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hieronymus73

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  • hieronymus73 17 mai 2008 12:13

    Article très intéressant. Les informations contenuent dans cette article amènent à réfléchir sur les conséquences d’une libéralisation de la prostitution en France et c’est essentiellement cela que je retiens.
    En dehors de l’augmentation du crime organisé que cela engendrerait, je trouve que le plus grave serait la baisse globale de considération que l’homme à pour la femme dans notre pays ainsi que la dégradation de l’amour propre que la femme à pour elle-même.



  • hieronymus73 7 janvier 2008 17:11

    J’aime beaucoup lire de la SF de temps en temps mais je ne suis pas un grand fan de K Dick, bien que j’apprécie beaucoup, en général, les oeuvres cinématographique tirées de ses romans. De la même génération, il me semble, je préfère Assimov.

    Mon auteur préféré du moment, c’est Alastair Reynolds. Mais depuis la parution de ses quatre romans sur les Inhibiteurs, la traduction de ses dernieres oeuvres en français se fait très attendre et je le regrette beaucoup. L’un des héros de sa saga des Inhibiteurs est un cochon issu d’une race nouvelle créée malencontreusement par l’homme dans le cadre d’expérience génétique. Dans le roman, c’est un individu à l’intelligence redoutable qui se déplace sur ses deux pattes arrières et qui devient même le chef d’une colonie d’êtres humains sur une planête océanique.

    Je suis sûr que pour beaucoup, un tel individu ne peut pas ou ne doit pas exister. Pourtant, il n’est pas nécessaire d’être un amateur de génétique pour savoir que ce genre de fiction pourrait rejoindre très vite la réalité. Du moins sans doute pas tout à fait immédiatement pour ce qui est de coloniser une planête mais .... Un cochon-humanoïde ?

    Il est sans doute déjà renfermé dans un laboratoire américain tenu secret. Peut-être est-il même déjà la victime d’un génocide.



  • hieronymus73 19 novembre 2007 14:19

    Non mais c’est une blague ? Monsieur est tombé sur la tête ? Sans doute que le passage du PS à l’UMP a causé des dommages irréversibles ... La compassion n’a pas sa place en politique et les affaires sont les affaires, c’est ça ?

    La compassion doit avoir toute sa place en politique.

    Il me semble que cet article n’a pas d’autre ambition que de faire partager un sentiment d’empathie né d’une rencontre ayant eu lieu lors d’une grêve. Une belle manipulation ? Manipuler qui ? Pour quoi ?



  • hieronymus73 19 novembre 2007 13:35

    Je suis ému à la lecture de cet article. Je travaille dans un point de vente Relay dans une grande gare parisienne et je demande souvent aux sdf qui font la manche de ne pas rester à l’entrée du magazin, voir de sortir quand ils tentent de mendier à l’intérieur. Et parfois le ton monte. Je ne pense pas avoir jamais manqué de considération envers eux au point d’oublier qu’ils sont des êtres humains mais avec le temps, leurs présences continuelles dans mon microcosme, si je peux dire, les a rendu, à mes yeux, assez banals et il m’arrive de moins en moins souvent d’éprouver le l’empathie envers eux. Je pense que j’aurai l’occasion de repenser à cet article lors de ma prochaine soirée au point de vente ...



  • hieronymus73 16 novembre 2007 00:11

    J’ai entendu, et lu, plusieurs fois Maurice G.Dantec affirmer qu’il ne fait aucun plan de ses romans, qu’il n’a aucune idée de la fin d’une de ses histoires lorsqu’il en commence l’écriture. Sachant cela, j’ai souvent été fasciné en entendant son argumentation lorsqu’il répond aux journalistes qui l’interrogent sur ses oeuvres. Hors, c’est justement grâce à son mode d’écriture que MGD a une telle argumentation au sujet de ses romans. En plus d’un QI et de connaissances qui ne sont pas moindre, il faut le dire.

    Dans l’interview ci dessus, il dit au journaliste, en parlant de son dernier livre, que « l’idée de trois récits singuliers formant un roman unique s’est imposée, comme image de la Trinité ». Je suppose donc que cette idée ne s’est pas imposée dans une phase préalable de construction du roman avant la phase d’écriture mais pendant et, je suppose, au début de cette phase. Et elle ne s’est certainement pas non plus imposée d’un coup, elle est sans doute survenue après un certain temps de réflexion, d’analyse. C’est cette réflexion continuelle à laquelle il doit se soumettre pendant la construction de ses romans qui lui permet de construire l’argumentation qu’il va servir aux journalistes lors de la promotion de ces derniers. Et puisque à travers n’importe lequel de ses romans, un écrivain parle avant tout de lui-même, Monsieur Dantec procède ainsi à une sorte d’analyse de lui-même en même temps qu’a une auto-suggestion concernant la forme de son roman.

    J’aimerais pouvoir lire à nouveau des romans de Maurice G Dantec de la première à la dernière page. J’avais beaucoup apprécié La Sirène Rouge, Les Racines du Mal, Babylon Babies. Je pense même pouvoir les apprécier encore. J’avais également apprécié Le Théâtre des Opérations, Laboratoire de Catastrophe Général. Bien que mon manque de culture et mon coté nihiliste de l’époque on fait que je ne maîtrisais pas tous les sujets abordés, surtout dans le Laboratoire.

    Au jour d’aujourd’hui, je crois que je pourrais me faire à la sauce hyper catho dans laquelle beigne la littérature de MGD malgré le fait que ça ne soit pas ma tasse de thé (tout le monde l’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes) si seulement celui-ci écrivait en prenant conscience et en mettant un frein à son amour/haine de lui-même. Un peu de modestie, merde !

    Encore faudrait-il aussi qu’il réflechisse à nouveau à la structure narrative de ses romans avant d’entrer tout à fait dans la phase d’écriture, qu’il construise un plan. Cela lui permettrait sans doute de faire des romans beaucoup moins indigestes que les derniers.

    Si un ou des architectes n’avaient pas fait un plan des deux Tours du World-Trade-Center et que leurs constructions avaient débutés sans réflexions ni décisions préalables à propos de la structure et des matériaux à utiliser, et s’ils avaient pu aller au bout, je n’aurais pas de mal à croire que deux avions les percuttant à leur sommet puissent les faire tomber en poussière sur leur base. Mais les choses ne se passent pas ainsi et c’est la même chose pour un roman. Surtout lorsqu’il fait plus de 700 pages ... smiley

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