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hieronymus73

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  • hieronymus73 12 novembre 2007 17:06

    « De la même manière que son précédent film (A History of Violence) venait chasser du côté des terres du western (des inconnus arrivaient dans une petite bourgade paisible pour s’occuper d’un ex-outlaw - Tom Stall/Joey Cusack - désormais rangé des voitures) »

    C’est un petit détail, mais celà me touche. Les deux tueurs, dans A history of violence, qui arrivent, dans leur périple sanglant, dans la petite bourgade, ou vit Tom Stall alias Joey Cusack, tombe sur lui par hasard ! Il ne le connaisse pas et n’on pas pour but de lui faire la peau. Ils agissent sans préméditation. Puis, c’est la médiatisation de leur mort qui va faire arriver un gros bonnet de la drogue de Philadelphie qui reconnait en Tom Stall un ancien « camarade ».



  • hieronymus73 12 novembre 2007 16:40

    Personnellement, j’ai été un peu déçu en sortant de la salle. Je ne connais pas bien l’oeuvre cinématographique de Cronemberg mais ayant beaucoup apprécié A history of violence, j’avais hâte de voir cette seconde collaboration avec Vigo Mortensen, que j’apprécie beaucoup depuis Le Seigneur des Anneaux. Je fais un parallèle avec l’impression que j’ai eu du dernier volet de la série Bourne avec Mat Damon. J’avais été aussi déçu par cette seconde coopération entre Greengrass et Mat Damon du fait que le personnage n’avait pas gagné en évolution entre le deuxième et troisième volet. Ici, bien sûr, cette deuxième collaboration est très dissemblable puisqu’il ne s’agit pas d’une suite de A history et que l’univers de Eastern Promises est très différent. Mais on retrouve la patte du réalisateur et bien entendu, on retrouve Viggo Mortensen. Hors, ce dernier peut toujours se faire dessiner tous les dessins qu’il veut sur le corps, il sera toujours Viggo. Tant mieux d’ailleurs et je ne veux pas dire que sa composition n’est pas réussite. Toutefois, ce film me laisse froid. Peut-être aussi parce que le froid est l’un des sujets du film. Peut-être parce que, A history traitant de l’Amérique et du peuple qui là façonne, il est plus facile à un américain de la raconter que de parler de la mafia russe à Londres. Peut-être, surtout, parce que l’ Amérique me fascine beaucoup plus que l’Europe et l’Europe de l’est ... J’insiste toutefois sur le fait qu’enchainer coup sur coup deux collaborations avec un même acteur principal est, selon moi, une erreur pour un réalisateur.



  • hieronymus73 23 septembre 2007 11:33

    Cet article me fait penser à la version française des Spiderman (spaïïïdermannn) dans lesquelles il est prononcé Marwie Djjaaannne plutôt que Marie-Jane. Je me demande si il n’y a pas un lien.



  • hieronymus73 1er septembre 2007 01:52

    Le Japon et la France sont des pays avec des cultures très différentes. Je pense que l’exemple ne tient pas du faite qu’il y a des incivilités qui existent en France et que l’on verra jamais à Tokyo.



  • hieronymus73 29 août 2007 14:15

    Trois petites remarques.

    American history x, c’est l’histoire d’un nazi qui se retrouve en taule parce qu’il a buté un noir, et qui perd la protection de son groupe de « petits nazillons » dans la prison en préférant jouer bande à part après s’être fait sodomiser par le caïd du groupe. La dessus, c’est un jeune noir, avec qui il a fait connaissance parce qu’il s’occupe des taches de blanchisserie de la prison en sa compagnie, qui lui évite de se faire démolir par le groupe rival noir américan. Un jeune noir qui, lui, à écopé d’une peine plus lourde parce que le téléviseur qu’il voulait voler est malencontreusement tombé sur les pieds du policier lancé à sa poursuite (si je me souviens bien).

    Oui, je sais, cette partie de l’histoire est traitée sous forme de flash back et le film commence sur la sortie de prison du nazi répenti. Elle est plus axée sur la relation de lui et son jeune frère, tous deux ayant grandi dans un ghetto et ayant eu comme père de substitution un extremiste nazi qui ne fait pas cliché du tout.

    Bref, tout cela pour dire que c’est quand même assez pointu comme histoire et que je trouve un peu facile de réduire le film à ses quelques clichés.

    Deuxième remarque ; je trouve pour ma part de Helena Bonham Carter est d’une part une bonne actrice et d’autre part, une femme très attirante. J’ai récemment encore apprécié sa vue sur les affiches dans le métro parisien pour la dernière sortie en salle des aventures d’Harry Potter. Bref, vous n’aimez pas le jaune ? Moi, j’aime beaucoup.

    Dernière chose ; faire un paralléle entre le happy slapping et la « secte nihiliste de cassage de gueule à mains nues » du film Fight Club me parait intéressant.

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