« Je suis bien OK avec vous, pourquoi les arabes inventeurs de la traite négrière sont absents de l’histoire de l’esclavage ?
»Pourquoi
la finance islamique est-elle devenue l’innovation universitaire la
plus révolutionnaire de ces dernières années alors qu’elle est
contestée par certains muslims et qu’elle n’a pas protégé les
financiers islamiques de pertes considérables pendant la dernière
crise ?
Et merci de jouer les talmudistes en rpondant par une question à ma question. Encore un coup du Mossad, Samuel ?"
Du simple point de vue de la logique il est absolument évident que les
sionistes selon Herzl ont pactisé avec Hitler genre : tu nous massacres
quelques millions de nos frères youpins pour qu’on puisse créer notre
état sioniste chez les arabes qui te défendront contre les rosbeefs et
les yankees. Je vois d’ici le deal, très cinématographique ))
Et
puis après, a ajouté le grand Mufti de Jerusalem soutenu par le Pape,
tes concitoyens paieront pendant des lustres des dédommagements aux
nations occupées par tes troupes et les quelques survivants (tu
t’arrangeras pour qu’il n’y en ait pas bezef) youpins.
Ben
Gourion et Hitler et le Murfti de Jerusalem dans les salons du Vatican
se sont sérré la poigne en disant dans toutes les langues « tope-là » et
c’est comme ça que le marché a été conclu.
"La syrie a eu sa
grande Syrie, les bédoins ont eu leur Jordanie, leur Qatar, Saoudie et
autres émirats. Les Egyptiens ont joué double jeu et ont été les grands
gagnants grâce aux pharaons et aux archélogues italiens et les juifs
ont eu leur Israël et les arabes leur Palestine à moitié car il fallait
garder une carte en main au cas où.«
»Des preuves pour mon scénario ? pléthore de bouquins écrits par des histories de la Vérité vraie."
J’oubliais un point fondaental du deal : le Pape a eu sa Terre sainte,
l’impossible partition de Jerusalem qui est la raison d’être du
catholicisme.
"L’ordre de Malte qui est le bras diplomatique du
Vatican ne cite jamais Israël sur son site officiel. Il ne reconnait
que la « Terre sainte » à coté de la Jordanie, l’Egypte, la Syrie, le
Liban....Comme le Hamas....."
Eh pigrigri, de 2 choses l’une soit t’arrêtes le crack soit tu m’offres un décodeur pigrigri, parce que là, j’avoue, ton charabia faut avoir un Bac +5 en bouillie pour chien pour comprendre ton délire..
« Quelle est l’économie du négtionisme ? Ca rapporte quoi et à qui ? »
La loi Gayssot ça rapporte à quoi et à qui ?
"Pourquoi autant d’argent et d’énergie consacrés à affirmer qu’il n’y a
pas eu de chambres à gaz, qu’il est exagéré de dire que les nazis ont
exterminé 6 millions de juifs ? Que les Etats français, polonais,
allemand, soviétiques et autres Est européens n’ont pas récupéré leurs
maisons, leurs biens, leur argent, leur compte en banque, leurs
vêtements, leurs bijoux, leurs cheveux pour faires des tapis, leurs
peau pour faire du cuir, leur graisse pour faire du savon ?"
Le révisionnisme historique n’est pas que centré sur un décompte des morts ou la question des chambres à gaz, sa répression sert également à cacher des pans entiers de l’histoire de la seconde guerre mondiale comme les atrocités commises par les alliés et les collusions certaines entre le nazisme et le sionisme (voir les posts plus haut). Liberté d’expression pour tt le monde ou pour personne. Pourquoi certains ont-ils le droit de réhabiliter les négriers et ont pignon sur rue dans les Universités françaises ?
En France, un écrivain, père de huit enfants, est incarcéré
pour ses recherches historiques
Et la presse dite « libre » n’en dit rien !
Né en 1969, marié et père de 8 enfants, le Français Vincent
Reynouard est ingénieur chimiste de formation, issu de l’ISMRA (Institut des
sciences de la matière et du rayonnement atomique) de Caen. Il se présente
volontiers comme catholique traditionaliste et ne cache pas ses opinions
politiques ultra-conservatrices. Mais, surtout, il conteste publiquement, sous
la forme de DVD et d’écrits, la version classique de l’histoire de la Seconde
Guerre mondiale. ll fait partie de ces chercheurs se proclamant «
révisionnistes » et qualifiés de « négationnistes » car ils ne croient pas à
l’existence des chambres à gaz homicides dans les camps de concentration
allemands.
En 2005, Reynouard écrit et envoie à des syndicats
d’initiative, des musées et des mairies un fascicule de 16 pages intitulé «
Holocauste ? Ce que l’on vous cache », dans lequel il prend le contre-pied de
l’histoire académique. La justice française s’abat aussitôt sur lui.
