georges94

Ce soir je vais me faire « moinser » copieux.
Certes, il y a des pays où il vaut mieux rester anonyme pour s’exprimes sous peine de risquer sa vie. Mais là nous parlons de la France et je ne vois aucun problème à dire qui je suis quand j’écris sur le net.
L’anonymat est trop souvent utilisé pour dire n’importe quoi, propager des rumeurs, insulter des gens mais en restant bien caché.
Pas très reluisant.
Au fait, les frais de scolarité de Science Po, pour ceux qui paient, ne sont pas du tout ceux que vous indiquez.. Je le sais, je faisias les chèques.

Paris est une ville de bobos, ou plus exactement où les bobos font la loi.
C’est aussi une ville musée.
Alors quand quelqu’un veut changer quoi que ce soit à cet état de fait ................
Un Paris vivant, fait pour des vrais gens, vous n’y pensez pas, quelle horreur !!!!!!!!!!!!!
Et une ville qui respecterait les autres, Vous n’y pensez pas non plus !!!!!!!!!!!!!!!
Pour être sérieux un instant, le projet actuel n’est peut-être pas génial mais il a au moins le mérite d’exister et de faire réfléchir.

Il y une autre façon de faire : choisir les programes que l’on regarde et commenter pour ses enfants ce qui est dit et montré pour leur aiguiser autant que faire se peut l’esprit critique

@ Defrance,
Quel lobby a fait passer cette loi à votre avis ?

Bonjour,
Ce qui me gène dans cette lutte c’est qu’elle ne s’adresse pas aux vrais responsables de la fermeture de cette usine.
Celle-ci est sous-traitante dans l’industrie automobile et la mode chez nos politiques est de limiter au maximum l’usage de la voiture : prix de l’essence, restrictions de circulation et j’en passe.
Les gens ne sont pas idiots, obligés de ne pas utiliser leur voiture ils finissent par s’en débarasser et n’en achètent plus. Sauf contraints et forcés.
Alors si protestation il doit y avoir, qu’elle s’adresse à nos politiques et à ces maires prets à tout pour satisfaire les bobos et autres écolos, comme par exemple à Paris, où la volonté affichée du couple Delanoe-Baupin est d’empècher les banlieusards d’entrer même quand la voiture est leur seul moyen d’aller travailler en un temps raisonnable, ce que les transports en commun ne leur permettent souvent pas.