquoi a-t-il fallu autant de temps avant de procéder à l’arrestation de Colonna ? » bonne question. Dommage que vous n’ayez pas fouillé un peu plus ? smiley Le scandale Corse ? Là pour le coup, je souris ! Une vision et une réflexion un peu plus large auraient été souhaitables. L’indignation ne fait pas avancer les choses. Pour ceux que ça intéresse, il faut lire « Pour solde de tout compte » de Jean-Michel Rossi et François Santoni, deux militants de l’ombre qui en 96 sont devenus les dirigeants majeurs de la Cuncolta ; ils ont quitté leurs fonctions en 98 après l’assassinat du Préfet Erignac. Rossi a été assassiné fin 2000 après la parution de ce livre. Pas de langue de bois dans ce livre mais une version inédite des rapports entre l’Etat français et la Corse.



  • Frankie Frankie 16 juillet 2007 16:17

    Un jour sans fin avec Bill Murray,Andie MacDowell ????  smiley



  • Frankie Frankie 16 juillet 2007 15:01

    Bonjour à tous

    @ la taverne : merci ! smiley bien vu pour la 3e personne...

    Concernant la mort, nous avons du mal à la concevoir, encore moins à accepter la notion de fin qui pourtant existe pour toute chose qui « vit », indépendamment de la religion ou de toute vision philosophique. Nous la percevons comme cruelle lorsqu’elle touche nos proches, inacceptable lorsqu’elle frappe des êtres dans la fleur de l’âge, terrifiante lors de tragédies car elle nous renvoie à la notion de hasard ou de destin, et nous rappelle qu’elle fait partie intégrante de notre existence ; et cependant, elle reste tabou dans nos sociétés occidentales comme si le fait d’en parler et de murmurer son nom éveillerait son intérêt. Je ne crois pas que Freud prétendait à une vérité absolue lorsqu’il parlait d’immortalité inconsciente. Pour ma part, je crois que cela relève davantage de l’importance que nous accordons à notre ego (premier outil de travail du psy) et à la vanité qui s’en suit, nous laissant imaginer qu’il restera quelque chose de nous lorsque nous nous en serons allés, comme « un petit brin d’immortalité ».

    Quant aux limites de l’être humain, l’histoire a prouvé qu’il est capable de les repousser et de les dépasser ; en situation d’horreur absolue, dans le bien comme dans le mal, les hommes sont capables de transgresser toutes les idéologies ; la question est ? à quel prix ? En cela l’histoire d’Icare est édifiante... Restons humbles, vivons le mieux possible dans l’instant présent et tâchons de ne blesser personne ; là je crois que nous aurons atteint une étape acceptable dans l’histoire de l’humanité et qui sait « l’immortalité » ? smiley



  • Frankie Frankie 18 juin 2007 16:46

    Sympa BB d’avoir clarifié la situation : en relisant, je me disais « que de confusion » et, soit dit en passant, je n’engage personne à aller faire du vélo sur le périph smiley il y a donc bien un périph extérieur et un intérieur connus des automobilistes et des motards et les Maréchaux où l’on peut « véloter »... smiley

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