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Kern

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  • Kern 1er mars 2012 19:57

    Cher Papy,
    on voit que vous n’êtes pas un scientifique.

    Pourquoi ? Je vais citer une phrase trouvée dans une de vos sources :
    "Ainsi, les résultats démontrent que [...] 43% des adolescents qui ont déjà tenté de se suicider regardent au moins 10 films pornographiques par mois.« 
    Sachez Monsieur que ce genre d’affirmation n’a aucune valeur scientifique. En effet, il n’est pas précisé :
    - comment ces statistiques ont été établies, par qui, où ?
    - le pourcentage des ados qui ont regardé au moins 10 films pornos par mois, et qui NE SONT PAS SUICIDES. Je gage que ce taux est très proche de 43%... Ce qui du coup, amène a relativiser cette valeur.

    De même vous avez interprété les résultats : votre chercheuse à l’INSERM n’a fait que déclarer que »regarder des films pornographiques multiplie considérablement les risques de conduites autodestructrices : cigarette, alcool et suicide« ....
    Derrière ce »considérablement« vous avez compris »fois 3" mais ça n’est pas ce qu’elle dit.



  • Kern 29 décembre 2011 18:46

    En vrac, voici tout ce qui m’a fait bondir en lisant votre article :
    1) A propos de l’auteur : « Premier prix de concours général d’économie, » -> ok, encore un mec qui ne connaît rien en éducation et qui va venir dire aux profs comment faire leur métier.
    2) " Comme il devient possible d’apprendre à son rythme, de partout et à tout moment, l’éducation numérique détruit l’école de Jules Ferry« -> confirmation du 1) : le mec ne connaît pas l’école. Monsieur, ça fait bien longtemps que les profs adaptent leurs cours en fonction du niveau de l’élève. Ca n’est pas toujours réussi, certes, tout comme l’internet pédagogique n’est pas toujours réussi.
    3) »Les médias numériques sont un relai de croissance pour l’économie développée« -> phrase qui ne veut rien dire.
    4) »Mais l’insertion des médias numériques dans l’offre éducative est lente« -> et à nouveau, confirmation du 1). Monsieur, je vous invite à consulter http://emea.smarttech.com/fr/smart-solutions-travail-collaboratif&nbsp ;&nbsp ; ou encore  : http://www.speechi.net/fr/index.php/home/tbi/tableau-interactif-ebeam-edge/?gclid=CK_ErL3lp60CFSFItAodW1EX1A   : voici ce que nous utilisons quotidiennement dans nos classes...
    Monsieur, le numérique est un OUTIL. Avant de pouvoir l’utiliser en classe, il faut : a) maîtriser l’outil ; b) concevoir les situations dans lesquelles l’outil apporte quelque chose de plus qu’un simple cours ; d) acheter l’outil ; e) modifier les cours.
    Donc, oui, ça prend du temps.
    5) » Le Royaume-Uni est en tête des pays européens avec plus de 60 % des enseignants formés au tout numérique« -> phrase vague, sans source... Il est facile de s’auto-déclarer meilleur dans ce genre de domaine.
    6) »La scolarité d’un élève qui suit des cours en ligne de Florida Virtual Learning Center (FVLC) coute 6100 dollars par an au lieu de 8500 dollars en moyenne« -> aaaah ! Et c’est bien ? C’est là le but ultime, n’est-ce pas ? Faire des économies ! Et les gamins, est-ce qu’ils réussissent mieux ?? Votre article manque cruellement de détails à ce propos...
    7) »des procès gagnés par les syndicats d’enseignants ont empêché le développement de l’éducation numérique« -> retour au 6)
    7)  »coexister le cheval et l’automobile« -> c’est comme dans l’économie : il y a des ânes et des chevaux de courses.... en fait non, il n’y a que des ânes.
    8) »L’unité de mesure est le nombre d’heures/élèves« -> je vais oser un peu de cynisme : il n’y a qu’un économiste pour vouloir mesurer la hauteur et la solidité d’un bâtiment en mesurant le rapport »salaire d’un ouvrier/prix du m²« 
    9) »les tableaux interactifs sont installés sans coordination avec les professeurs« -> faux.
    10) »ni avec les programmes« -> le TBI est un OUTIL. On ne change pas le but à atteindre dès qu’on change d’outil, Monsieur...
    11) » ni avec la pédagogie« -> faux.
    12) »sous utilisation du matériel numérique par les enseignants« -> retour au 10) et au 4) : un outil, fusse -t’il le plus polyvalent du monde, ne s’utilise pas tout le temps.
    13) » En apprenant ensemble, les enfants mémorisent ce qu’ils ont discuté entre eux« -> non seulement cette phrase ne veut rien dire, mais en plus, l’idée qu’elle véhicule est fausse. Il ne suffit hélas pas de discuter d’un sujet pour le retenir. Mais cela vous ne pouvez pas le savoir : vous ne connaissez rien à l’école.
    14) » L’Education Nationale doit au plus vite accélérer sa prise de conscience, pour ne pas entretenir plus longtemps une forteresse d’un autre âge." -> sachez, Monsieur, que la plupart des profs souhaitent que des modifications aient lieu dans l’EN. Hélas, mille fois hélas, les modifications sont TOUJOURS menées par des politiques et des économistes... alors qu’elles devraient être menées par des pédagogues. Conséquence : les réformes sont nulles, inadaptées, et les profs râlent...



