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Étirév

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Derniers commentaires



  • Étirév 27 mars 07:31

    « Ennemi intérieur, extérieur ? Partout ! Réponse ? Nulle part !  », SI !
    Une légende hindoue narre que dans des temps immémoriaux, tous les hommes étaient dieux. Evidemment, ils usèrent et abusèrent de leur pouvoir. Brahma voyait la situation lui échapper, s’il laissait faire. Il décida d’ôter ce pouvoir divin et de le dissimuler en un endroit où l’homme serait bien en peine de le découvrir. Où trouver cette cachette ? Tous les dieux furent convoqués à un conseil pour résoudre la question. « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre », proposa l’un d’eux. « Non ! répondit le maître des dieux, il fera des fouilles et la déterrera. ». Un autre pensa à l’insondable profondeur des océans. « Non ! dit encore Brahma, il viendra un temps où les explorations sous-marines conduiront à la remontée à la surface de ce précieux don. »
    À court d’imagination, les dieux se sentaient impuissants et désemparés. « Nous ne savons que proposer. » L’homme semblait plus inventif qu’eux ! Brahma eut alors un trait de génie : « nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est bien le seul endroit où il n’aura certainement pas l’idée de pousser ses investigations. »
    Ainsi devras-tu dégager de toi l’être immortel qui dort son calme sommeil et le tendre vers la clarté divine. Comme du ver naît le papillon, de l’homme rampant naîtra l’ange à l’esprit lumineux. Cherche en toi les mystères que tu veux connaître : l’homme possède en lui le miroir profond qui réfracte la Vérité. Mais, de même qu’un lac troublé agité par le vent reflète imparfaitement l’azur, l’âme agitée ou troublée par les passions ne peut refléter dans toute sa pureté la Vérité sacrée. Calme donc en toi les vains tourments de la vie, libère-toi des attaches d’en bas, et la révélation attendue t’apparaîtra éblouissante et claire. Que ton seul ennemi soit l’ennemi caché en toi, car c’est toi-même qu’il faut vaincre.
    Homme de la Terre, en vérité, nul n’est ton ami ni ton ennemi plus que toi-même !
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  • Étirév 21 mars 11:59

    Le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
    Au commencement du Moyen Âge, les Israélites dispersés s’étaient répandus sur toute l’Europe. On les appelait Juifs, quoique les vrais Juifs eussent presque tous passé au Catholicisme, et fussent devenus les plus ardents adversaires des anciens représentants des tribus d’Israël. Ce sont les Juifs christianisés, par ironie sans doute, qui donnaient aux Israélites leur nom de Juifs qui était discrédité et détesté partout.
    Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
    La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle.
    Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. C’est ceux-là que Voltaire prend à parti lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. ». Pour comprendre la persécution dirigée contre les Sémites, il faut savoir que ce sont les Israélites (féministes) qu’on persécute, et non les Juifs qui les ont renversés pour établir un régime masculiniste. Ces précisions sont susceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur certains évènements tragiques de l’histoire, notamment ceux ayant eu lieu au cours de ces trois derniers siècles, et aussi sur l’utilisation abusive, voire la manipulation aujourd’hui, autour de l’argument, devenu l’argutie, de l’« antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion par l’oligarchie « masculiniste » et toutes ses marionnettes.
    NB : Les modernes n’auraient jamais connu le Sépher primitif (qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature) si un homme d’un génie extraordinaire, Antoine Fabre d’Olivet (1767-1825), n’avait entrepris de reconstituer l’hébreu primitif et de refaire la traduction des dix premiers chapitres du Sépher. Fabre d’Olivet fut tout de suite remarqué par Napoléon comme un homme qui pouvait restituer la vérité. Cela lui valut une persécution effroyable (Il dut quitter la France et s’exila en Angleterre), parce qu’on s’apercevait que sa grande science allait permettre de reconstituer le texte primitif de la Bible, caché depuis 3.400 ans, et que les rabbins, qui connaissent les substitutions de sexes qui ont été faites par les prêtres quand ils ont révisé les Écritures, continuaient à dénaturer complètement.
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  • Étirév 15 mars 14:35

