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jeanpierrecanot

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  • Premier article le 07/09/2010
  • Modérateur depuis le 23/05/2011
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Derniers commentaires



  • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 1er mars 2012 21:54

    SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !

     

     » Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine " a="a" encore="encore" rajendra="rajendra">i>

     

     

    On vient donc nous expliquer une fois de plus  que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».

    Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.

    Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.

    Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.

    « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?

    Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?

    Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.

    On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.

    Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».

    C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.

    Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.

    Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.

    Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.

    N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.

     



  • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 15 septembre 2011 21:17

    C’est la semaine du DÉVELOPPEMENT durable !

    « Bonjour ! Vous êtes sur le serveur du développement durable, du commerce équitable et de la micro finance, si vous voulez bénéficier d’une aide internationale appuyez sur la touche « étoile »… si vous avez faim tapez 1… si vous avez soif tapez 2… si vous êtes malade tapez 3… ».

    « Jean-Pierre Canot Apprends-nous plutôt à pêcher ! ».

    C’est sans doute la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une notion dont on ne sait dire s’il s’agit de philosophie, de religion, de règle de vie ou d’ensemble de techniques, se répand avec une extrême rapidité dans les coins les plus reculés du monde, et se trouve mise à toutes les sauces constituant la tarte à la crème du moment.

    Le terme durable, que l’on commence ça et là à remplacer par soutenable, est plein d’ambiguïtés, il résulte d’une traduction lamentable de l’Anglais «  sustainable » dont on retrouve la racine dans sustentation : ce qui caractérise un corps maintenu au dessus d’une surface sans contact avec elle. Il faut donc ajouter à la notion de durée celle d’autonomie ce qui implique un principe de respect d’un environnement où l’on puise en permanence les éléments permettant cette sustentation.


    Il serait donc déjà plus raisonnable de parler d’un développement autoporteur en ne confondant toutefois pas les buts et les moyens de ce développement comme on le fait allègrement avec celui qualifié de durable.

    Le développement dit durable dans son acception actuelle a trois composantes qui dans l’ordre d’importance qui leur est donné sont : l’économique, l’environnemental, l’humain. L’Homme ne vient donc qu’en troisième position, s’il en reste ! alors qu’un développement autoporteur bien compris devrait avoir un but : le plein épanouissement de l’Homme, celui-ci pour y parvenir utilisant l’outil économique dans le respect indispensable et absolu de son environnement.
    Le développement dit durable outre le fait qu’il confond l’objectif qu’il poursuit avec les outils de sa mise en œuvre est donc pervers dans l’inversion des priorités qui fait que l’Homme vient bien après l’économique et l’environnemental, le résultat est doublement dramatique :


    - Ce sont les crises économiques que nous connaissons de façon de plus en plus fréquentes, qui tiennent à ce que la croissance économique forcenée que nous recherchons conduit à la création de fausse monnaie comme on l’a vu dans l’affaire des « subprimes » ou comme on le constate chaque fois que salaires et rémunérations ne sont pas les contreparties normale d’un acte économique et se trouvent donc en infraction par rapport au principe fondateur de la monnaie : «  Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front ».


    - Ce sont de façon peut-être moins certaine les désordres qu’entraîne la surexploitation des ressources naturelles sur notre environnement. Il n’est pas sûr en effet que le « petit Homme » soit responsable de toutes les dégradations qui selon certains devrait aboutir à une situation que la vaste nature a connu par le passé après des millénaires de lente dégradation.
    Il reste que même si la faculté d’adaptation de l’Homme doit lui permettre de faire face à tous les désordres qui interviennent dans la nature il lui appartient de ne pas gaspiller les ressources naturelles qui lui sont nécessaires et de faire en sorte que leur renouvellement ou le recyclage des déchets qui résultent de leur exploitation, se fassent dans les meilleurs conditions possibles.


    Il faut constater que dans la grande foire au développement durable où se démènent des acteurs de toute nature, le « syndrome du thermostat » joue à plein qui veut que, comme dans l’utilisation de cet instrument dont nous nous acharnons à ne connaître que les positions extrêmes, nous ne sachions appliquer que le principe du « tout ou rien » quant aux idées et lois qui régissent ce développement dit durable.


    C’est donc ou le tout environnemental au plus profond mépris de l’économique, ou le tout économique au mépris cette fois de l’environnemental, dans les deux cas il n’est bien entendu pas tenu compte de l’Homme qui doit se soumettre aux lois de l’économie désormais mondiale dans le respect le plus strict d’un environnement que la soumission servile aux lois économiques le pousse par ailleurs à transgresser.

