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HappyPeng

Etudiant à l’école des Mines de Paris, politiquement proche du Parti Communiste Français, passionné, outre de politique, d’informatique, de culture populaire japonaise moderne et du Japon en général.

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  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 15/07/2008
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Derniers commentaires



  • HappyPeng 19 août 2008 11:37

    Celles qui vont bientôt entrer en choc ?



  • HappyPeng 19 août 2008 11:29

    Notons que si l’on prend la conception "de gauche", l’idéologie est en tout, et donc il n’y est pas de pouvoir sans idéologie ; mais par contre, il est aussi intrinsèque à tout pouvoir de cacher qu’il est idéologique, sans quoi il prête nécessairement à la contestation de l’idéologie adverse...

    Par conséquent, la phrase "l’idéologie au pouvoir ne marche pas" peut être interprétée ainsi : un pouvoir dont l’idéologie est visible, c’est-à-dire qui la cache mal, est instable parce que par là même vulnérable, attaquable de toutes parts ; et un pouvoir attaqué se transforme aisément en pouvoir violent.

    Par exemple : en URSS l’idéologie du pouvoir était visible, donc les gens lui ont résisté et n’y ont pas cru, le régime les a violentés et tout cela a mal fini ; en Occident, l’idéologie du pouvoir se cache bien, donc seuls ceux capables de la démasquer n’y croient pas et lui résistent, mais comme ils sont peu nombreux, jusqu’à maintenant cela se passe bien.

    En ce sens, l’idéologie au pouvoir n’a jamais marché, effectivement.



  • HappyPeng 19 août 2008 11:25

    Civilisation, un bel exemple de mot bien progressiste, puisqu’il fut utiliser pour justifier la colonisation.



  • HappyPeng 19 août 2008 11:17

    Le fait que l’espéranto soit un langage construit ne lui permet pas d’échapper à l’analyse...

    On peut proposer une hypothèse : tout pouvoir invente un ordre symbolique lui permettant de légitimer son pouvoir pour le conserver, ordre qui s’appuie sur une naturalisation du sens des mots, comme j’en donne l’exemple pour l’usage du mot idéologie par la droite. Or, parce qu’il est une langue différente, et surtout parce qu’il est construit, l’espéranto vient rappeler que la définition des mots est historique, non naturelle, donc peut être discutée, et contestée ; ce qui fait de cette langue un instrument de contestation de tout pouvoir... Jusqu’à ce qu’il soit lui-même porté au pouvoir, probablement.



  • HappyPeng 13 août 2008 01:21

    "Par definition ils sont extremes."

    Question stupidite je trouve ca un peu extreme comme affirmation.

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