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Frédéric Mahé

Frédéric Mahé

Né en 1955, Ecole Vétérinaire puis Arts Déco, vingt ans dans l’industrie pharmaceutique, quelques passages dans l’édition et la clientèle. Expérience variée : marketing, recherche, pharmacovigilance, formation (international), communication et rédaction. Je vis à la campagne où j’exerce le beau métier d’Inspecteur en hygiène alimentaire au service de l’Etat. Je donne par ailleurs des cours de communication à l’Ecole Vétérinaire de Nantes, et je suis également illustrateur / auteur de BD pédagogiques dans un magazine technique.

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  • Premier article le 05/05/2006
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Derniers commentaires



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 22 janvier 2007 11:10

    Xav

    OK, c’est la base du double aveugle, mais on doit légalement informer le patient que peut-être ce qu’il va prendre est un placebo, même si on sait pas e qu’on lui donne (ainsi que des éventuels effets secondaires ou échecs de traitement, d’ailleurs). C’est ce qu’on appelle « le consentement éclairé » du patient. Dans des pathologies graves, on ne peut pas non plus utiliser de protocoles avec placebo, pour des raisons éthiques : il faudrait laiser 50% des patients sans soins (avec placebo), ce qui est inadmissible.



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 22 janvier 2007 11:04

    Mme Royal a sorti à cette occasion (la mise au piquet du vilain Arnaud) une nouvelle réinterprétation du français : elle a dit que certes, on pouvait « faire preuve de spiritualité », mais qu’il fallait rester dans l’ordre juste, et que carton jaune, blablabla.

    En parlant de « faire preuve de spiritualité », je pense qu’elle voulait dire « faire de l’esprit », ou « d’être spirituel », mais pas d’élévation sprituelle, come le mot spiritualité le laisserait penser.

    Personne n’a relevé, alors que la bravitude, on en parle encore. Pourtant, le contrensens est ici flagrant. Mais peut-être est-ce trop élaboré ?

    Enfin, bref, l’ordre juste, mais pas le vocabulaire juste...



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 22 janvier 2007 10:48

    Je fais le parallèle entre vos calculs et les calculs du Canard Enchaîné sur le nombre d’adhérents présents au Sarkosacre... Troublant, ces chiffres ... Tout ça la même semaine, la statue du Sarkommandeur commencerait-elle à se fendiller ?



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 22 janvier 2007 10:42

    J’ai vu le film et je suis assez d’accord avec Taïké, ça nous renvoie à une période où seules les armes blanches et de jet existaient, et du coup, ça saigne un peu plus.

    Les critiques ont beaucoup glosé sur la violence du film, en renvoyant systématiquement les lecteurs au sanguinolent « Passion du Christ ».. Et les critiques depuis cet épisode « évangélique », détestent Mel Gibson. Ben personnellement, je ne l’ai pas trouvé plus violent qu’un western de Peckinpah ou que « l’Odyssée de l’espèce ». La scène de dépeçage du tapir au début est tout à fait anodine, franchement (ils se partagent le coeur, le foie, etc.), mais certains on hurlé au sadisme. Qui a déjà chassé le sanglier trouvera cette scène franchement rigolote.

    Historiquement ? C’est vrai, il y a un léger décalage dans le film, les scènes qu’on voit devraient dater du XIe siècle (mes sources : les numéros de revues historiques consacrées comme par hasard aux Mayas ce mois-ci, comme celui-ci et le hors-série très joliment fait du Figaro Magazine), et les conquistadores sont arrivés au XVIe siècle : quatre cent ans dans la vue ! Bof, dans « Braveheart », William Wallace engrossait la reine d’Angleterre, et personne n’a hurlé au scandale, on peut se laisser un peu de marge quand on raconte une belle histoire, non ?

    Je n’ai pas vu beaucoup de messages élaborés dans le film. Les Mayas sont les méchants, c’est clair, les gentils, c’est Patte de Jaguar et ses copains, et honnêtement ça ne va pas beaucoup plus loin. Le prêtre et le roi sont complètement shootés, on voit qu’ils sont très très méchants. Les guerriers mayas (méchants) ont une tête à faire peur, ils tuent leurs propres hommes si ils désobéissent, enfin, bref, c’est l’attirail complet du méchant.

    J’ai l’impression que Mel Gibson après un épisode assez chaud (le Christ) s’est offert un film à grand spectacle reposant, sans autre prétention que de distraire. Et c’est très réussi, avec une intrigue très simple, des oppositions bien tranchées, et une scène finale vaguement (mais alors très vaguement) morale : il vaut mieux vivre dans la forêt avec sa femme et ses enfants que de prendre contact avec ces étrangers suspects, avec leur grande croix.

    Un mot sur la superbe photo, et un sens réel de l’emphase bien placée dans la mise en scène, des acteurs bien typés, des costumes et des décors remarquables : j’ai passé un très bon moment.

    Je m’interroge quand même sur tous les critiques professionnels qui ont débiné ce film : « pas de message politique clair » (celui-là, c’est vrai, je vous jure, je l’ai entendu à la radio), « j’aime pas Mel Gibson » (et alors qu’est-ce qu’on en a à faire, c’est son film, le sujet), bref, l’attaque en règle. On dirait qu’ne France, si on ne fait pas (excusez le mot) chiant, on est descendu en flamme. C’est terrible.



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 22 janvier 2007 09:22

    Ceci dit après réflexion, je suis peut-être un peu sévère : cet article de JMA a peut-être été (ainsi que les autres) directement prélevé sur son blog, et il ne suit pas forcément le devenir de ses articles qui sont ainsi « déportés ».

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