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koudou

Ingénieur en Génie Chimique, Docteur en Informatique, voyageur impénitent, photographe et vidéaste.

Parfois pris de frénésie rédactrice, avec un regard par le petit bout de la lorgnette.

Tableau de bord

  • Premier article le 10/01/2007
  • Modérateur depuis le 19/01/2007
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Derniers commentaires



  • koudou 24 août 2008 11:30

    Il se trouve que les vainqueurs sont systématiquement contrôlées. En fait les 5 premiers sont toujorus contrôlés, et avant la finale, systématiquement tous ceux qui arrivent à un titre mondial, et éventuellement plusieurs fois, plus d’autres tirés au hasard



  • koudou 22 août 2008 09:46

    @olivier blond

    Je ne suis pas subjectif du tout : les données sont effectivement bidonnées.

    La méthode qui consite à choisir des points qui tracent une courbe dans un nuage qui ne dégage aucune tendance peut être qualifiée de beaucoup de choses, mais toutes sont équivalentes.

    Avant de dire si je suis subjectif ou non, allez vérifier la méthode et vous verrez si je suis subjectif !



  • koudou 22 août 2008 01:25

    @Olivier Blond

    "D’une façon générale, vous semblez affirmer que le rapport du GIEC donne à 100% sûr que le réchauffement climatique est dû à l’homme.
    C’est un postulat faux, aucun scientifique sur Terre ne donne pour certain que ces résultats sont la vérité absolue."

    Navré de vous contredire aussi fortement, mais vous avez tout faux.

    Dans la version 1 (de 1997) le rapport du GIEC l’affirmait très clairement. On ne peut plus l’obtenir, mais c’était écrit et démontré par les courbes (fausses) de Mann et de Callendar.

    Vous avez raison depuis 2007, car la version 3 est beaucoup plus prudente, comme les scientifiques avaient demandé de l’être en 1997, ce que les politiques n’avaient pas fait. Et comme le rapport passe d’abord par le consensus des scientifiques et ensuite par le consensus des politiques ...

    Pour ce qui concerne le reste de votre commentaire, ce sont des éléments intéressants, mais non probants et au même niveau que beaucoup d’autres (non probants également) et qui peuvent ouvrir à une discussion beaucoup plus large que l’objet de l’article qui était simplement de dire que ce qu’on nous a asséné pendant 10 ans (et a influencé de façon importante certaines stratégies industrielles) était faux, ce que le GIEC qui en a été l’auteur a reconnu par la pratique (en ne le prétendant plus).

    L’article ne va pas plus loin : en particulier il ne dit pas si l’activité humaine a ou non une influence sur le réchauffement climatique. Ma conviction est que oui, mais l’article qui reste basé sur les faits ne transmet pas cette conviction personnelle, parce qu’il n’a pas à le faire si ce n’est pas un article d’opinion.



  • koudou 22 août 2008 01:08

    @Gilbert

    Au moins, votre commentaire a un sens et une construction. Je ne suis pas d’accord avec vous, mais au moins, je suis d’accord avec la présentation des arguments.
    Il y a effectivement un biais important sur le fait que les mesures soient faites en milieu urbain. Cela dit, le milieu urbain de l’époque était totalement différent. mais je vous accorde sans resctriction que le lieu est mal choisi car il apporte une certaine incertitude.

    D’un autre côté, vous affirmez que les mesures par carottage sont indiscutables, ce qui faux, car il y a un grand nombre de biais et surtout, une sélection totalement aberrante des points de mesure qui la classe dans le domaine du trucage pur et simple.

    Les mesures par carottage posent deux problèmes importants : la migration et le fractionnement.
    La migration, c’est le fait que les micro bulles migrent progessivement vers le haut selon une cinétique variable et selon une répartition non linéaire. Ce qui veut dire qu’à part pour les périodes courtes (une dizaine d’année), les bulles dans une carotte de glace d’un certain âge sont un mélange plus ou moins non homogène de bulles d’âge différents. En pratique, pour tenir compte de cela, selon la profondeur, on donne à l’âge des bulles une ancienneté correspondant à une profondeur supplémentaire de 60 à 200cm.
    Le fractionnement, c’est le fait qu’il se produit des phénomènes physico-chimiques (certes avec une cinétique lente, mais on parle de carottages de glaces de centaines d’années) qui font que la composition des gaz de la bulle n’a plus rien à voir avec la composition d’origine. Si on se sert de ça pour mesurer le taux de CO2, on a de graves soucis d’exactitude.

    Il y a un autre problème dans les chiffres avancés par le GIEC et qui sont en fait des résultats repris des travaux de Callendar et que je qualifie de truqués. En fait, Callendar avait avancé la théorie de l’influence de l’activité industrielle sur le CO2 atmosphérique (une idée qui me séduit personnellement tellement il tombe sous le sens) et il a donc pris les mesures de toutes les quantités de CO2 les a rassemblées sur un graphe et en a sélectionné quelques unes pour démontrer qu’il avait raison en laissant tomber les mesures qui ne l’arrangeaient pas. Quand il a présenté son papier à la Royal Meteorological Society en 1938, il s’est fait jeté.
    Le Dr Zbigniew Jaworowki, spécialiste de la mesure de CO2, en particulier par carottage glaciaire a examiné les données de Callendar. Vous pouvez récupérer ce papier sous forme pdf à
    http://www.pensee-unique.fr/001_IceCoreSprg97.pdf
    C’est vraiment du pur trucage de données.

    Conclusion : je suis d’accord avec vous sur le biais apporté par le fait des mesures en milieu urbain, même si l’activité n’était que très peu industrielle. Mais il est certain qu’une concentration humaine est susceptible d’augmenter le taux de CO2 mesuré. Cependant , il est à noter que s’il y avait un biais si important, il aurait du indiquer au minimum une montée continue du taux de CO2 et non pas une descente, sachant qu’il n’y a pas eu spécialement d’accident de désertification de la ville. Or, les courbes indiquent bien une baisse après un pic de quelques années.
    D’un autre côté, la méthode par carottage présente des biais du fait du mélange des bulles qui aurait pour effet de lisser toutes les courbes. Alors que des carottages plus profond montrent une augmentation du CO2, ce qui met à mal la théorie sans apporter une plus grande validité au mode de mesure.
    Quand à la preuve utilisée par le GIEC (la courbe de Callendar), elle vient de données truquées de mesures dont on vient de voir le faible intervalle de confiance.

    En terme de résultat, au bout du compte, toutes ces considération ne disent pas que les mesures rapportées par Beck sont parfaites. Mais elles ne sont certainement pas moins bonnes que la courbe de Callendar. Pour ce qui est de la démonstration de l’article, à savoir que les preuves d’une augmentation du CO2 suivant la courbe du rejet de CO2 par les activités industrielles n’existent pas, l’examen de la manipulation frauduleuse de Callendar est suffisante en soi.

    Merci de votre participation intelligente qui apporte des élements éclairants intéressants.







  • koudou 21 août 2008 02:29

    @ronchonaire

    Votre commentaire, simple à priori, m’a fait penser à poupée russe. Chaque fos que j’allais partir sur une réponse, je trouvais une autre idée à l’intérieur de l’idée précédente ...

    Je vais essayer de retouver mes petits.

    L’activité humaine a effectivement d’autres effets que le réchauffement climatique (pour être plus exact dans la formumaltion i vaudrait mieux dire "influence d’autres effets").
    Votre remarque nous rapproche très fort de la notion de développement durable, et donc non seulement des questions d’environnement et de ressources, mais aussi de l’économie, du social, des hommes et des civilisations. Le gros problème du millénaire à venir sera d’arriver à nourrir et abreuver tout le monde. Et il va falloir trouver des mesures intelligentes avec des taux de transformation de l’énergie solaire autrement meilleurs que ceux qu’ils sont avec les céréales, ou pire, avec la viande.

    Dans votre remarque sur le fait qu’il nous faut minimiser notre impact sur la planéte est tout à fait juste, mais il pose plus de questions qu’il n’en apporte. Par exemple, pour diminuer le besoin en nourriture (avec un bilan global qui devient problématique), il y a deux types d’actions : augmenter la quantité de nourriture ou diminuer le nombre de gens qui mange. Si on prend le terme de diminuer le nombre de gens qui mangent, faut-il limiter à tous les foyers (comme ils ont tenté de le faire en Chine) à 1 seul enfant ? Et si cela ne suffit pas, comment va-t-on tirer au sort ceux qui auront le droit d’en avoir un ? Sans compter que dans certaines civilisations, n’avoir qu’un seul enfant est un véritable renonciation à a vie et contraire aux traditions et à la religion. Sans compter l’inégalité entre garçons et filles dans certains pays comme l’Inde où le problème risque d’arriver plus vite qu’on ne le pense.
    Si on prend le terme d’augmenter les rendements de production alimentaire, comment faire sans passer par des OGM ou des pesticides et autres traitement chimiques ? Comment régulier l’usure des terrains avec des cultures de plantes énergétiques mais gournamndes e ressources du sol ou en eau ? Comment interdire à des pays comme le Brésil de détruire les forêts pour les transformer en champs ?
    Avez-vous remarqué le nombre de points d’interrogation dans ce aragraphe ? et chaque fois qu’on touche à quelque chose dans un coin, cela a des répercussions dans tous les autres secteurs.

    Revenons à la diminution de l’activité humaine pour diminuer l’influence sur le réchauffement climatique. Et en premier, les USA. J’ai choisi les USA parce qu’ils ont les capacités pour produire un peu plus de nourriture s’il le fallait. Mais la problématique, c’est que pour nourrir un américain, il faut 1500 litres de pétrole par an. Pas pour le transporter, ni le chauffer, ni lui permettre de regarder sa télé : uniquement pour le nourrir
    http://www.organicconsumers.org/corp/fossil-fuels.cfm et demander aux USA de fournir cette nourriture en plus a un coût en réchauffement climatique supérieur à tout ce qu’on eut imaginer dans un pays en voie de développement, ceux qui auraient besoin d’une aide pour la nourriture ...

    Avec ces exemples par le petit bout de la lorgnette, on peut facilement se rendre compte que la probélatique est très complexe, et que si on démarre en ayant les mauvaises informations (en particulier sur les influences de l’activité humaine sur le réchauffement), cela peut nous amener à des décisions qui seront dramtiquement fausses.

    Mais vous avez raison, le réchauffement climatique n’est pas seul en cause, car aucun problème ne peut être traité indépendamment des autres. Mais cela ne rend pas les choses plus faciles.


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