L’horreur
continue, le cynisme est insoutenable, et tant que nos sociétés ne
traduiront pas les criminels devant la Justice Internationale, et
stopperont le calvaire de ce peuple, prétendre à une quelconque
« légitimité morale » sur les affaires de ce monde est d’un pitoyable...
Votre exégèse sur le schisme sédentarité/nomadisme en vous appuyant sur le récit de Caïn et Abel est osé, mais reste séduisante. Vos observations sur quelques aspects négatifs du projet Venus dans la partie une, se sont transformées ici à une dénonciation des impasses « structurelles » de ce projet. « L’eau du bain » vous l’avez déjà vidée, que reste-il du bébé ?
Morpheus, Je ne connaissais pas les travaux de Jacques Fresco. Votre première partie est suffisamment limpide pour penser qu’il s’agit ici d’une « ébauche » de projet utopiste. Et je sens poindre en vous une envie de développer une réflexion commune à partir du chantier de Fresco. Et avec habileté et intelligence vous posez les importants et nécessaires jalons de cette réflexion : Être lucide sur la « capacité » des forces puissantes, sur les « dérives » du comportement humain, sur les « emballements » de la soif de la Connaissance scientifique. Je retiens aussi votre attachement à « l »humilité intellectuelle" une notion que l’occident arpente très peu, si ce n’est jamais. Et votre éloge de l’adaptabilité au détriment de la compétitivité est d’une grande clarté. J’attends avec impatience vos deux prochains articles. Merci à vous