• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

l ecolo

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 139 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • l ecolo 22 janvier 2010 10:15

     

    à loco  qui a dit : « Curieuse conception de la vie en société........ Celui qui aurait "fait le mauvais choix", pas de courant, délestage, qu’il se démerde... »

    Pourquoi toujours penser « TOUT ou RIEN » ? La vie ne fonctionne pas comme cela mais avec des nuances infinies. C’est ce qui la rend si belle et si intéressante.

    On peut imaginer, plutôt que fantasmer sur des catastrophes improbables, que l’Edf serve, et facture au juste prix, donc très cher, à ceux qui en auront fait la demande, une électricité verte et très chère, et que, lorsque sa source en est tarie, ce qui arrive plusieurs fois par semaine, voire par jour, l’Edf envoie, et facture à son prix réel l’électricité normale.

    Cette solution serait accessible aux verdâtres mous, à ceux qui, tout en proclamant que le nucléaire n’a que des inconvénients, tiennent au confort et au bien être de la civilisation industrielle et aussi à la sûreté de diagnostic et aux soins inégalables que procure la médecine nucléaire.

    Votre idée extrémiste du « Tout verdâtre sinon rien » serait réservée, à leur demande expresse, aux talibans de la pensée anti nucléaire, à ceux aussi qui auraient le courage d’essayer d’aller au bout de leur utopie.

    Pour respecter le juste prix et la liberté des citoyens, le travail supplémentaire occasionné par ces facturations particulières serait facturé en sus, évidemment.

    Ainsi, chacun pourrait librement et en toute connaissance de cause choisir le produit de ses rêves (photovoltaïque, éolien terrestre, éolien maritime, hydraulien, etc.) ou son mix d’énergies préféré, en payant le prix qu’il vaut.

    Le tarif le moins cher serait celui de l’électricité ne faisant pas l’objet d’un choix particulier.

    Le juste prix : je ne demande rien d’autre.

     



  • l ecolo 21 janvier 2010 20:48

     

    à  Pierre de Vienne  qui s’extasie en imaginant : « quelques jolis cancers fleurir dans notre beau pays. »

    Votre façon de plaisanter sur les cancers, même hypothétiques, est simplement odieuse

    Depuis que la fission nucléaire est sert à fabriquer de l’électricité et que divers radionucléides sont utilisés dans diverses industries et en médecine, l’espérance de vie à la naissance n’a pas cessé d’augmenter.

    En 2009, l’espérance de vie des Français a encore augmenté de deux mois.

    Vous pouvez donc ironiser et dénigrer tout à loisir, le fait est là – et, comme le disait Lénine, les faits sont têtus –  : le fait de pouvoir bénéficier du confort d’une société industrielle à base d’énergie nucléaire permet aux Français de vivre mieux et plus longtemps.



  • l ecolo 21 janvier 2010 17:17

     

    à  réveil qui a dit : « On veut nous faire croire que le nucléaire revient moins cher que l’éolien mais qu’en sera t-il je jour où mathématiquement une de nos centrales pètera […] ? »

    Le monde entier est tenu au courant de chaque incident, même le plus minime, qui se produit dans l’une quelconque des centrales nucléaires françaises, dans l’heure même où il se manifeste.

    Chaque fois qu’un incident se produit dans une centrale nucléaire les médias déversent des flots ininterrompus d’articles alarmistes, annonçant catastrophes épouvantables et dégâts irrémédiables.

    Vous venez grossir la meute des prêcheurs d’apocalypse, des vendeurs de peur irraisonnée, et je ne puis m’empêcher de penser que vous trouvez quelque délectation morbide à pousser vos clameurs défaitistes et à tenter de plonger les gens dans la terreur.

    Pourtant, malgré le nombre de ces incidents, rien de grave ne s’est produit en France.

    En quelques jours, voire quelques heures, tout est rentré dans l’ordre.