  • Kern 27 octobre 2011 12:43

    « La fantasmagorie des archéologues n’a pas de limite, mais elle ne résiste ni aux textes, ni à la logique militaire. »

    Et je dirai même mieux :
    la fantasmagorie des historiens n’a pas de limite, mais elle ne résiste ni à la logique archéologique, ni aux preuves matérielles !

    Vos raisonnements sont trop influencés par vos opinions M. Mourey...
    Vous faites fi des milliers d’objets qui corroborent une thèse et ne vous concentrez que sur les quelques uns qui étayent maigrement les vôtres, appuyées par quelques textes vieux de 2000 ans...écrits par des politiciens dont on sait que leur principal intérêt, aujourd’hui comme hier, n’est pas de faire de la description objective.



  • Kern 24 octobre 2011 15:39

    M. Mourey, vous avez à l’évidence une très bonne connaissance de la littérature ancienne.
    C’est bien.
    Mais, hélas, je ne pense pas qu’on puisse se baser entièrement (comme vous le faites) sur la littérature pour faire une analyse. Voici mes arguments :
    1) la littérature est orientée (le meilleur exemple est La Guerre des Gaules) , imprécise (l’auteur ne parle que de ce qui l’intéresse ), relève parfois du conte philosophique ou de l’allégorie (no comment puisque vous citez l’Atlantide de Platon)
    2) la littérature (surtout à cette époque) est loin, très loin d’être descriptive. La comparaison est sous-jacente.

    Sur vos méthodes de déductions :
    Vous basez tout votre article sur une interprétation, elle même orientée par votre vision des choses, étayée par des livres que vous avez écrits... Autant dire que scientifiquement cela ne pèse pas lourd.
    Bien sûr, iI se pourrait que ce que vous dites soit tout à fait juste, mais ce n’est pas ainsi qu’on démontre en sciences.

    En archéologie -puisqu’il s’agit bien d’archéologie au fond- on ne peut pas se baser sur un objet pour élaborer des théories. Je dis bien élaborer. On peut bien sûr se laisser aller à rêver, mais tout archéologue digne de ce nom s’arrêtera là.
    En archéologie, c’est la statistique qui fait loi. Un objet, trouvé à un endroit, n’est jamais représentatif. 100 objets, trouvé dans une zone géographique assez vaste (pour écarter le doute d’une perturbation très localisée) mais pas non plus trop vaste (sinon, peut-on parler de zone géographique ?) et alors, et seulement alors, l’archéologue peut commencer à élaborer une bribe de théorie.
    Si, en plus plus, d’autres découvertes archéologiques factuelles (je ne parle pas des interprétations faites par les autres archéologues mais uniquement de ce qui est trouvé dans le sol) viennent corroborer les bribes de théories, alors seulement nous pouvons dire que nous avons affaire à une théorie.

    Mais que vient faire l’histoire, les textes et la littérature là dedans ? Ils ont deux rôles.
    1) Au début : ils peuvent orienter l’archéologue sur « où fouiller » (mais pas sur les résultats)
    2) A la fin : pour confirmer la théorie.

    Puisque vous avez l’air d’aimer le lecture, je vous conseille celle d’un rapport de fouilles archéologiques.
    Vous verrez, le style est radicalement différent. Les mots « hypothèse, je pense que, interprétation, à mon avis » sont bannis.
    Ou alors ils font une timide apparition dans la conclusion.


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