Ne jamais oublier, et c’est bien dit dans l’article, que nous avons tous un potentiel salle con plus ou moins prononcé, et cela commence par le mépris des autres. Qui peut dire ici ne jamais chercher de prétexte pour détester une personne, uniquement pour la détester, car cette personne ne vous aura rien fait de mal, mais vous la détesterez car vous aurez une bonne excuse pour le faire, vous trouverez cette personne faible, ne laissant rien paraitre devant elle, et quand vous vous retrouverez entre collègues, vous n’hésiterez pas un seul instant à dire tout ce que vous pensez d’elle.
Le soucis, c’est que j’ai remarqué que ce comportement typique du bouc émissaire, était un stabilisateur important de certaines tentions importantes, faire de telles choses nous aide à mieux gérer notre stress, nous permet de mieux faire face à des agressions, à se sentir plus sur de soi, bref quelque par, je suis presque persuadé que si vous essayez de changer un salle con, vous en feriez un tueur en puissance.
Après avoir réfléchie sur la question du mépris, j’ai personnellement décidé de ne plus jamais faire appelles à ce genre de comportements et de ne détester que les gens qui m’ont explicitement fait du mal. C’est très positif pour les relations entre collègues, mais j’ai remarqué qu’en contre partie, je ne pouvais plus gérer des situations d’agressions de manières sereines et avait tendance à avoir des réactions très fortes lors d’un problème avec quelqu’un. C’est certainement la source de contagion d’un sale con, si on est pas capable soit même de se sentir supérieur aux autres, on ne peut alors pas gérer des situations méprisantes.
Je ne suis pas certain que mon commentaire soit encore utile après tout ceux présents ici, mais en tant que photographe de formation, je suis totalement d’accords avec cette article.
Exemple d’infantilisation des usagers, cette été j’ai profité de mes vacances pour faire des photos de fleurs pour wikipedia, n’aillant sous la mains qu’un appareil photo numérique « grand public », j’ai cherché partout un moyen de passer en manuelle pour fermer un peu mon diaph (histoire de gagner un peu de profondeur de champs), j’ai eu sous la mains deux appareils relativement haut de gamme, et aucun ne permettait de régler l’ouverture et la vitesse d’obturation. La seul option présente est une compensation de l’exposition qui est laissé à la charge de l’appareil.
Sinon, je me souviens avoir travaillé avec le D1 de Nikon, c’était un réflex qui faisait des images époustouflante, mais leurs petitesses ne permettait que de travailler en infographie, aucun tirage n’était possible.
J’avais entendu dire que la baisse des ventes de disques s’était répercuté par une hausse de la vente de livres. Je ne pense pas que le livre disparaitra non plus, mais peut-être une nouvelle forme de littérature apparaitra progressivement (au japon, le livre électronique fait un véritable carton marketing), tout dépendra de la volonté des éditeurs à aborder l’air du numérique. Personnellement, je travaille sur un projet qui va dans ce sens, et j’espère aller loin.