    « Comment on réécrit l’histoire ! »
    Voyons d’abord comment on l’a écrit.
    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants de la splendeur du régime féminin : la destruction et l’altération des textes.
    L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.
    Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure au régime masculin devait, pendant longtemps, être effacée.
    Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains, qui, après l’établissement d’une république qui ne laissait aucune place à la Femme, firent détruire les livres de Numa qui contenaient certainement des faits qui faisaient connaître le régime gynécocratique, encore existant à son époque.
    Il paraît également certain qu’on fit aussi détruire les monuments et les écrits des Thraces et des Volsques.
    Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.
    Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    En ce qui concerne le XXème siècle, et plus particulièrement en France, Robert Charroux (1909-1978) rappelle comment, à Paris, « On » mis sous séquestre puis fit disparaître les Tables astronomiques brahmaniques dites de Tirvalour, attestant la haute antiquité de la science aux Indes ; il souligne également comment, en 1926, « On » ruina frauduleusement le crédit du plus riche gisement archéologique du globe : Glozel ; il fait remarquer, enfin, comment « On » mis à nouveau sous séquestre la Bibliothèque préhistorique de Lussac-les-Châteaux en 1937.
    Et plus récemment, lors de la guerre d’Irak menée sous l’impulsion des États-Unis d’Amérique, souvenons-nous des opérations de pillages et du saccage intégral du musée de Bagdad, organisés « professionnellement », sous la passivité totale des forces américaines (sous leur protection même affirment certains), et de la destruction systématique de tous ses ordinateurs et archives dans lesquels étaient recensées et photographiées toutes les pièces de l’inventaire, ainsi que du vol de la majeure partie des 40 000 manuscrits et de la totalité des quelques 80 000 tablettes de terre cuite recouvertes d’inscriptions cunéiformes... des tablettes sumériennes dont le décryptage commençait à s’avérer fort instructif en ce qui concerne les influences babyloniennes chez les rédacteurs de l’Ancien Testament...
    Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.
    Ne serait-ce pas de là que viendraient les mots « predate » (antidater) et « pré-dateur » ?
    Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs (3). Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès.
    Or, tout cela était mensonge et il importe aujourd’hui de rechercher la vérité cachée, c’est-à-dire le plaidoyer des vaincus, leur véritable état social et moral.
    Suite



