koontzeyes

A Diva je ne regardais pas les choses sous cet angle. C’est vrai que c’est frappant, cette spiritualité du non enracinement.

A schweizer

« Il n’y a rien à »réfléchir sur la notion d’identité". Soit, on en possède une, forte, ancrée, en vertu de quoi on la privilégie et on la défend, au besoin par les armes.« 

Personne ne t’oblige de le faire. Mais ne crois pas que d’autres ne le feront pas sur toi. Puisqu’on est d’accord qu’en dernier lieu les oppositions se font dans le monde réel (pas dans celui des esprits).

Franchement je ne suis pas sûr que les identités (une, forte, ancrée, etc.) soient si bien équipée que ça, face à des armes scientifiques d’envergure comme, par exemple, toutes celles qui peuvent sortir des résultats du programme dit »décennie du cerveau", inauguré en 90 au USA et dont le but était la compréhension scientifique de l’expérience de conscience.

a Luc-Laurent Salvador
bonjour,

tout en étant écrit dans une langue claire, le livre est assez dense et mérite certainement des allers et retours si ce n’est plusieurs lectures (mais je pense généralement ça des livres que je trouve stimulant). La matière étant assez polémique ce n’est pas forcément évident d’en donner un argumentaire exhaustif, trop rapidement et sous une forme succincte

Un aspect que je trouve très intéressant de ce livre est qu’il donne des outils pour réfléchir sur la notion d’identité et pas seulement sur celle d’identité juive. C’est à mon avis un indice en faveur de l’idée que la base conceptuelle du livre est solide.

Atzmon propose de réfléchir à partir d’une distinction entre 3 sortes d’identités juives. En gros, une identité consistante (être juif au sens traditionnel, avoir la foi et pratiquer la religion juive), une identité par contingence historique (être juif par des liens familiaux) et une identité qui n’existe que par opposition (donner de la consistance à sa judéité en se différenciant de ceux qui ne sont pas juifs). C’est de cette dernière que le livre parle

La préface de Bricmont qui doit être dispo sur internet clarifie mieux que mon commentaire ces aspects.

La psychanalyse est une pseudoscience

Il ne faut pas désespérer matsada, il faut se faire aider 

http://www.netvibes.com/lesmuriens#KOllectif_7_janvier

Le problème avec Fourest c’est surtout qu’elle n’est pas crédible aux regards de standards universitaires, elle n’est pas crédible aux regards de standards journalistiques et enfin elle n’est pas crédible au regard des principes moraux de bases (ne pas mentir, ne pas accusez sans preuve, ne pas calomnier etc.). Sa seule crédibilité confirmée est son professionnalisme en matière de langue de bois et de désinformation. Certes c’est une compétence... Mais il faut bien reconnaitre que c’est le genre de compétence qui est généralement faible. Vous lui retirez le micro, les caméras et les plateaux tv neutralisé il ne reste pas grand chose.

Tout ceci est abondamment documenté, c’est de notoriété public et vérifiable par toute personne un peu curieuse.

Maintenant libre à elle de critiquer ou de ne pas aimer ce qu’elle veut, le problème est de savoir si on veut des gens un minimum honnête ou pas. Le coté star tartuffe (à la BHL) qu’on adore détester c’est amusant un temps puis ça lasse.