Notre décryteur d’affiches redécouvre régulièrement le fil à couper le beurre.
Ces affiches sont évidemment composées pour être comprises rapidement et par tous. Elles ne sont pas réservées à une aristocratie intellectuelle qui n’y verrait que violence et mépris
Comme vous deux, je constate la montée du ras le bol de la population "populaire" qui vit très mal au contact de personnes qui ne veulent pas adopter le mode de vie européen qui a permis l’intégration des italiens, espagnols et portugais (avec qq difficultés au début , j’en conviens).
Les politiques de gauche (italiens comme français) en sont parfaitement conscients, mais comment le dire ? Comment avouer être dans l’erreur sans renier les grands principes angéliques et faire fuir une partie de leur électorat ? En attendant, il faut éduquer, loger, soigner, Rmiser, allocatiser....et alourdir toujours plus le budget et la dette.
Derrière le décorum de circonstances, Ségolène Royal décèle un éternel candidat.
Et c’est une experte qui parle ! Elle s’apprête à le devenir elle-même, à moins que ses "amis" du PS ne calment ses ardeurs.
En un an la gazelle est devenue lionne et signe son entrée parmi les grand fauves de la politique.
Vous êtes sérieux ?
Ceux qui, dans son camp, la prennent encore pour une oie blanche en seront pour leurs frais.
Ils ne la prennent que pour ce qu’elle est , une personne fausse et vindicative (cf ses relations au conseil régional) et connaissent maintenant sa capacité de nuisance.
Qui êtes-vous pour juger Vieuxcon et son orthographe ?
Qui êtes-vous pour insulter le colonel Mourey ? Les conclusions de ses recherches ne correspondent pas à la norme officielle . Et alors, est-ce suffisant pour l’injurier ?
Vous ne mesurez pas l’étendue de ses connaissances, ni le travail réel de recherche qu’il a accompli.
Je connais personnellement le Colonel Mourey . Je suis fier d’avoir servi sous ses ordres, puis de l’avoir fréquenté plus tard.
Les insultes virtuelles sont pratiques et peu dangereuses. Dans le monde réel, vous n’auriez pas eu ce courage face à lui.
Vous avez, bien sûr,le droit de ne pas être d’accord, mais vous pouviez le dire avec un peu de courtoisie.