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Jean GABARD

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  • Premier article le 22/12/2011
  • Modérateur depuis le 19/12/2013
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Derniers commentaires



  • Jean GABARD Jean GABARD 20 décembre 2013 23:59

    Je n’ai jamais dit que la femme devait écouter religieusement le père qui dit la loi.

    Je dis au contraire que la femme dans la fonction de mère doit demander à l’enfant d’écouter (religieusement ?) l’homme dans la fonction de père, disant la loi, décidée avec elle.

    Pourquoi voulez-vous toujours voir des rapports de dominants/dominés lorsqu’il n’y a que différence ?

    Quelle serait d’ailleurs la fonction la plus importante ? Celle de père qui consiste à dire la loi ou celle de mère qui nomme le père et lui permet de dire la loi ?



  • Jean GABARD Jean GABARD 20 décembre 2013 23:38

    Vous dites « Les petites filles n’existent pas » Ah bon, parce que les petites filles ne font pas partie des enfants comme les petits garçons ?


    Si je n’ai pas parlé de la castration psychique primaire pour les petites filles c’est qu’elle n’existe que pour les petits garçons.
    La petite fille continue de s’identifier à sa maman et ses problèmes d’identification viennent plus tard. 

    Dans mon texte on parle de la fonction du père et de la fonction de la mère. La fonction de père n’existe que s’il y a fonction de mère et inversement.

    Etes vous certain(e) d’avoir lu mon texte avec deux yeux ? ... 


  • Jean GABARD Jean GABARD 20 décembre 2013 17:53

    Merci 
    Effectivement ils rejettent violemment mon analyse !
    Mais cela ne m’empêche pas de donner mon avis et même d’accepter le débat avec eux.
    Malheureusement les critiques qu’ils me font portent sur ce qu’ils supposent que je pense mais rarement sur ce que je dis.


  • Jean GABARD Jean GABARD 20 décembre 2013 14:17

       » Les jugements et les comportements de certains « féministes » peuvent être aussi intolérants que le sont ceux de certains machos et, dans ce monde où « le divers décroît », s’il y a égalité homme-femme, c’est malheureusement dans leur capacité mutuelle à faire du racisme et du sexisme. La seule différence entre les deux sexismes tient au fait que le sexisme des hommes est maintenant condamnable et condamné alors que le « sexisme » de l’idéologie « féministe » est devenu la norme. " JG Extrait p.79







  • Jean GABARD Jean GABARD 20 décembre 2013 08:36

    Pardonnez-moi de me citer mais il est nécessaire de donner des précisions sur la violence des hommes et sur la violence des femmes :


    Aujourd’hui, les hommes n’arrivent pas davantage à ressentir la difficulté d’une femme à se donner physiquement, ni le cataclysme que représente pour elle la violence physique, mais, au moins, en écoutant les femmes qui en parlent, arrivent-ils à le concevoir. Ils essaient d’être moins pressés et moins brutaux. Tous n’y arrivent malheureusement pas encore, mais ils ont accepté une législation qui punit sévèrement le harcèlement et le viol.

      L’homme est maintenant davantage prêt à tenir compte de la spécificité féminine. Pourtant alors que de plus en plus d’hommes semblent ne plus vouloir inférioriser la femme, l’idéologie « féministe » égalitariste fait comme s’il n’y avait plus de fragilité structurelle chez la femme, (certaines féministes intégristes et maximalistes pour cette raison, refusent même la galanterie), comme chez l’homme. L’éventuelle fragilité des hommes ne supportant pas le regard ou les paroles sévères des femmes ne viendrait que de leur mauvaise éducation. La fragilité physique des femmes confondue avec leur souffrance psychique serait uniquement le résultat de l’éducation sexiste et des multiples agressions qu’elles ont subies. Cela leur donnerait d’ailleurs droit à réparation et justifierait leur propre agressivité. En toute bonne conscience, l’idéologie « féministe » peut ainsi approuver une législation unisexe (alors qu’elle est surtout faite pour protéger les femmes) qui sanctionne gravement, et à juste titre, la violence physique des hommes, mais qui par contre, libère les femmes de toute retenue envers les hommes. Elles se retrouvent sans limites, peuvent suivre leur nature et laisser aller leurs émotions. C’est même devenu une recommandation. Sophie de Hérédia, ne titrait-elle pas dans Cosmopolitan de septembre 2002 : « Cessez de contrôler vos émotions. Exprimez-vous ! Pour éviter le stress, la dépression, les ennuis de santé, il vaut mieux libérer de temps en temps la brute qui sommeille en nous, tant pis pour les dommages collatéraux ». Dans cette nouvelle jungle, l’agression de l’espèce mâle, si elle n’est pas physique, passe ainsi pour un incident secondaire.

    p.72 Le féminisme et ses dérives Rendre un père à l’enfant-roi Les Editions de Paris Max Chaleil

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