    Un nombre vertigineux d’associations (anti nucléaire mais qui se proclament « indépendantes »), en toute liberté (notez-le bien),  scrutent sans relâche la moindre faille, traquent le moindre becquerel superfétatoire, nuit et jour et cela depuis des années et des années.

    Et rien.

    Rien d’irréversible.

    Aucun dommage irréparable.

    Rien, même, d’un petit peu grave.

    Alors, dans l’incapacité de prouver quoi que ce soit, il ne vous reste plus qu’à jouer les prophètes, les prophètes de malheur, d’un malheur tout hypothétique et parfaitement invraisemblable.

    Parce que, voyez-vous, « mathématiquement », comme vous dites, une centrale ne peut pas « péter », ou, du moins, pas comme vous voudriez le faire croire.

    Un accident grave se produira probablement, un jour ou l’autre, mais, parce que les accidents les plus graves qui peuvent arriver dans une centrale nucléaire se sont déjà produits, leur survenue est envisagée et les conséquences en seront limitées et resteront au niveau de ce qui est acceptable.

    Pour en revenir au sujet qu’à lancé André Pellen, vous avez parfaitement le droit de préférer payer une électricité photovoltaïque à 0,60 euros pour vous mettre en règle avec votre idéologie.

    Et je devrais avoir le droit de ne pas être fourni en électricité à plus de 0,04 euros puisque j’estime que cela suffit aussi bien à mes besoins immédiat qu’au confort des générations futures.

    Seulement, je ne peux pas refuser cette électricité hors de prix et inutile.

    Et cette situation est profondément injuste.

     



  • l ecolo 21 janvier 2010 09:37

    à Croa qui m’a dit : « Tu n’as rien comprit ! »

    Je ne comprends pas toujours tout, j’en conviens, mais prétendre que je ne comprends rien est une insulte sans autre motif que d’agresser un interlocuteur qui émet un avis différent du vôtre.

    Dans une discussion, cela s’appelle un argument ad hominem, et, comme chacun le sait, les arguments ad hominem ne sont utilisés que lorsque un interlocuteur n’a plus le plus minuscule argument valable ou simplement logique pour défendre son point de vue.

    Parmi les choses que j’ai comprises, figurent les règles de la langue française, dont une bonne partie, au moins, semblent vous être inaccessibles.

    Mais le reste de votre démonstration n’est pas brillant non plus.

    « L’électricité photovoltaïque est vendue chère par les micro-producteurs » dites-vous, mais c’est faux : l’électricité photovoltaïque est vendu cher par tous les producteurs, quelle que soit leur taille parce que le caractère dispendieux est une des caractéristiques de ce genre de production.

    « ERDF, lequel peut tout à fait la revendre à perte à ses clients. Quelque part c’est ce qu’il fait et cela n’a donc aucune incidence sur tes factures ! » assénez-vous, et c’est encore faux : il n’est pas question que l’électricité soit vendue à perte, les comptes d’Erdf et d’Edf devant être équilibrés puisqu’il ne s’agit pas d’organismes subventionnés.

    D’ailleurs, immédiatement après vous expliquez : « En réalité ERDF achète du courant à droite et à gauche à divers prix tout en profitant aussi du courant EDF qui constitue encore et de très loin la plus grosse source, ce qui explique sans problème le maintien des tarifs publics actuels. », le maintient des tarifs bas est donc assuré par la très forte base d’électricité d’origine nucléaire dont bénéficie la France. Cela signifie que si la France abandonnait le nucléaire ou seulement augmentait trop la part des énergies dites « renouvelables », il s’ensuivrait inévitablement une hausse du prix de l’électricité.

    En somme, et le reste de votre discours le démontre, c’est bien grâce au nucléaire que la France peut, à la fois, mettre à la disposition du consommateur une électricité peu chère et très peu polluante, et offrir à quelques hystériques ou inconscients le luxe inutile et laid du développement anarchique d’énergies dites « renouvelables ».

    Le développement de ces énergies dites « renouvelables » ne serait une gêne ni pour moi ni pour la France, si les lobbys qui les imposent au nom d’une idéologie passéiste avaient le courage d’en payer eux-mêmes le prix.

