Pendant toute sa vie mon grand-père paternel a souffert d’une plaie à l’épaule provoquée par un éclat d’obus. Il fut touché à l’age de dix huit ans. Plus je vieillis plus je pense à lui ... tous les jours...
La brève période de réchauffement en quelques parties du globe,
depuis la moitié des années 1970 jusqu’en 1998, contribua à nourrir la
peur chez une population crédule et de plus en plus dépourvue de
jugement scientifique. Mais aujourd’hui, c’est terminé. Dans la
décennie suivant 1998, la température moyenne au niveau du globe a
chuté d’environ 0,6°C, annulant l’entièreté de l’augmentation de la
température moyenne enregistrée au cours du siècle précédent. C’est ce
qui ressort de l’analyse des données par satellite du Centre d’études
spatiales Marshall. Récemment, l’indice de l’activité des taches
solaires, qui mesure le rayonnement calorifique du Soleil, a atteint
son plus faible niveau depuis 1913.
Outre les variations de la configuration orbitale, le Soleil
lui-même affecte le climat, à la fois directement, sous forme de
chaleur, et indirectement. A titre d’exemple, le vent solaire (le
courant de particules chargées s’échappant du Soleil) a un effet sur
l’intensité du rayonnement cosmique. Ce rayonnement, a-t-on récemment
démontré, joue un rôle essentiel dans le processus de formation des
nuages. Si, à cause d’une moindre activité solaire, un rayonnement
cosmique accru pénètre dans l’atmosphère, cela peut se traduire par une
plus forte couverture nuageuse et donc un refroidissement accentué.
On sait que le Soleil suit un cycle de onze ans durant lequel son
activité s’accroît puis décroît. Cependant, dans le cycle récent,
l’activité a été si faible que certains experts craignent que nous
entrions dans un nouveau « Minimum de Dalton », référence à la période
de 1790 à 1830, le « petit âge glaciaire » où l’activité solaire était
en comparaison plus faible. L’astronome Khabibullo Abdusamatov, de
l’Observatoire Pulkovo en Russie, a prévu en 2005 que l’activité
solaire était sur le point de décroître, amenant un refroidissement. Et
en 2008, Oleg Sorokhtine, de l’Académie russe, conseilla de « stocker
des manteaux de fourrure », prévoyant un strict minimum solaire d’ici
l’an 2040, suivi d’une période de glaciation.
Soyons clairs. Le but de la psychose sciemment entretenue sur le
réchauffement planétaire est, en fin de compte, de réduire la
population mondiale. Les initiateurs de ce genre de campagne, comme les
co-fondateurs du World Wildlife Fund, le prince Philip d’Angleterre ou
le prince Bernhard des Pays-Bas (un ancien officier SS) ne s’en cachent
pas.
Cessons d’être les dupes de ces campagnes d’horreur, derrière
lesquelles se dissimulent des objectifs inavouables. Un retour au
concept de progrès scientifique fournirait à l’humanité les meilleurs
moyens de traiter tout défi futur menaçant sa survie, que ce soit le
changement climatique, de nouvelles maladies ou toute autre menace non
encore envisagée.