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« À la fin tu es las de ce monde ancien »

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Derniers commentaires



  • JohnJohn JohnJohn 24 octobre 2011 19:46

    Bonsoir Ariane, bonsoir à tous,

    Ariane, je suis à chaque fois très touché par vos articles, ceux qui attaquent les sujets sous un angle particulier qui témoigne de votre grande sensibilité je trouve : vous vous mettez dans la tête des plus gros détraqués de la planète, ceux dans la conscience desquels se formule la vérité de notre monde dans toute sa cruauté et son acidité.

    J’en suis touché car c’est l’angle par lequel j’essaie aussi de saisir ces hommes et ces femmes qui nous détruisent. C’est l’angle qui me semble le plus pertinent, et celui par lequel un début d’espoir peut naître.

    J’aimerais vous en dire plus, j’aimerais rompre ma solitude. J’aimerais parler de tout ce que j’ai en tête et qui me donne la migraine. Le livre de Peter Dale Scott, ces reportages insupportables du style « Le Ghana, la poubelle de l’occident », les lectures de Voltairenet ou Agoravox. J’ai 23 ans et je ne peux pas supporter ça seul. J’ai peur. J’ai peur de mourir, j’ai peur de finir dépressif dans la rue, j’ai peur qu’on arrive pas à gagner notre guerre.

    Tout va mal : les relations humaines, les organisations politiques, l’alimentation, l’éducation des enfants, le rapport avec la nature, ...

    C’est le Moyen âge dehors, et l’îlot d’humanité qui peut exister en quelques sites internet amis ne me suffit pas. J’ai besoin de parler, de voir qui nous sommes, combien nous sommes, ce que nous avons à dire.

    De telles initiatives ont-elles déjà eu lieu ?

    Pouvez-vous prendre contact avec moi via mon adresse mail, disponible ici sur mon profil ?

    Merci smiley Bonne soirée

    PS : désolé pour ce commentaire hors sujet 



  • JohnJohn JohnJohn 30 septembre 2010 09:30

    Bonjour roblin,

    Merci beaucoup pour cet article dans lequel vous laissez une place centrale aux travaux d’Alice Miller et Olivier Maurel smiley

    Cependant, je m’attendais à ce que vous tentiez une explication sur le fait que ces crimes abdominales et la mentalité qui va avec n’existent que dans certains pays du monde.
    Peut-on à la lumière des travaux d’Alice Miller supposer que l’« éducation » des enfants dans ces pays (Afrique subsaharienne notamment) est particulièrement violente, ce qui se ressent sur les drames dont sont victimes ces pays ?

    Et plus largement, je me demande si l’on ne peut pas regarder la délinquance en France sous un nouvel œil, en faisant le rapport entre délinquance et violence subie dans l’enfance, et par conséquent entre délinquance et culture (donc origine) des parents.

    Je remarque souvent dans le bus ou les supermarchés que les mères les plus agressives envers leur enfant sont assez souvent des femmes provenant visiblement de ces pays.



  • JohnJohn JohnJohn 20 septembre 2010 19:23

    Je me permets de conseiller aux lecteurs de ce commentaire l’article fondamental d’Alice Miller sur les racines de la violence.

    Si les jouets sont un vecteur de la violence, il vaut mieux à mon sens s’interroger sur l’origine de cette violence et pourquoi, d’après votre article, 20% des enfants de la garderie y échappent, alors qu’il utilisent les jouets comme les autres.

    Ne serait-ce pas du côté de la violence ordinaire intra-famililale qu’il faut jeter un coup d’oeil ?

    Enfin, et c’est peut-être le plus important, il faut veiller à ne pas qualifier de « violence » les gestes brusques d’enfants de 3 ans qui souvent visent moins à faire mal qu’à interpeller et revendiquer sa présence et ses droits. S’il voulaient être violent, ils se poignarderaient avec des crayons smiley



  • JohnJohn JohnJohn 8 juin 2010 15:04
    Bonjour, votre article me fait penser à un livre de Thomas Frank. Pourquoi les pauvres votent-ils pour le parti des milliardaire (GOP / UMP) ?Résumé : Il y aurait un noyau dur (1/3 de l’electorat) qui voterait invariablement pour le « pire » des parti présent, celui symbole de la puissance. Ce noyau dur aurait conduit le NSDAP au pouvoir, comme Bush, en violation de leurs propres intérêts. Seulement pour la jouissance de voter pour le camp de la force. What’s The Matter With Kansas ?

    Thomas Frank

     Le comté et l’Etat les plus pauvres des Etats-Unis ont largement réélu M. Bush le 2 novembre dernier. Le comté, par 82,96 % des voix, l’Etat (la Virginie-Occidentale), avec plus de 56 % des suffrages. Pour comprendre cette bizarrerie apparente (un groupe social qui vote contre ses intérêts économiques), Thomas Frank a enquêté dans son Kansas natal. Là-bas, il a vu s’exaucer le rêve des conservateurs : une fraction de la classe ouvrière soutient désormais la droite, lui permettant ainsi de démanteler les protections arrachées autrefois par le monde ouvrier.

     L’explication n’est pas seulement religieuse. L’insécurité sociale déchaînée par le nouveau capitalisme conduit une partie du prolétariat et des classes moyennes à rechercher la sécurité ailleurs, dans un univers « moral » qui, lui, ne bougerait pas trop. Ils votent alors pour les républicains, architectes de la révolution libérale et de l’insécurité sociale qui en découle, mais conservateurs sur le terrain des « valeurs traditionnelles ». Et qui savent mettre l’accent sur des manières d’être (ou des affectations) humbles, pieuses, simples, patriotiques et anti-intellectuelles d’autant plus performantes que la gauche, elle, demeure associée à l’expertise, à la morgue, au cosmopolitisme et au mépris du peuple. En mettant en veilleuse les questions de classe, les démocrates ont donc enflé les voiles d’un poujadisme culturel dont ils sont aujourd’hui les victimes.

    Article écrit par Serge Halimi (Source)

    Site présentant plein de petits articles riches à propos du livre


  • JohnJohn JohnJohn 26 avril 2010 20:29

    Bonsoir Rouge le Renard,

    merci de nous offrir cet article. Je trouve qu’il en en résonance avec la Théorie du Bloom lue dans Tiqqun.
    Il s’agit de l’exemple d’une passagère d’un TGV qui parle à haute voix, au téléphone, avec son ex-mari à propos d’un problème, intime ; mais qui paradoxalement entretien une parfaite étrangeté avec l’homme du siège voisin. Et le texte de Tiqqun de conclure :

    « rien de cette situation ne pourrait aller de soi si nous n’étions pas désormais absolument intimes, dans cette étrangeté. »

    Je pense qu’il est indispensable de se poser la question du « pourquoi ? »
    Pourquoi l’Homme de 2010 a t-il un terrain si favorable à cette désertification proposée par le système actuel ? Pourquoi n’y résiste t-il pas ?

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