« La
présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial
pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas
ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une
transformation globale.Tout
ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les
nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »
David Rockefeller, 23 septembre 1994.
"Je définirais la mondialisation comme la
liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il
veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant où il
veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en
matière de droit du travail de conventions sociales."
Percy Barnevik, prince d’un empire intercontinental
de la métallurgie (1995).
Et voilà pour la finalisation :
« Dès que possible, nous devons arriver à élaborer un
gouvernement mondial et une religion
mondiale, dirigés par un leader mondial ».
Robert Muller (1923-2010). Ancien assistant au
secrétaire général de l’ONU.
Que ceux qui désirent me caricaturer comme complotiste, s’ en
abstiennent. Ensuite je leur conseille de lire les ouvrages des
faucons de Washington, et de faire le parallèle avec ce
que nous vivons au jour le jour en Europe.
Et comme on ne le répètera jamais assez, je rapelle certains
fondamentaux : « Propaganda » de Edward Bernays,
« La stratégie du choc » de Naomi Klein et "La
véritable histoire des Bilderbergers" de Daniel Estulin.
« La
présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial
pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas
ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une
transformation globale.Tout
ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les
nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »
David Rockefeller, 23 septembre 1994.
"Je définirais la mondialisation comme la
liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il
veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant où il
veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en
matière de droit du travail de conventions sociales."
Percy Barnevik, prince d’un empire intercontinental
de la métallurgie (1995).
Et voilà pour la finalisation :
« Dès que possible, nous devons arriver à élaborer un
gouvernement mondial et une religion
mondiale, dirigés par un leader mondial ».
Robert Muller (1923-2010). Ancien assistant au
secrétaire général de l’ONU.
Que ceux qui désirent me caricaturer comme complotiste, s’ en
abstiennent. Ensuite je leur conseille de lire les ouvrages des
faucons de Washington, et de faire le parallèle avec ce
que nous vivons au jour le jour en Europe.
Et comme on ne le répètera jamais assez, je rapelle certains
fondamentaux : « Propaganda » de Edward Bernays,
« La stratégie du choc » de Naomi Klein et "La
véritable histoire des Bilderbergers" de Daniel Estulin.
« La
présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial
pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas
ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une
transformation globale. Tout
ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les
nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »
David
Rockefeller,23
septembre 1994.
"Je
définirais la mondialisation
comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps
qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant où il
veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en
matière de droit du travail de conventions sociales."
Percy
Barnevik, prince d’un empire intercontinental de la métallurgie
(1995).
Et voilà pour la finalisation :
« Dès
que possible, nous devons arriver à élaborer un gouvernement
mondial
et une
religion mondiale,
dirigés par un leader
mondial ».
Robert
Muller (1923-2010). Ancien assistant au secrétaire général de
l’ONU.
Que ceux qui désirent me caricaturer comme complotiste, s’ en abstiennent. Ensuite je leur conseille de lire les ouvrages des faucons de Washington, et de faire le parallèle avec ce que nous vivons au jour le jour en Europe.
Et comme on ne le répètera jamais assez, je rapelle certains fondamentaux : « Propaganda » de Edward Bernays, « La stratégie du choc » de Naomi Klein et « La véritable histoire des Bilderbergers » de Daniel Estulin.
@Shamika, tu nous dis très justement : « Si les FAI sont sous contrôle des gouvernements, cela reviendra à une privatisation d’internet tout comme le réseau hertzien des chaînes TV. »
Bien vu Shamika. C’est bien ce que je redoute. Car il ne faut pas oublier que nous n’avons pas les manettes du pouvoir, -je parle du vrai Pouvoir... le lourd-. Je ne connais rien au sujet des DNS, mais j’ai bien saisi que ce sont les Américains qui détiennent le monopole de l’histoire, Bien !
Mais si quelques génies de l’informatique créent un réseau parallèle au réseau officiel, je ne vous apprends rien, quant aux nouvelles lois qui seront pondues, et qui accuseront ces derniers d’une autre forme de piratage. Piratage, expliqué par le manque à gagner des sites « payants » ou appartenant au système. Et quand je dis piratage, je pense que le système passera à la vitesse supérieure en diabolisation, et lui parlera de terrorisme du Net. Plus rien ne peut l’arrêter, puisque nous avons devant nous, l’émergence d’un Etat mondial totalitaire.
D’ailleurs Mr Zbigniew Brzezinski le sait et le dit, je cite :« L’ère technétronique présuppose l’apparition progressive d’une société de plus en plus contrôlée. Une telle société sera dominée par une élite qui ne sera pas freinée par des valeurs traditionnelles. Bientôt, il sera possible de placer chaque citoyen sous une surveillance continue, et de maintenir constamment, et en temps réel, des dossiers complets actualisés, contenant des informations très personnelles sur chaque citoyen. Ces dossiers pourront être instantamément saisis par les autorités ». Zbigniew Brzezinski : « La révolution technétronique. Ed : Calmann-Lévy ; »Liberté de l’esprit" dirigée par Raymond Aron, de l’institut. 1970 (Tient ce cher Mr Aron de l’Institut, s’il vous plait...)
Je vous laisse juge, et aussi pour certain (es), je vous conseille d’aller vous informer sur ce Mr Brzezinski, ainsi que sur son grand ami Mr Henry Kissinger. D’ailleurs à ce propos, j’attends incessamment sous peu, la parution d’un de mes articles sur le thème de la 3ème guerre mondiale expliquée par ce même Mr H. Kissinger au cours d’un interview. Une fois encore... c’est du très très lourd.
P.S : C’est vrai, le partage n’est pas du piratage. Mais le jour où le système décrètera que : « Sous couvert de partager de données qui sont incontrôlées et susceptibles de menacer la démocratie....bla, bla, bla. Tout échange de données qui ne passerait pas par l’organisme de contrôle xxxx xxxxx, sera considéré comme une action de piratage. »
Parce que les lois auront changé, eh bien le partage deviendra du piratage. C’est comme ça ! Tu acceptes, ou tu paies l’amende, ou tu vas en tôle. Peut pas être plus claire.