  • Étirév 14 mars 07:36

    Une crise terrible fermente en ce moment, parce que le dogme de LA CHUTE masque les plus grands problèmes philosophiques. Explication :
    Suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, le mot « AGAPE » désignait les réunions données le 7ème jour. Ce 7ème jour était un temps de repos ; c’était un jour CONSACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
    Cette consécration du 7ème jour laissé aux divertissements, aux agapes et au sacrifice eucharistique, a joué un grand rôle dans le premier culte, puisqu’elle a été imitée et parodiée par toutes les religions.
    A propos des festins du vendredi et des noces qui étaient les agapes des Mystères, dans son ouvrage, « La République des Champs Elysées », Charles Joseph de Grave montre comment cette fête religieuse entra dans les mœurs : « Après avoir consacré les six premiers jours à des travaux et des devoirs, les législateurs ont proclamé le septième jour « libre ». « Vrydag », nom du vendredi, signifie « libre jour » (en allemand « Freytag », en anglais « Friday »). Le 7e jour était destiné à la célébration des noces. Sous ce rapport, l’amour présidait aussi à ce jour. C’est de là que le mot Vry a donné naissance au verbe Vryen (en Néerlandais) qui, dans l’usage du peuple moderne, signifie « faire l’amour ». Et on donne aussi le nom de « frayer », Vryen, à « l’amour des poissons ».
    Le vendredi s’exprime en latin par le mot « dies Veneris », « jour de Vénus », « jour de la Femme » car « Vénus » à la signification de Femme. Alors, sans doute, Femme Divine. Notons à propos de « dies Veneris », devenu « vendre-di », que « Port-Vendres », cette ville située au pied des Pyrénées orientales, s’appelait autrefois « Portus Veneris » : le port de Vénus.
    On a jeté tant de défaveur sur le vendredi, qu’il en est résulté un préjugé singulier contre ce jour, préjugé qui se soutient encore par l’effet d’une tradition sourde, quoiqu’on en ait perdu la raison. Dans l’opinion vulgaire, le vendredi est devenu un jour funeste et de mauvais augure. Et le vendredi, « jour de Vénus », a été remplacé par le dimanche, « jour du Seigneur ». Toujours la substitution des sexes accompagnée du renversement des idées. L’ancienne Loi donnait un jour sur sept à l’union ; la loi masculine fera du dimanche un jour d’abstinence et donnera à la licence masculine six jours sur sept.
    Les relations sexuelles n’ayant plus été réglementées par LA RELIGION, la licence masculine, dès lors, entraîna un accroissement anarchique de la population mondiale. Ainsi, en cette fin de Cycle, l’explosion démographique planétaire inédite du XXème siècle a vu la population mondiale multipliée par 2,4, et passée de 2.5 milliards d’habitants en 1950, à 6 milliards en 1999 ; elle est de plus de 8 milliards en 2023.
    Robert McNamara, ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique (celui qui ordonna le bombardement massif du Vietnam) et ancien président de la Banque Mondiale (qui imposa aux pays dits « en voie de développement » l’utilisation de moyens contraceptifs comme condition sine qua non pour obtenir des aides financières), membre également du « Council on Foreign Relations » (CFR), de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg » et du « Lucis Trust », puissante association reconnue par l’ONU, et dont dépendent les mouvements pseudo spiritualistes du « New Age », déclarera : « On doit prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations… Pour réduire la population terrestre il faut augmenter le nombre de décès et diminuer le nombre de naissances… Cela aura lieu, soit par le biais de mesures humaines soit par un coup d’arrêt malthusien ». Ainsi se développera, s’intensifiera et se banalisera l’usage des contraceptifs, des avortements, de la stérilisation et peut-être, bientôt, de l’euthanasie. Et pourquoi ne pas également, et dans le même temps, comme tous les grands « bouchers » de l’histoire, déclencher des guerres ici où là, des conflits mondiaux… nucléaires ; augmenter la souffrance des gens et les pousser au désespoir et au suicide ; provoquer des famines, des épidémies et même des pandémies fictives qui justifieraient un empoisonnement médical « scientifiquement correct » ; ou bien encore encourager la sodomie et finir par défendre la pédophilie ?
    On le voit, le mystère de la Chute a une importance capitale, c’est le nœud de notre condition qui prend ses replis et ses retours dans cet abîme.
    L’homme est tombé dans la conception misérable du fini, alors qu’il était né pour l’INFINI.



  • Étirév 13 mars 09:03

    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que…
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à augmenter le pouvoir du sionisme politique et permettre l’établissement, en Palestine, d’un État souverain d’Israël (devenu depuis une source ininterrompue de conflits, et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente).
    Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes, et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, instabilité internationale, insécurité généralisée, explosion du marché de la « sécurité intérieur », développement des technologies « Big Brother » axées principalement sur le « contrôle des foules », etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales) dont le fonds de commerce est principalement la PEUR.
    Remarquons que les deux premières Guerres mondiales viseront principalement les Chrétiens : d’une part, en les faisant s’entretuer avec efficacité par dizaines de millions ; d’autre part, en les atomisant à Hiroshima et Nagasaki, les deux seules villes catholiques du Japon.
    Troisième guerre mondiale : Son plan serait basé sur les divergences d’opinion…
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