Peut etre suis-je péremptoire. Admettons. Et peut être que j’y suis aller un peu fort en condamnant l’ensemble de votre article pour seulement une phrase.
Cependant expliquez-moi en quoi votre commentaire sur Ellroy et ses obscènes vulgarités apportent quoi que ce soit à votre thèse...
Je suppose que vous avez écrit ceci pour donner une consistance a votre intro, et ca, pour moi, c’est dommageables, parce que Ellroy mérite d’être lu, y compris par les européens, et y compris par les gens qui aiment Connelly.
L’article est pas mal, le fond est juste : ce bouquin est tres bon, bien écrit, bien documenté, et agréable à lire.
Malheureusement, cette phrase : « voici un véritable auteur, bien loin des vulgarités obscènes d’un Ellroy » rend l’ensemble ridicule, puisque Connelly lui-même a rendu hommage au grand James Ellroy à travers un livre dont l’intrigue entier reprend l’histoire dramatique de la mère d’Ellroy... (Le dernier coyote, 2000).