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Frédéric

Enseignant et responsable associatif dans le domaine de l’accompagnement scolaire, dans un quartier populaire, je suis de près les évolutions de notre système éducatif. Par ailleurs, webmaster et auteur de plusieurs sites Internet.

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  • Premier article le 29/10/2009
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Derniers commentaires



  • Frédéric 19 janvier 2010 22:51

    Je me ravise car je précise quand même que vous avez quelques difficultés à distinguer les faits de l’interprétation qui en est faite.

    1) Le fait que les engagements ne soient pas écrits rend libre la personne de s’en aller si elle ne souhaite plus les respecter. Ce n’est quand même pas bien compliqué à comprendre. Quelqu’un fait partie de l’Opus Dei s’il en a envie. S’il n’a plus envie, il part. Basta.

    2) A part quelques exceptions, tous les membres de l’Opus Dei ont une activité professionnelle. Alors, l’idée que personne ne travaille, et que les membres sont exploités pour faire des basses besognes de l’Opus Dei, est une idée parfaitement étrangère à cette institution. Si besoin est, le droit du travail y est respecté : je vous rassure. Même si c’est très éloigné de la réalité de l’Opus Dei, où je le répète tout le monde ou presque a une activité professionnelle, demandez-vous un instant si les religieux ont un contrat de travail avec leur communauté pour récolter le raisin de leurs vignes. Je vous laisse trouver la réponse.

    Pour le reste, c’est du même calibre. Et je n’ai vraiment pas envie d’essayer de vous convaincre.

    Vous interprétez comme vous l’entendez les racontars qui sont arrivés jusqu’à vos oreilles, qui sont eux-mêmes le résultat d’une interprétation, sans avoir une seule seconde l’idée d’aller vérifier par vous mêmes, ou en croisant vos sources. Je le répète une dernière fois : ce serait cela l’honnêteté intellectuelle qui semble tant vous manquer.

    Quand à m’accuser de défendre une institution totalitaire, que voulez-vous que je vous dise ? C’est vous qui avez décidé qu’elle l’était. C’est votre problème et je ne peux vraiment plus rien faire pour vous. Je vous laisse le dernier mot, c’est promis. Mais si des lecteurs passent par là, ils feront la part des choses. Le fanatique, c’est vous, et vos réactions le montrent bien.



  • Frédéric 19 janvier 2010 22:29

    Indécrotable. J’abandonne.



  • Frédéric 19 janvier 2010 14:47

    Je reviens cette fois ci exprès.

    Ce qui est en cause, ce n’est pas le contenu qui est en partie vrai - en partie seulement - mais l’interprétation qui en est faite, et qui exclue toute décision libre de la part des intéressés, comme s’ils n’étaient que des zombies au service d’une institution totalitaire. Et vous convaincre de cela est absolument impossible. Donc, à quoi bon essayer.

    Dois-je vous convaincre qu’il est logique et normal qu’un père de famille se prive librement de certains plaisirs pour s’occuper en priorité de son épouse et de ses enfants. Pensez-vous que le don de soi à une cause ne peut être qu’un acte de folie ? Si vous pensez ainsi, alors vous ne comprendrez jamais les institutions à caractère spirituel et vous verrez des sectes à tous les coins de rue.

    C’est tout ce que je voulais vous dire : rencontrez des personnes de l’Opus Dei et vous pourrez ainsi attester ou infirmer vos certitudes. Sans cela, votre discours n’étant pas crédible, et même assez burlesque, je vous conseille simplement de le garder pour vous. Vous faites ce que vous voulez car vous, vous êtes libre smiley sauf de vos préjugés smiley)... mais bon, comme nous tous, sauf que je ne me mêle pas de ce que je ne connais pas personnellement. C’est un principe qui est peut-être malhonnête, mais qui permet d’éviter les faux procès en sorcellerie. Et notamment de se ridiculiser.



  • Frédéric 18 janvier 2010 08:58

    Je reviens par hasard sur cette page et suis venu voir si vous aviez répondu. Vous voudriez que je conteste les six points de ces opposants mais ce serait à vous de faire ce travail en faisant une étude (croiser des sources), et éventuellement, une enquête sérieuse (rencontrer des personnes de l’Opus Dei, et vérifier par vous même le degré de soumission de ces personnes : vous risqueriez d’être surpris). Vous n’en avez pas le temps : et bien, arrêter de faire votre Zorro, ardent défenseur des masses stupides et ignorantes, qui n’ont droit qu’à votre mépris, celles-là même qui rejoignent des institutions comme l’Opus Dei. Heureusement, éclairé comme vous êtes pas votre science innée, et d’une intelligence devant qui chacun devrait plier les genoux, vous ne vous laissez pas berner, certain de la véracité de ce qu’exposent ceux qui ont des comptes à régler avec l’institution. C’est comme si vous demandiez aux divorcés de faire l’éloge de la fidélité : ils auront quelques difficultés et cela peut se comprendre. Il ne s’agit pas de les juger mais simplement de se demander s’ils ne sont pas, eux aussi, en train de défendre leur boutique.

    Puis-je, moi-même, défendre et réfuter ces six points. Bien sur que non puisque vous me considérez de parti pris. Je ne peux être en aucun cas crédible à vos yeux, ni à ceux qui bouffent du curé au petit déjeuner. Seul vous pouvez exposer la vérité et éventuellement dénier vos affirmations, mais cela vous demanderait un travail d’approfondissement que, par principe, et certainement manque de temps, vous laissez aux autres, à ceux qui forcément seront de parti pris puisqu’ils en arriveront à dire peut-être du bien de l’Opus Dei. Dans votre logique, ne pourront être crédible que ceux qui disent du mal de l’institution. Contentez-vous de lire Golias et vous ne serez jamais déçu à ce sujet.

    Je ne sais pas qualifier ce genre de comportement, d’autant plus qu’il est partagé par bon nombre des informateurs officiels et journalistes : il suffit de bien connaître un sujet, fut-ce la reproduction des crevettes sur les côtes normandes, pour se rendre compte qu’ils n’ont aucun complexe pour affirmer n’importe quoi. On aurait pu penser qu’Agora Vox serait un moyen de donner la voix à quelques personnes qui, en raison d’une honnêteté intellectuelle revendiquée, se sont vues refuser l’expression libre dans des journaux officiels. Et bien non : la même médiocrité se retrouve sur Agora Vox. C’est bien dommage même si, je l’admets, rien ne m’oblige à vous lire. Mais bon, quand on aime la vérité, on se laisse parfois piéger par une soudaine envie de la défendre. A quoi bon...



  • Frédéric 11 janvier 2010 09:05

    Cher Monsieur Vilach,

    Si votre souhait est la défense des libertés, il me semble important de ne pas tomber dans la caricature d’une réalité telle que l’Opus Dei. Vous parlez de soumission réfléchie à l’autorité. Je précise que l’incorporation complète à l’Opus Dei prend 7 années, qui sont 7 années de réflexion pendant lesquelles le candidat découvre de manière toujours plus approfondie ce à quoi il s’engage. L’objectif visé est la sainteté de vie : celle-ci n’a jamais été un danger pour l’humanité, bien au contraire. Faire l’amalgame avec des régimes totalitaires réclame une certaine dose de mauvaise foi.

    Au long de ce cheminement, certains membres découvrent que ces engagements ne correspondent pas à leur personnalité, ou plus surnaturellement, à ce que Dieu attend d’eux. Ou simplement ont-ils idéalisé l’Opus Dei et ont-ils été déçus par la réalité qu’ils ont découvert. Ils décident alors de quitter l’Opus Dei.

    Parmi ceux qui quittent l’Opus Dei, certains rejettent cet échec personnel sur l’institution. Ils cherchent donc des raisons d’expliquer le fait qu’ils n’aient pas réussi à persévérer. Ils ôtent la dimension spirituelle qui les avait conduits à adhérer, et décrivent la simple réalité humaine qui, sans perspective de sainteté, n’a en effet aucun sens. D’autres quittent l’Opus Dei apaisés et reconnaissants des années passées dans cette institution, qui les ont aidés à construire leur route.

    L’Opus Dei n’est pas une institution parfaite, comme toute institution humaine. Comme cette « excellente » revue Golias - selon vos dires - qui, à l’instar de tous ces journalistes qui se prennent pour Zorro, se charge de distribuer les bons et les mauvais points. L’intelligence exige que l’on ne parle que de ce que l’on connaît bien, et que l’on ne prête pas le flanc trop facilement à 165 anciens membres face aux 80 000 membres actuels de cette institution. Mais, la société d’aujourd’hui consacre le règne de l’émotion, et la vérité n’est plus démontrée dans le fond des articles, mais créée de toute pièce par la forme. Vous êtes vous aussi tombé dans ce piège.

    Je vous laisse à cette réflexion : lorsque l’on pense légitime de combattre une institution, il est essentiel de garder une certaine mesure et de faire une analyse objective, et aussi proche que possible de la situation réelle. La caricature ne sert pas votre combat. Au contraire, elle disqualifie l’article : si l’opus dei était ce que vous décrivez, il n’y aurait pas 80 000 personnes pour s’y engager à vie, dont une bonne partie n’est pas aussi stupide que vous l’imaginez. Je précise que l’absence de papier, comme vous dites, et la réduction de l’engagement à un simple contrat oral, permet aussi de quitter l’Opus Dei du jour au lendemain, sur simple décision de l’intéressé. Est-ce cela pour vous le comble de l’absence de liberté ?

    Intéressez-vous donc au totalitarisme de la société de consommation sur les jeunes - et moins jeunes - esprits. L’évangile peut libérer de ce conditionnement et permettre à chacun de sortir de soi-même, et de l’assouvissement immédiat de ses pulsions. C’est une vraie libération que la société laïque que vous vénérez semble bien incapable d’apporter. Les jeunes ont besoin de savoir ce qui compte vraiment dans la vie. L’évangile le leur montre, et l’Opus Dei aussi, à sa façon.

    Cordialement

    Frédéric

    Pour ceux qui n’ont pas peur de se laisser influencer par un site internet, voici une autre manière de décrire l’Opus Dei. A chacun de faire la part des choses : www.opusdei.fr


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