GASTON7864

Comme en tout il faut un juste milieu.
Ce que vous proposez est le cas extrême où le travailleur sera soumis à la loi du plus fort, avec le risque de rejoindre les conditions de travail des pays dit sous développés .

Maintenant chacun peut souhaiter ce qu’il veut, mais est-ce l’intérêt de de la France ?

 Globalement d’accord, encore faut il qu’un environnement « équitable, favorable » harmonise le fonctionnement de tous les types d’entreprises.

Il y a plus de XX ans il y avait deux systèmes opposés ; le capitalisme et le communisme chacun se prétendant le meilleur système.

En théorie les deux systèmes avaient comme objectif le bien être de l’homme donc le choix était difficile.

On avait oublié que ces systèmes étaient gérés par des hommes. Le comportement de ces hommes a provoqué l’effondrement du communisme en premier. Victoire théorique du capitalisme, qui n’ayant plus d’opposant (contre pouvoir), à lentement dérivé dans le système mondial actuel. C’est cette dérive qui a amené des excès provoquant la crise que nous continuons de subir.

Arrêtons cette querelle en fusionnant les deux systèmes.

La solution c’est certainement du libéralisme avec un état fort, qui dicte les règles du jeu, pour le bien général, c’est l’arbitre dans son pays.

Pour commencer l’état doit d’abord respecter lui même les règles du jeu dans toutes les entreprises nationales ou pseudo nationales.

De plus il est normal que l’état protége nos entreprises par le biais de règles générales. En effet par le passé des investisseurs (concurrents) ont acheté une entreprise pour l’éliminer et aussi récupérer des brevets (développés avec de l’argent public).

Nous sommes des agneaux dans le monde des affaires, nous perdons notre laine. La seule solution est un protectionnisme intelligent (universel). Dans un combat il faut un bouclier capable d’encaisser les coups (c’est une guerre économique) et il faut suivre rapidement l’évolution « le nouveau blindage résistant au dernier canon).

Membre de l’Europe la seule arme qui nous reste est la fiscalité. Utilisons notre créativité pour la bonne cause.

On pourrait peut-être améliorer la compétitivité de l’entreprise Française en réduisant les charges sociales dites « patronales » par modification de l’assiette servant de base pour le calcul.

On peut rêver qu’une solution Française puisse s’exporter au niveau mondial !!!

Bonjour

Le but de la réforme (voir la CSEVA) est d’être applicable à toutes les d’entreprises quelque soit leur forme juridique. Chaque entreprise de production doit y trouver son compte.

Dans votre cas les charges diminuant vous allez pouvoir à votre convenance soit baisser les prix, soit améliorer votre marge bénéficiaire ou les deux. Peut être même embaucher sans risque puisque vos charges sociales dépendront du chiffre d’affaire et non du nombre de salarié, à vous d’amortir les salaires bruts.

Votre position fait plaisir car pour l’instant nous ne pouvons pas grand chose devant les acteurs, les décideurs aux commandes, qui semblent loin des intérêts de la FRANCE

Sommes nous plus bête que les pays de la zone euro qui s’en sortent ?

Ce qui nous handicape le plus c’est la dette et la nous sommes tous responsable, rectifions le tir le plus rapidement possible !