En première instance, il est condamné, en 2007, par le
tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) à 1 an de prison ferme, 10.000
euros d’amende et 3.000 euros de dommages et intérêts pour la LICRA. En appel,
en juin 2008, la Cour de Colmar confirme la peine de prison et le condamne à un
total de 60.000 euros (20.000 euros d’amende + publications forcées et frais
divers). Du jamais vu.
Comme Reynouard réside en Belgique, la France lance contre
lui un mandat d’arrêt européen pour l’obliger à purger la peine de 1 an de
prison ordonnée par la Cour d’appel de Colmar. Le 9 juillet dernier, il est
emprisonné par la police belge, en attendant son extradition en France. Ce qui
fait dire à l’intéressé : « Quand on ne songe qu’à la mise en prison pour se
débarrasser d’un contradicteur, c’est qu’on n’a pas d’arguments. »
Conclusion : un homme de 41 ans, père de 8 enfants, est
actuellement emprisonné pour ses recherches historiques, en raison de la loi
Gayssot.
Cette loi, promulguée au Journal officiel de la République
française le 14 juillet 1990, interdit, dans son article 24bis, le fait de «
contester (…) l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels
qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire
international [dit de Nuremberg] annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945. »
Dans mon livre Sarkozy, Israël et les juifs (Oser dire,
2009), j’ai rappelé que cette loi liberticide a été vivement critiquée, dans le
passé, par des personnalités comme l’académicienne française Simone Veil ; le
Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Hélène Carrère d’Encausse ; les
ministres Jean Foyer, Jacques Toubon, Alain Peyrefitte ; les historiens Henri
Amouroux, Pierre Vidal-Naquet, Annie Kriegel, François Furet, Alain Besançon,
Jacques Willequet et François Bédarida ; la fondatrice de l’Institut de
recherche Hannah Arendt, Chantal Delsol ; le prix Nobel d’économie 1988,
Maurice Allais ; les écrivains Michel Tournier, Louis Pauwels, Michel
Houellebecq, Philippe Muray, Jean Daniel, Vladimir Volkoff, Michel Rachline et
Alain Robbe-Grillet ; les magistrats Philippe Bilger, Alain Marsaud et Raoul
Béteille ; les juristes Olivier Duhamel, Anne-Marie Le Pourhiet, Emmanuelle
Duverger, André Decoq et Guy Carcassonne ; les avocats Jacques Vergès et John
Bastardi Daumont ; le philosophe Paul Ricoeur ; l’humoriste Bruno Gaccio ; des
défenseurs de la liberté d’expression comme le fondateur de Reporters sans
frontières Robert Ménard (qui la dénonce comme une « police de la pensée ») et
Gabriel Cohn-Bendit ; les journalistes Dominique Jamet, Delfeil de Ton, Alain
Rollat, Albert du Roy, Philippe Tesson, Jacques Julliard et Ivan Rioufol ; ou
encore l’ancienne présidente de la Ligue des droits de l’homme, l’historienne
Madeleine Rebérioux. À l’étranger, le linguiste américain Noam Chomsky s’en est
déclaré l’adversaire absolu. Pour le physicien et intellectuel belge Jean
Bricmont, « la loi Gayssot est une régression juridique de plusieurs siècles ».
Les présidents Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadnedjad ont, quant à eux, condamné
sévèrement cette répression.
Il nous incombe désormais de défendre la libre expression
dans les faits et non plus seulement en théorie. Pourquoi n’entend-on personne
dénoncer publiquement le sort réservé à Vincent Reynouard ? Que font Reporters
sans frontières, Amnesty International et Human Rights Watch ? Aucun média, ni français ni étranger,
n’a informé l’opinion de cette affaire. Un tel silence est anormal.
Personnellement, j’ai décidé de réagir en tant qu’historien
et citoyen, et de faire savoir, par ce communiqué, combien je suis révolté par
le fait que, chez nous, on jette en prison un homme pour ses opinions, aussi
insolites, stupéfiantes et controversées soient-elles. Un tel traitement n’est
pas digne de la France ni de sa tradition intellectuelle. La loi n’a pas à
intervenir dans la définition de la vérité historique : dans un État libre,
cette fonction est celle des historiens. La loi Gayssot, qui restreint la
liberté de l’historien, est indigne d’un État démocratique ; c’est une loi
scélérate. Je demande en conséquence son abrogation immédiate.
J’espère être bientôt rejoint par des dizaines, des
centaines, des milliers d’autres personnes ne pouvant rester indifférentes face
à ce scandale qui nuit gravement à l’image de la France et bafoue l’esprit de
la République.
Celles et ceux qui veulent cosigner avec moi ce communiqué
peuvent m’envoyer leur nom et leurs coordonnées à cette adresse :
[email protected]. Il ne s’agit pas de soutenir les idées
religieuses, politiques ou historiques de Vincent Reynouard, mais de défendre
son droit à les exprimer. Pour les contester, il suffit d’un débat
démocratique, ouvert, franc et loyal.
Nous ferons le point sur ces signatures à la fin du mois de
septembre prochain. En attendant, merci de diffuser ce texte au maximum.
Paul-Éric Blanrue,
Historien,
Fondateur du Cercle zététique,
Auteur de Sarkozy, Israël et les juifs (Oser dire, 2009)
Intéressant, il serait bien nécessaire d’y voir un peu plus clair dans ces histoires de franc-maçonnerie pour ne pas tomber dans une psychose complètement délurée comme beaucoup de gens anti-NOM qui vont vite dans certaines conclusions. Avez vous d’autres informations à ce sujet ou liens afin d’en savoir un peu plus. N’y a t il pas une autre loge qui a beaucoup d’importance dans les secteurs d’influence français ? comme la Grande Loge d’Orient ?
Merci pour votre patience mais moi aussi il m’en faut un paquet.
J’ai la flemme de lire le lien du phdn là tout de suite, j’en ai déjà lus plein par le passé et tout ce que je peux dire c’est qu’ils ne m’avaient pas du tout convaincus. Plein de jugements de valeurs et d’anathèmes sur les révisionnistes, plein d’approximations, bref, comme les écrits de Vidal Naquet, ils sont facilement démontables. Mais j’ai pas envie de me planter des heures à analyser des documents scientifiques pour savoir combien de gens 60 ans auparavant sont morts sous gaz, combien avec une balle dans le crâne et combien tués par le typhus, je galère pour terminer mes études, je travaille, je suis pauvre et j’ai plein d’autres problèmes pour rester là à me pencher des heures et des heures là dessus alors que je ne suis et ne serais jamais un ingénieur spécialisé dans le fonctionnement des chambres à gaz (ouf ! c’est pas plus mal) alors OUI JE DEMANDE LE DROIT A LA PARESSE et OUI JE DEMANDE UN DEBAT FILMé CONTRADICTOIRE, SEREIN, LOYAL entre les 2 parties. Car tu dis qu’ils ont convaincu aucun historien, mais j’avais déjà vu une pétition contre la loi Gayssot signée par pleins historiens qui soutenaient les révisionnistes. Et si beaucoup ne l’affirment pas au grand jour c’est aussi normal, si pour dire cette vérité à
laquelle on croit mais dont on n’est pas sûr, on doit payer le prix d’être mis
au ban de la société, on ferme sa gueule et puis c’est tout ! Mais combien doutent ? Quelqu’un a fait un sondage ? l’IFOP, le CSA, non ? Et puis les historiens contradicteurs des révisionnistes ils sont combien 3, 4, 5, ils sont pas des masses : Vidal Naquet, Nadine Fresco et qui d’autres ? ils sont bien moins nombreux que les révisionnistes. Alors ?
Une autre chose qui me trouble et qui m’incite à penser ce que je pense c’est qu’outre le débat scientifique j’ai l’impression que le clivage anti révisioniste-pro révisionniste est au fond le même qui se joue dans d’autres débats anti VO du 11 septembre-pro VO , pro VO du Sida-anti VO du Sida. Je m’explique : d’un côté des Confiants, tout va bien dans le meilleur des mondes, les médias ne nous mentent pas, les Etats Unis sous Bush pas très bien mais quel beau pays quelle démocratie ! Défenseurs d’Israël, bouh les méchants arabes, etc... et de l’autre les Désenchantés miroir inversé du Confiant ils ne croient plus du tout en ce qu’on leur raconte, alors avançant à tâtons, on essaie de se faire un avis sur tout, et effectivement plus on avance dans notre quête et plus on découvre qu’on s’est bien foutu de notre gueule quand même, qu’on nous ment sur plein de sujet, que les médias obéissent bien souvent à des castes financières bien précises et qu’au fond ils ont vraiment aucun intérêt à nous dire la Vérité, alors pourquoi le ferait-il ?? Comme dit Roberto Quaglia, le risque c’est que le Désenchanté tombe dans le piège inverse : après avoir cru tout ce qu’on lui disait au bon vieux temps où il était encore Confiant, il va sans cesse croire le contraire de ce qu’on lui dit dans les médias, ou plutôt il va croire tous ceux qui contredisent les médias, ce qui fera d’eux des nouveaux Confiants aussi cons que les premiers, au final, et plus pathétiques car paranos et croyants les thèses les plus farfelues. Finalement, Confiants/Désenchantés c’est le nouveau clivage droite/gauche, puisque ce dernier n’existe plus même si les télévisions essaient encore de nous envoyer par hologrammes dans le ciel l’impression qu’il existe encore
Donc OUi le droit au doute existe et est un droit inaliénable, tout comme le droit à la liberté d’expression !!
Bon vent ! Pour l’instant, j’en ai ma claque des débats stériles !