• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Fred59

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 12/05/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 141 17
1 mois 0 1 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • Fred59 6 décembre 2013 21:25

    Je te mets au défi de trouver dans le programme du front national des propositions claires et nettes de sortie de l’UE, de l’otan ou de l’euro.
    Trouve une seule profession de foi d’un candidat FN qui annonce clairement la sortie de l’UE comme promesse électorale... Si tu nous mets le lien ci-dessous je prends une photo où je danse sur une jambe autour d’une statuette enroulée dans du jambon.



  • Fred59 20 novembre 2013 17:30

    Oui, j’en conviens et beaucoup de lecteurs aussi !

    mais voici quelques causes tout aussi déterminantes qui affaiblissent leur capacité à agir :
    - Absence de souveraineté, aliénation à des accords ou influences économiques ou diplomatiques
    - Les ministres s’expliquent peu et ne s’appuient pas sur un soutien clair de leur peuple.
    - Technicité extrême et ridicule de chaque décision, vidant la politique de son sens.



  • Fred59 20 novembre 2013 13:39

    Bonjour

    Je n’arrive pas à comprendre si, pour l’auteur, le plus grave est que le gouvernement soit impuissant... ou qu’ils soient trop nombreux à exercer cette impuissance publique.

    Des deux problèmes, j’imagine que l’auteur se focalise sur l’impuissance publique et cherche une solution. Or réduire le nombre de ministres ne rendra pas automatiquement le résidu de gouvernement plus efficace...

    Regarder ce qui se passe chez les autres, pourquoi pas... Mais considérer que tout ce qui diffère des pratiques de nos voisins relèverait d’une infériorité, voilà un bien mauvais procédé. Une induction automatique, auto-dévalorisatrice, rabâchée, destinée à effacer la pensée et la capacité à construire. Une machine à conformisme, à broyer la diversité, l’innovation, l’avenir.

    Au lieu de 40, ou 25, marionnettes serviles et carriéristes, prenons le temps de réfléchir sans effroi à un gouvernement de 200 ministres ayant de réelles capacités de manoeuvre chacun dans leur domaine, et de réelles possibilité de résoudre les problèmes du pays, assortis d’une équipe complète autour du premier ministre pour assurer la cohésion de l’ensemble. L’idée à première lecture peut sembler absurde, mais... est-ce vraiment plus absurde de croire qu’un gouvernement sera plus efficace juste parce qu’il serait moins nombreux ?

    Est-il absurde de penser que les causes de l’impuissance gouvernementale ne résident pas là où l’auteur les cherche ?



  • Fred59 24 octobre 2013 18:02

    Vous avez tout à fait raison, le système actuel rend les deux problèmes indissociables et les maintient verrouillés ensemble. Mais ce n’est pas une fatalité. Sans l’euro, avec une monnaie nationale, on peut résoudre ou ne pas résoudre le problème de création monétaire.

    En revanche, l’euro est déjà une monnaie commune ; pas une monnaie unique. Les allemands ne s’y trompent pas et l’appellent ’die gemeinsame Wâhrung’ = la monnaie commune. Les banques centrales existent toujours, bien qu’elles soient fortement assujetties à la bce. Un euro espagnol est toujours aujourd’hui une créance sur la banque centrale espagnole.

    C’était une demande expresse de l’allemagne pour l’acceptation de l’euro, et c’est aujourd’hui une de leurs sources d’inquiétude expliquant le succès d’Alternativ für Deutschland auprès des milieux d’affaires allemands. Ils n’accepteront pas éternellement de devoir imprimer de beaux euros allemands pour garantir des avoirs grecs ou portugais.

    Ceux qui prétendent résoudre le problème en passant de la monnaie unique à la monnaie commune l’ignorent mais ce qu’ils proposent existe déjà et ne fonctionne pas.



  • Fred59 24 octobre 2013 15:10

    L’auteur ne semble pas répondre aux arguments de fond de M. Pinsolle.
    Les points qu’il amène sont à revoir précisément :

    1) il veut nous faire croire que les dévaluations n’ont eu aucun effet positif. Or il y a très largement de quoi contester cette thèse, d’une part sur les effets de court terme ( c’est comme amorcer une pompe), d’autre part sur les effets négatifs à long terme d’une absence de politique de taux de change.

    2) Avec ou sans l’euro la dette ne change pas, ok. Mais au moins sans l’euro nnous ne sommes pas plombés par la dette des autres, et nous pouvons couper le circuit créateur de dette pour l’avenir.

    3) Vos solutions n’apportent aucune garantie aux détenteurs actuels de la dette. Bien au contraire, vous poussez à l’accroissement de la bulle puisque vous refusez qu’elle éclate. C’est reculer pour mieux sauter. Au-delà d’un certain seuil, pour couper plus avant dans les dépenses publiques sans remettre en cause vos dogmes vous ne pourrez plus proposer qu’un génocide à l’échelle du continent (au moins sa moitié sud). A poursuivre les mécanismes actuels, combien de temps avant que vous n’en arriviez là ? Et arrivé là, quelle politique soutiendrez-vous, où sera votre limite ?

    4) il s’insurge de l’adjectif ubuesque, mais n’apporte aucune contradiction

    Est-ce l’un des distillateurs des éléments de propagande à destination des chiens de garde, ou bien est-il un simple répétiteur qui ne se rend pas compte du contenu historique, idéologique et des résultats évidents de la cause qu’il relaie ?

    M. L’auteur, M. Pinsolle vous accorde la première de ces positions, or vous semblez ne pas l’endosser pleinement : mais alors, vous pouvez encore revisiter vos positions. Votre démarche relève-t’elle de la science ou de la croyance ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Tribune Libre Europe Grèce Dette

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv