À
New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John
Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la
presse :
« Il n’existe pas, à ce jour, en
Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi.
Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très
bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire
pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous
aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du
journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion
des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de
l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui
tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies
appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout
cela, vous le savez aussi bien que moi ! » (Cité dans : Labor’s
Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)
Merci à tous ceux et celles qui ont apporté des informations
nouvelles, susceptibles de faire avancer le débat. Cette idée, comme je le
disais en est une parmi tant d’autres. Et comme en naturopathie (ou l’on aide
le corps à obtenir la guérison en rassemblant différentes techniques de soin),
cette idée doit, pour être efficace, être combinée avec d’autres actions. Comme
dans tout organisme multifonctionnel, (la société est comparable au corps humain), une démarche unilatérale n’aura jamais
une action sur la globalité du système. Cette démarche unilatérale est appelée
« symptomatique », et c’est bien là toute « l’erreur » de nos
gouvernants.
Dans un second temps, penser a contre courant pendant quelques minutes
sur un thème que l’on a toujours appréhendé sous le même angle, peut pour
certains leur déciller les yeux. Une personne moins averti que vous sur le
sujet peut se poser de sérieuses questions en tombant par hasard sur un thème qui
va comme allant de soi, comme celui du vote.
Voila… ceci dit je ne suis en rien utopiste et je connais
bien mes classiques comme ceux énumérés par Iloreen :
-"Saddam Hussein a
refusé d’échanger les richesses de l’Irak contre des dollars (l’autre monnaie
de singe).
-Kadhafi a voulu instaurer le dinar/or en Libye et l’étendre à tout
le continent africain .Il ne voulait plus non plus échanger les richesses de
son pays contre des dollars sans valeur.
-En 1971, les banquiers (Rothschild, Rockefeller, JP Morgan , Goldman Sachs,
Carnegie) ont imposé la fin de la parité dollar/or avec Nixon.
- En 1973, Pompidou (ancien directeur de la banque Rothschild) a accordé aux
banques privées le privilège du contrôle de la monnaie."
On doit aussi y inclure l’histoire des "Barons
voleurs" américains de l’ile de Jekyll du début 1900.
Et j’ajouterais que j’ai également pleine conscience du
projet et du déroulement de l’agenda mis en place depuis un bon nombre d’années
comme le disait Thomas Jefferson : "Je considère que les institutions
bancaires sont plus dangereuses qu’une armée. Si jamais le peuple américain
autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et
les corporations qui se développeront autour d’elles vont dépouiller les
gens de leurs biens jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront sans
domicile sur le continent que leurs Pères avaient conquis."
Thomas Jefferson
3ème
Président us de
1801-1809
Lettre au secrétaire du
trésor Albert Gallatin (1802)
Ou : "Le capital doit assurer sa propre
protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la
législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites
le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs
maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et
peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement
représenté par les principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer
un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce
au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute
leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à
une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si
bien planifié et accompli."
Dans son livre « Le grand échiquier, l’Amérique et le reste du monde » (1997), Zbigniew Brzezinski dit clairement :, "Un
scénario présenterait un grand danger potentiel : la naissance d’une
grande coalition entre la Chine, la Russie et peut-être l’Iran,[...].
Afin d’éviter cette éventualité , aujourd’hui peu probable, les
Etats-Unis devront déployer toute leur habileté géostratégique sur une
bonne partie du périmètre de l’Eurasie, et au moins, à l’ouest, à l’est
et au sud."
Dans son livre « Le grand échiquier, l’Amérique et le reste du monde » (1997), Zbigniew Brzezinski dit clairement :, "Un
scénario présenterait un grand danger potentiel : la naissance d’une
grande coalition entre la Chine, la Russie et peut-être l’Iran,[...].
Afin d’éviter cette éventualité , aujourd’hui peu probable, les
Etats-Unis devront déployer toute leur habileté géostratégique sur une
bonne partie du périmètre de l’Eurasie, et au moins, à l’ouest, à l’est
et au sud."
Dans son livre « Le grand échiquier, l’Amérique et le reste du monde » (1997), Zbigniew Brzezinski dit clairement :, « Un scénario présenterait un grand danger potentiel : la naissance d’une grande coalition entre la Chine, la Russie et peut-être l’Iran,[...]. Afin d’éviter cette éventualité , aujourd’hui peu probable, les Etats-Unis devront déployer toute leur habileté géostratégique sur une bonne partie du périmètre de l’Eurasie, et au moins, à l’ouest, à l’est et au sud. »