geotrouvetou

En plein accord avec vous Messieurs collègues linuxiens.. Et qui prend encore un certain plaisir à updater ses données antivirales ou à défragmenter constamment son disque dur ? Qui s’amuse vraiment à craquer des logiciels à couts prohibitifs quand une manne linuxienne permet (presque) toutes les solutions alternatives n’ayant rien à envier aux logiciels propriétaires. Pas des ersatz.
A un certain moment de preuve, la question ne se pose plus.

Bonsoir,
J’ai l’immense plaisir de « tomber » sur votre article. J’utilise des systèmes d’exploitation Linux depuis quelques années. Ceux-ci m’ont appris à désapprendre la logique Microsoft et à gagner un temps immense en productivité.

Bonsoir,
je côtoie pas mal de musulmans dans le cadre de mon travail.
Il y a des personnes intelligentes et cultivées.
Il est vrai que le silence est d’or. Ils n’évoquent pas spontanément la question des tueries. Ils les considèrent essentiellement comme des offenses à l’Islam, censé pacifique et vertueux.
Leur réaction de base consiste à défendre l’Islam et non à faire preuve d’empathie à l’égard des victimes, comme si les massacres étaient loin d’eux et ne les concernaient pas. Je comprends cette réaction mais beaucoup moins l’absence de compassion.
On comprend mieux pourquoi pas l’état insiste autant en convoquant des marches interconfessionnelles. Elles ne sont pas spontanées. La question interconfessionnelle ne suscite aucun intérêt.
La crainte principale pour mes compatriotes arabo-musulmans ne porte pas sur des actes de terrorisme accrus mais sur la possibilité que Le Front National passe aux prochaines élections et que leur sécurité soit ainsi malmenée. La boucherie humaine est une affaire secondaire, pas prioritaire.
C’est là le comble de l’individualisme et du repli identitaire, désormais incapable de considérer l’humain au-delà de sa tribu...

Sans vouloir répondre à la place de l’auteur, l’entreprise n’a pas vocation à humaniser l’homme et à l’accomplir mais à le transformer en robot.

Bonsoir,
n’oublions pas notre condition. Nous avons tant d’efforts à faire entre notre condition animale et celle d’un être pensant, enfin détaché non de ses émotions mais de ses passions.
C’est surement ça le péché originel : celui d’exister, d’être au monde avec d’une part nos désirs, nos histoires, notre passé, nos envies et nos gènes, et d’autre part nos capacités d’abstraction, d’évolution, d’empathie, de dépassement dans une prise conscience du Un et du Tout, laquelle est certainement Amour.
Admettons que nous sommes de pauvres pécheurs, dont la rédemtpion se fera aux calendes grecques, dans trois ans, dans 30 ou 30000 ans, quand l’espèce aura fait un bond significatif en avant.
Pour le moment, la haine (c’est à dire l’envie pour le petit moi de s’affirmer notamment sur Agoravox - ou le manque d’amour - ou le sentiment d’abandon) font partie de notre besoin de spéculer, d’en parler. Est-ce l’heure ?