• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Guillaume Narvic

Guillaume Narvic

Observateur dégagé des choses de ce monde, et de celui qui arrive ;-) L’histoire continue sur novovision.fr

Tableau de bord

  • Premier article le 20/11/2006
  • Modérateur depuis le 22/01/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 12 41 510
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 5 4 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Guillaume Narvic Guillaume Narvic 11 octobre 2007 01:51

    Après avoir lu la - presque - totalité des échange sur les cinq pistes de réflexion ouvertes « sur l’amélioration d’Agoravox », je vois surtout que tout le monde s’interroge sur des mesures techniques à prendre ou à ne pas prendre. Personne ne semble se demander pourquoi on en est arrivé là... Et personne ne se demande vraiment si ce projet intéressant n’est pas carrément en train de virer à l’échec...

    Parfois sont effleurées des questions qui ne sont pas du tout techniques, et qui sont bien plus fondamentales, mais personne ne relève et ne rebondit :

    - où est le « journalisme » citoyen, sur Agoravox ? Quasiment aucune information nouvelle n’est apportée. L’essentiel des articles relève du commentaire, de l’éditorial ou de la tribune libre, presque toujours au sujet de ce qui est déjà paru ailleurs dans la presse traditionnelle et qui est relayé jusqu’à la nausée.

    Quasiment jamais d’interview ou de témoignage de personnes que l’on à pas l’occasion d’entendre par ailleurs. Jamais d’enquête (où alors, sur les vaccins, il faut faire appel à un journaliste professionnel pour le faire). Agoravox ne fait à aucun moment du journalisme, c’est un relais d’opinion, une tribune, un forum sur l’actualité. Rien de plus. Certainement pas un nouveau média d’information.

    - où est le débat dans les commentaires ? Je ne constate aucune bienveillance dans l’accueil des avis formulés par les autres.

    La plupart des débats, dès qu’ils s’engagent tournent rapidement à l’invective et au lynchage. Des groupes se forment, et se mettent rapidement à fonctionner en meutes. Ils étouffent le débat, empêchent l’expression d’opinion contradictoires et confisquent les espaces de dialogue.

    Il se dégage au final d’Agoravox une forme de pensée unique à l’envers sur la plupart des sujets. Elle tend à regrouper ceux qui estiment que leur avis n’est pas relayé dans les médias traditionnels, mais ça ne les encourage pas pour autant à tenter de faire d’Agoravox un véritable contre-média.

    Ils n’apportent pas d’abord les informations, et ensuite, accessoirement, des analyses. Non. Seulement du commentaire, du commentaire, et encore du commentaire...

    Et la communauté qui s’est formée autour d’Agoravox tend à se refermer de plus en plus sur elle même. Elle est de plus en plus réticente à accepter de nouveaux membres, de nouvelles options, de nouvelles sensibilités... Agoravox se répète sans cesses et ressasse toujours les mêmes sujets.

    L’ensemble de ces réflexions personnelles m’amènent à penser que le projet Agoravox est un échec, car il y a quelque chose de fondamentalement vicié dans le concept lui-même.

    Soit il s’agir d’un site d’opinion, d’une communauté de gens qui se rassemblent car ils partagent des idées, une vision politique du monde, au sens large. Alors ce n’est pas du journalisme, et ça n’est « citoyen » uniquement dans la mesure où ce projet se substitut à celui des partis politiques.

    Ou bien il s’agit du projet de faire une information différente de celle que proposent les médias traditionnels... Mais alors, si l’on parle d’information, il faut la mettre sérieusement en veilleuse en matière d’opinion personnelle !

    Il ne faut avoir à l’esprit que l’intérêt général, un effort d’objectivité et de neutralité, et surtout, surtout, un gros travail personnel de recherche d’informations nouvelles et de vérification !

    Le commentaire et l’éditorial ne viennent vraiment qu’après, et au fond, on peut même s’en passer, parce que nous sommes tous à même de juger par nous même sans qu’on nous indique où il convient de faire !



  • Guillaume Narvic Guillaume Narvic 2 octobre 2007 17:56

    @ l’auteur

    Votre argumentation concernant les médecins ne me semble pas vraiment convaincante.

    « Pourquoi une telle différence entre les médecins et les infirmières ? Les premiers seraient-ils plus sujets aux peurs irrationnelles ? Ou mieux informés que les secondes ? » écrivez vous p.9 de l’enquête.

    Pourquoi les médecins sont-ils alors si nombreux à fumer du tabac ? Il y a quasiment autant de fumeur dans cette profession que dans le reste de la population (source : http://www.respir.com/doc/abonne/pathologie/tabac/TabacMedecinFumeur.asp )

    Pourquoi ne s’appliquent-ils pas à eux mêmes les recommandations qu’ils font à leurs patients contre le tabagisme ?

    Est-ce que ça doit nous amener à conclure que les médecins ne croient pas à la nocivité du tabac ? Je ne crois pas.

    Votre raisonnement sur les médecins et la vaccination est pourtant bâti sur le même principe...



  • Guillaume Narvic Guillaume Narvic 1er octobre 2007 16:52

    Non,non troll meoni

    Nous ne nous sommes pas du tout compris.

    Vos élucubrations sont totalement délirantes (et je serais un de vos proches, je trouverais ça même inquiétant). Car à mon sens, si tous les commentaires que vous signalez sont notés négatifs, n’est-il pas tellement plus simple, plus rationnels, plus réaliste et plus raisonnable de penser que la majorités des « notateurs » les estiment tout simplement non-constructifs ? Je comprend que la banale réalité vous déçoive...

    Allez je vous laisse méditer là-dessus, et cette fois, je ne reviens plus (et méfiez vous de tout, en rentrant chez vous ce soir : tout est sous mon contrôle !) smiley



  • Guillaume Narvic Guillaume Narvic 1er octobre 2007 16:22

    @ troll menoni

    J’avais dit que je me taisais désormais, mais là vous m’avez donné l’occasion d’un tel fou-rire, que je retarde une minute mon départ.

     smiley

    Ainsi, moi, en proposant mon petit article dans mon coin pour tenter d’échanger avec ceux qui partagent les mêmes centre d’intérêt, je me révèle à vos yeux comme le grand manitou qui manipule tout Agoravox à moi tout seul. J’ai même le contrôle de tout le système de notation des commentaires, qui je pilote sournoisement depuis mon petit ordinateur...

    C’est tellement grotesque, que j’en ris encore en écrivant...

     smiley)

    Méfiez-vous, j’ai aussi pris le contrôle de votre gille-pain et de votre lave-vaisselle. Vous allez voir ce que vous allez voir en rentrant à la maison. Mon pouvoir est immense, mon courroux sera terrrrrrrrrrrrrrrrible.....

     smiley



  • Guillaume Narvic Guillaume Narvic 1er octobre 2007 15:29

    Ce léon, nous parle de « bizutage » ? Le voilà donc adepte de ces pratiques abjectes, qui ne se veulent rien d’autre qu’un outil pour renforcer l’esprit corps, pour aider à former des bandes, des bandes de trolls, par exemple, comme celle qu’il a formée avec ses amis sur Agoravox ?

    Bizutage, cette conception du commentaire qui ne vise qu’à la disqualification de l’auteur, qui prétend par pure hypocrisie ouvrir un dialogue, alors qu’il ne s’agit que de l’empêcher, de tenter de réduire quelqu’un au silence ?

    Bizutage, la seule excuse que trouvent à se donner ceux qui se sentent désormais morveux d’avoir participé à une telle tentative de lynchage ?

    Il y a certes deux sortes de trolls, comme l’expérience menée actuellement dans cette ferme des trolls l’illustre bien :
    - le troll de base, qui n’est pas rédacteur d’Agoravox, souvent déjà exclu d’ailleurs et qui réapparaît sous un autre masque. Il se borne à déféquer un peu partout.
    - et puis il y a le troll qui s’ignore, celui qui se croit de bonne foi, mais qui utilise les mêmes méthodes et aboutit au même résultat. C’est lui, le plus souvent, qui est à l’origine des plus gros trollages d’ailleurs. Le troll de base est trop vite repéré quand il veut attaquer le premier. Ses méthodes vulgaires sautent aux yeux immédiatement. Il lui faut donc un rabatteur.

    C’est le rôle que joue le troll qui s’ignore : c’est bien lui qui ouvre des boulevards au trollage généralisé, en intervenant dans le débat sans le moindre respect intellectuel pour les autres participants, fort de sa propre vérité, à côté de laquelle toute autre opinion ne mérite que d’être ridiculisée et traînée dans la boue...

    Un « bizutage » quoi... Essayons donc de minimiser le problème maintenant, de se dédouaner soi-même à bon compte, de se laver les mains du torrent de boue qu’on à largement soi-même contribué à fabriquer, mais qui finit par vous salir surtout vous-même par un choc en retour qui était pourtant parfaitement prévisible...