     

    Lorsque Madame le Ministre du Développement dit durable laisse autoriser des permis de recherche de schistes bitumineux, on peut se demander à quoi rythment ses serments qu’il n’y aura jamais d’autorisations d’exploitation. Pourquoi alors autoriser la prospection ?

     

    Lorsque le Président de la République clame haut et fort et sans discussion possible que la politique nucléaire de la France ne sera pas remise en cause, on est en droit de se demander s’il ne serait pas plus judicieux au nom du développement dit durable de tirer les leçons des catastrophes du Japon , en recherchant notamment des méthodes plus sures d’exploitation de cette énergie et de limitation de la durée de vie des déchets.

    L’entêtement est d’autant plus navrant que maints savants prétendent voire démontrent qu’il existe des solutions plus sure que celles que nous entendons maintenir coute que coute.

     

    Gageons que la semaine du développement dit durable ne traitera pas de tout cela , pas plus que du nombre de ces petits enfants qui meurent de faim toutes les minutes à travers le monde, et qui ne connaitront donc pas un développement durable, parce que nous sommes incapables d’utiliser efficacement les sommes colossales que nous consacrons à l’Aide Publique au Développement.

    Madame le Ministre du développement dit durable, encore elle, dans un déplacement en force en Tunisie annonçait une coopération couteuse dans ce pays et dans des domaines qui n’apporteront aucune solution à la pauvreté et à la faim des populations.

    L’agriculture secteur primaire est semble-t-il une des composantes essentielles du développement dit durable, mais on oublie partout que la priorité des priorités pour les populations affamées est le développement de ce secteur agricole de façon à ce que l’on arrive à l’autosuffisance alimentaire.

    Avril 2011



  • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 3 septembre 2011 22:53

    JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !

     

     

    Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.

    Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.

    Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.

    Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.

     

    Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».

     

    Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !

    Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.


    Il serait plaisant n’était-ce dramatique de constater que notre Ministre de l’Éducation Nationale entend remettre la morale à l’honneur dans le primaire, ceci au moment même où il laisse démanteler cette morale dans le secondaire avec l’affaire de la théorie du genre..

     

    On peut encore espérer qu’il n’a pas parfaitement perçu que c’étaient les fondements mêmes de notre culture millénaire au travers de ses aspects moraux qui étaient remis en cause, voire sérieusement ébranlés.

     

    Ceux qui ont cru voir dans cette affaire un moyen « d’écraser l’infâme » oublient que les règles morales qui nous régissent ont certes été il y a bien longtemps codifiées par les religions, mais qu’elles étaient le résultat de cette jurisprudence millénaire qui découle des lois et règles incontournables que la nature nous impose.

     

    La Laïcité est infiniment respectable et doit être défendue coûte que coûte, mais nous aurions tort de considérer qu’elle peut édicter des lois morales pouvant remplacer celles qui existent depuis l’origine de l’humanité.

     

    Il serait navrant que le principe de Laïcité soit ainsi bafoué en cherchant, pour régler un compte à la religion, à remettre en cause dans une attitude négationniste des principes moraux essentiels dont l’abandon ne saurait conduire qu’à la décadence.








  • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 3 septembre 2011 22:42

    JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !

     

     

    Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.

    Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.

    Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.

    Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.

     

    Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».

     

    Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !

    Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.



    Il serait plaisant n’était-ce dramatique de constater que notre Ministre de l’Éducation Nationale entend remettre la morale à l’honneur dans le primaire, ceci au moment même où il laisse démanteler cette morale dans le secondaire avec l’affaire de la théorie du genre..

     

    On peut encore espérer qu’il n’a pas parfaitement perçu que c’étaient les fondements mêmes de notre culture millénaire au travers de ses aspects moraux qui étaient remis en cause, voire sérieusement ébranlés.

     

    Ceux qui ont cru voir dans cette affaire un moyen « d’écraser l’infâme » oublient que les règles morales qui nous régissent ont certes été il y a bien longtemps codifiées par les religions, mais qu’elles étaient le résultat de cette jurisprudence millénaire qui découle des lois et règles incontournables que la nature nous impose.

     

    La Laïcité est infiniment respectable et doit être défendue coûte que coûte, mais nous aurions tort de considérer qu’elle peut édicter des lois morales pouvant remplacer celles qui existent depuis l’origine de l’humanité.

     

    Il serait navrant que le principe de Laïcité soit ainsi bafoué en cherchant, pour régler un compte à la religion, à remettre en cause dans une attitude négationniste des principes moraux essentiels dont l’abandon ne saurait conduire qu’à la décadence.



  • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 1er septembre 2011 14:48

    JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !

     

     

    Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.


    Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.

    Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.

    Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.

     

    Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».

     

    Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !

    Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.

     

     

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