    Il est monstrueux que, dans un pays qui est la patrie des droits de l’homme, le citoyen soit contraint d’acheter un produit dont il n’a nul besoin à un prix prohibitif.

    Les pays, comme le Danemark et l’Allemagne, qui, depuis des dizaines d’années, ont fait le choix de leur utilisation massive font également la démonstration que ces énergies dites « renouvelables » restent tellement chères qu’ils en sont réduits à utiliser le charbon et même le lignite (le plus dramatiquement polluant des combustibles) pour réduire leur coûts.

    Et c’est ainsi que le Danemark et l’Allemagne, champions des énergies dites « renouvelables » sont également les champions de la pollution en Europe.

    Pour des raisons purement techniques, il n’est pas envisageable que ces énergies dites « renouvelables » puissent un jour devenir bon marché, pas plus qu’elles ne pourront suffire aux besoins de notre société industrielle.

    Je regrette d’avoir à vous le dire.

     

     




  • l ecolo 20 janvier 2010 17:33

    à pepin2pomme qui a dit : « Ayant fait installer des panneaux photovoltaïques sur mon toit, je suis naturellement visé par votre post, »

    Je n’ai pas ressenti que, dans le présent article, André Pellen s’en prenait à tel ou tel producteur d’électricité.

    Vous produisez de l’électricité aux conditions édictées par l’État et vous vendez cette électricité aux tarifs fixés par décret (donc encore par l’État), il n’y a rien à redire à cela et vous êtes irréprochablement dans vos droits.

    Mon point de vue, de consommateur et de citoyen, ne concerne que l’État.

    Et, ce point de vue, c’est que lorsque l’État fait obligation à l’Edf d’acheter une électricité à 0,60 euros alors qu’elle peut avoir la même à 0,04 euros, ce n’est pas normal.

    Ce n’est pas normal parce que, en tant que consommateur, cette électricité à 0,60 euros m’est revendue de façon autoritaire et que  je n’ai donc pas le choix de ne pas utiliser cette électricité à 0,60 euros bien que, compte tenu de mon état de fortune, ce soit pour moi une dépense excessive et qu’une électricité à 0,04 euros eût tout aussi bien fait mon affaire.

    André Pellen disait que l’électricité est une marchandise comme une autre, mais ce n’est pas tout à fait exact.

    Le prix de l’électricité (comme de toute énergie) possède un impact social très fort, puisque tout ce que nous consommons, même les produits agricoles et l’eau courante, a besoin d’énergie pour être produit puis mis à la disposition du consommateur.

    Que la « vertitude » fasse actuellement florès, c’est vrai. On ne peut plus rien vendre sans prétendre que c’est ou « vert » ou « bio », même si c’est hors de propos. La mode verte en devient dangereuse : voyez, par exemple, les prétendus « biocarburants »…

    Que le gouvernement se sente donc obligé de surfer sur la vague verte, cela me paraît évident. Seulement, de 4 à 60 centimes, je trouve que l’écart est trop grand. C’en deviendrait burlesque si cela ne risquait pas de tourner au drame.

    Alors, oui, je crois que je devrais, en tant que citoyen et en toute liberté, avoir le choix d’utiliser une électricité à 4 centimes ou une électricité à 60 centimes, comme j’ai le choix d’acheter un Pauillac à 12 euros ou à 90 euros (pour respecter les proportions j’aurais dû dire un Pauillac à 180 euros, mais je doute que mes moyens me le permettent un jour).

    Qu’il y ait des amateurs d’électricité à 60 centimes avec les moyens de se l’offrir, comme il en a pour du Pauillac à 90 euros (et même à 180) cela ne me surprend nullement et ne me chagrine pas davantage.

    Mais que l’on me force à effectuer une dépense dont je n’ai ni le goût ni les moyens, là je la trouve mauvaise.

    Cela dit, vous n’y êtes pour rien et je ne vous en veux pas.

     

     

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv