Et pourquoi donc ? Vous voyez un autre endroit et un autre moment ? Le train est lancé un peu trop vite, nous n’avons plus les moyens d’avoir des pudeurs.
Parmi vous qui lisez cet article, et qui « plussez », combien êtes-vous à ne pas avoir fait d’enfants ???
Surpopulation. Premier problème.
J’ai cru lire quelques propos assez « religieux » dans les commentaires, sur ce sujet les religions sont des plaies, qui recommandent à l’homme de croître, et de se croire supérieur à l’animal, et de plus supérieur à la nature. Seul le bouddhisme effectivement n’a pas ce parti pris. Le dalaï Lama est pour le controle des naissances, car a-t-il dit « la vie future menace la vie actuelle ». Et le bouddhsime ne croit pas que l’homme soit supérieur et doive mettre la nature à son service.
A douze jours d’un rendez-vous pour le moins crucial pour la France, un
constat quelque peu glacial s’impose : 32% des français seraient prêts à
s’abstenir, tandis que 30% d’autres n’ont pas encore fait leur choix parmi les
10 candidats…
Le renouvellement de nos plus hauts représentants – Président de la
République et membres de l’Assemblé Nationale, excusez du peu ! – désintéresse,
ennuie, agace, on ne sait pas exactement, mais le fait est que beaucoup de
français ne seront pas au rendez-vous dimanche 23 avril.
C’est pourquoi nous nous sommes demandés au Matins si les français
n’étaient pas – pour le dire pudiquement – en froid avec leurs élites…
Ah, l’élite, voilà justement un terme que l’on n’apprécie peu en France, et ce
n’est certainement pas un hasard si on le voit ressurgir dans les discours en
période électorale… Toutefois, si l’élite a des liens de parenté avec
l’élection, il n’en reste pas moins un concept confortablement flou et
fort pratique pour insulter ses concurrents, ce que n’ont pas manqué de faire
les candidats ces derniers jours…
Nous remonterons ce matin aux sources des tensions entre l’élite et
l’idéal démocratique en compagnie de la politologue Olivia Leboyer, qui publie
Elite et libéralisme (Cnrs éditions) et du philosophe Serge Audier qui
publie Néo-libéralisme(s) - Une archéologie intellectuelle (Grasset, 3
mars 2012). "
C’est marrant que chez les économistes, on ne nous propose jamais de diviser par deux les salaires et rémunérations des gens qui vivent sur le dos du système, et qui sont finalement une belle pompe à impôts. Quand touchera t’on aux rémunérations et régimes spéciaux des députés, sénateurs, hauts fonctionnaires cumulards, gratte papiers Bruxellois etc... il y aurait pourtant de belles économies à faire....
Au lieu de cela on dresse les pauvres contre les moins pauvres et vice versa... et ça marche !
J’attend le jour ou Mélenchon proposera un truc en ce sens... je crois que je peux attendre longtemps.