Ancien créatif publicitaire, puis scénariste et journaliste-pigiste pour divers revues ou sites web consacrés au cinéma.
Je suis actuellement pigiste pour le journal d’une collectivité locale en Bretagne, je participe en tant que rédacteur à plusieurs sites d’infos collaboratifs.
Je suis avec passion la mutation de l’info, de la communication sur le net...
Franchement, votre article est à mes yeux, incompréhensible ! De quelle tempête, de quel naufrage parlez-vous ? Où voyez-vous de la panique là où il n’y a, de fait, qu’une instrumentalisation assez insupportable par Mr. Peillon. Celui-çi s’arroge le droit de décider seul que personne au PS n’ira s’exprimer sur le plateau de FT. Il a confisqué le débat, il a instrumentalisé la chaîne publique, Chabot, Besson pour se faire mousser. Et ensuite il tente d’en faire porter le chapeau aux autres. C’est nul et terrifiant.
Si Titanic il y a, il se trouve dans le cerveau de Peillon dont on se demande où est passé le capitaine !
« Que faut-il pour construire une éolienne domestique » dites-vous.
J’avoue que j’aurais préféré des détails sur la difficulté technique de cette construction. Réduire cette entreprise aux démarches administratives n’a pas beaucoup de sens à mon avis...
Il serait peut-être temps, à la manière de la campagne « j’aime pas Olivier Martinez » qui avait submergé le net pendant des semaines, d’organiser ce type d’opération pour salir (ruiner) l’image de ce fleuron de l’industrie !
Cette attitude cynique et dénué de toute considération morale est un exemple frappant du monde actuel : ce capitalisme qui roule pour l’argent, qui ne connaît que le bénéfice et la marge brute, pour qui l’homme, la nature, le bien et le mal n’ont plus aucun sens (puisqu’ils n’ont pas « par nature » vocation à rapporter toujours plus.
Votre réaction me semble parfaitement juste, vous mettez en avant les arguments les plus justes et qui font parfaitement ressortir le caractère insupportable de ce viol.
L’attitude des milieux culturel et médiatique dans cette affaire à quelque chose de choquant et de méprisant. A les entendre défendre Polanski, on ne peut qu’être effaré de les voir réclamer sans aucune honte une justice particulière pour les « êtres d’exceptions » (c’est-à-dire, de leur milieux !).