47++ en Espagne, la banquise fond. Les eskimos fondent. Les neiges éternelles se transforment en fleuves furieux et bouillants. Je fonds, je titube, je manque d’air, je ne peux même plus me réfugier en Alaska dans ma datcha estivale. Je n’en peux plus, je vais crever, on va tous crever, c’est l’été le plus chaud depuis le dernier déluge de Noé, mais rassurez-vous c’est du ressenti ou si vous préférez de la carbonisation asymptomatique.
Merci pour la précision. J’en suis pour le moment au chapitre II. Contrairement à vous, j’attends la suite jusqu’à la fin pour me prononcer. Mais je n’ai pas eu le sentiment d’une démonstration hors sujet, à moins que Mussolini soit autre chose que du fascisme. Jusqu’à maintenant, j’ai trouvé ce cours d’histoire très instructif.
Ça a bien changé. Ils ont compris. Dans le fascisme d’aujourd’hui, elles sont partout. Tant mieux, ça nous permet de comprendre que le fascisme est partout présent jusques et y compris dans la droite et la gauche qui n’existent plus d’ailleurs, dévorées par ce néo-fascime essentiel à la survie de la ploutocratie. C’est également tant mieux, ça nous permet de comprendre qu’il n’y a plus que la vérité face au mensonge. Plus de partis, seuls la vérité et le mensonge.
On ne meurt pas du covid. On ne meurt pas de quelque chose qui n’existe pas. On meurt du manque de soins ou de mauvais soins d’une grippe modifiée génétiquement, de meurtres de masse aux respirateurs et rivotril, d’épandages aériens qui provoquent de graves lésions au poumons et surtout on meurt du faux vaccin, mais réelle arme de destruction massive.