    Je n’ai pour ma part eu qu’un seul tort dans cette affaire, c’est de tenter d’aborder sur Agoravox un sujet qui m’intéresse et de le proposer au débat de ceux qu’il pouvait intéresser aussi.

    La quasi totalité des trolls des deux types qui sont intervenus sur ce fil n’avaient guère manifesté jusqu’alors le moindre intérêt pour ce sujet. Mais il avaient leur mot à dire, et ce mot était bien plus important que tout ce que le reste du monde peut bien en penser. Ce mot n’avait pas bien grand rapport avec mon propos, mais ça n’avait bien entendu pas la moindre importance. Il ne s’agissait que de prendre la discussion en otage, pour parler d’autre chose, des seuls sujets qui vaillent et dont les trolls en question sont les seuls juges

    Alors une dernière fois, pour ma part, je redis : que facebook ne soit pas le premier réseau social est une évidence, qu’il s’agit d’une entreprise commerciale est une banalité (tout comme il y a lieu en effet, pour ceux que ça intéresse, de s’interroger sur le modèle économique de l’entreprise et sur la réalité du service proposé à ses utilisateurs), que sa politique de récolte des données personnelles suscite un soupçon crée un débat de fond partout sur le web depuis un bon moment, etc., etc.

    Je n’avais pas estimé nécessaire de rappeler tout cela, car tout ceux qui s’intéressent à facebook le savent déjà, et ils ont bien des occasions d’en débattre par ailleurs, avec un autre niveau de sérieux et de bonne fois que les invectives qui tiennent lieu de débat ici.

    Pour ma part, je souhaitais parler d’autre chose, mais ceux qui ont lancé ce lynchage ne l’ont pas lu, ou pas compris, ou bien ça ne les intéressait pas. Dans ce dernier cas, on se demande toujours ce qui les amène ici, sauf à jouer le rôle de censeur, d’apprenti directeur des consciences, qui décide de quoi il est autorisé de débattre, et quel point de vue il est toléré que l’on défende...

    Donc ce qui m’intéressait moi, c’est que dans la tête d’un gamin de 23 ans, Mark Zuckerberg, le fondateur de facebook, soit née cette idée démente qu’un réseau social pouvait servir d’ébauche à une représentation concrète et réelle du « social graph », en répertoriant l’ensemble des interactions sociales qui existent entre l’ensemble des habitants de la planète. Poussant son concept encore plus loin, il propose que celui-ci devienne la porte d’accès principale à l’ensemble d’internet, ouvrant à toutes les autres fonctionnalités des réseaux, qu’il s’efforce d’agréger au sien, les unes après les autres.

    Marc Zuckerberg appelle ça faire de facebook un système d’exploitation du web. Mon propos est de souligner qu’il propose ainsi une nouvelle représentation mentale du web, qui rompt avec la métaphore spatiale qui accompagnait jusqu’à maintenant son développement, et dont les univers virtuels (notamment Second Life, qui est celui qui regroupe aujourd’hui le plus d’usagers) apparaissaient auparavant comme les plus porteurs d’innovation...

    Il n’a pas été possible d’ouvrir le moindre débat sur CE sujet ici. Car certains l’ont empêché délibérément.

    La conclusion que j’en tire est que le seul débat qui reste possible sur Agoravox porte uniquement sur les articles proposés par la bande des trolls de second types (les trolls qui s’ignorent) qui sont intervenus ici. La prise d’otage du débat qu’ils ont menée ici est à l’image du projet qu’ils défendent pour Agoravox dans son ensemble : un petit club privé, dont ils sont les seuls habilités à donner la carte de membre. Une seule condition est exigée : les caresser sans cesse dans le sens du poil et les accompagner quand la meute part en chasse pour s’offrir une nouvelle proie. Que ceux qui se sentent un peu mal à l’aise moralement avec cette perspective, se rassurent tout de suite, ce n’est rien d’autre que du... bizutage.

    Après avoir tenté de laisser un peu retomber le soufflet dimanche, je ne réinterviens pour ma part aujourd’hui que pour prévenir ceux que le débat intéressait, que ce débat est clos avant même d’avoir jamais commencé. Qu’ils ne prennent pas la peine de tenter de se faire entendre dans ce brouhaha, ils n’y parviendraient pas. Et de toute façon, je ne suis plus à l’écoute.

    PS : il ne tiendrait qu’à moi, je proposerais même la destruction complète et totale de ce fil et son renvoi dans les poubelles d’Agoravox et toute la bande des trolls avec...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv