A la page 96 de l’ouvrage Jérôme Janicki, “Le drame de la thalidomide”, Paris, L’Harmattan, 2009, les 19 monstres softenon (nom commercial de la thalidomide en Belgique) belges sont divisés par province.
Il n’y a que 5 des 9 provinces mentionnées
Moi je suis né dans la province de Flandre orientale (Oost-Vlaanderen) qui n’est pas mentionnée.
La faute ne se situe pas chez Janicki, mais chez “les inspecteurs d’hygiène recueillant, nous dit Janicki, dans toutes les maternités du pays les cas d’enfants ayant des malformations congénitales », qui ont probablement été intimidés par mon père, Henri (Hendrik ? depuis que j’ai commencé à étudier (et exposer le résultat de mes études) le softenon sur internet il y a 16 mois) Cerckel.
« C’est le 13 novembre 1961 qu’un pédiatre de Hambourg met en accusation la thalidomide. Six jours plus tard, tous les médicaments contenant de la thalidomide sont retirés du marché en Allemagne. Dans les mois qui suivent, les mêmes mesures sont prises dans les autres pays. »
Eh, pas aller trop vite en besogne. Moi, monstre softenon né en Belgique en février 1962.
Oui, je sais, le monstre softenon faisant l’objet du procès liégeois était né en mai 1962, c.à.d. encore trois mois aprés moi, mais mon père médecin n’avait pas été autorisé par ses parents d’épouser la femme qu’il voulait.
RESULTAT DES COURSES pour le gouvernement du Royaume, a présent fédéral, de Belgique, que j’ai dû quitter il y a neuf ans pour le tiers monde où la vie est moins chère, je ne suis pas monstre softenon.
Cela ne fait que 16 mois que je suis au courant du congrès de Düsseldorf des 30 avril – 1er 1960.